Page pr�c�dente
Le mal
Je les ai connues sur le Net, sans trop y croire, tout en y croyant un peu, mais sans esp�rer r�ellement.
Elles ont hant� mes r�ves les plus fous, rong� les d�fenses de ma prudence, elles ont aim� ma sagesse en provoquant ma folie, j'en ai t�ch� mes draps, je l'avoue aujourd'hui avec honte.
Vous allez voir, ce n'est pas sale, ni vulgaire mais bien pire, C'EST HORRIBLE !
Elles m'ont conduit � un arbre dans un bois et je me suis laiss� menotter les poignets derri�re le tronc au dessus d'une branche haute.
A cet instant, je fantasmais comme un fou, heureux de r�aliser un de mes d�lires �rotiques inavouables.
Puis elles ont d�fait ma ceinture, descendu la braguette, baiss� le pantalon, leurs mains fr�laient mon sexe, c'�tait divin.
ET LA, elle ont ri !
Je ne comprenais pas ce rire, je me suis senti ridicule.
Elles m'ont donn� � boire du coca, j'ai bu sans soif pour leur faire plaisir, puis dans mon dos elles ont �crit avec un feutre quelque chose que je ne pouvais lire.
Leurs mains sont devenues c�lines puis l�g�rement cuisantes avec mes fesses en demande de leurs mains, alors j'ai accept� sans aucun probl�me, le b�illon par moi emmen� et par elle demand�.
Son go�t plastique ne m'a pas g�n�, j'�tais si bien dans mon trip SM, �tre soumis � deux filles en esp�rant une conclusion " tendresse " mais elles sont parties me laissant l�, dans un bois o� les gays se retrouvent pour jouer entre eux.
Je sais maintenant ce qu'elles ont �crit dans mon dos !
Funk me ! Prenez-moi ?
Force me ! Forcez-moi !
I like that ! J'aime �a !
La nuit est venue, les zombis aussi, j'�tais bl�me, ils chassaient.
Autour de moi ils zonaient, �changes discrets, contacts furtifs, j'ai tout vu les fesses � l'air.
La lune complice me permettait d'apercevoir les ombres furtives vers 19 heures, j'avais peur.
J'avais froid aussi, mais les mains chaudes de l'un d'entre eux sont venues r�chauffer ma poitrine.
Il m'a fait les seins au lieu d'�couter mes " nonnnnnnnnnnn " d�sesp�r�s. J'�tais pi�g� � mon propre jeu, elles n'�taient pas l�, plus l�, parties. J'ai r�v� de godemich�s autour de croupes f�minines, j'allai vivre du vrai de vrai, du vrai viril gay !
La ceinture de mon pantalon enroul�e deux fois et fortement serr�e autour de mes chevilles n'a pas permis � mes jambes de r�sister longtemps.
M�me les fesses crisp�es pour refuser toute intrusion, quand une main virile broie vos bijoux intimes, vous finissez par abdiquer et tendre vos reins vers l'arri�re pour fuir la douleur de votre devant.
Entre mes fesses il a cherch� et trouv� ce qu'il cherchait apr�s l'avoir lubrifi� d'un doigt de lubrifiant charg�, pour son doux plaisir.
Son gland m'a trouv�, m'a forc�, m'a fait mal, mais m'a poss�d�.
Au bout de quelques minutes, j'ai commenc� � appr�cier une vraie B...
C'est plus doux que le caoutchouc dur de nos fantasmes r�alis�s en secret avec un jouet de sex-shops.
Je me suis finalement cambr� pour m'offrir � lui dans un d�lice bizarre que je ne comprenais pas.
C'�tait fou, c'�tait finalement doux, c'�tait bon pour ne pas dire voluptueux, mais cela me conduit � ce lit.
Ce lit o� je vous �cris pour vous dire que demain, sans nul doute, je vais mourir du sida.
....................
Texte venu comme �a un soir, suite au d�c�s d'un ami.
TSM
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :
|