LE JARDINIER
Je rentrais de mon jogging. 10 Kms dans la nature, enfin j'arrivais dans la villa que l'on m'avait pr�t�e pour une quinzaine. J'�tais en c�libataire ce qui n'�tait pas pour me d�plaire mais enfin j'esp�rais ne pas m'ennuyer. Je me reluquais devant la glace, bien fait, grand, bien muscl�, et en forme. Seul d�tail qui me g�nait, mon sexe, assez petit, 14 cm en �rection et l� tout mou et riquiqui. J'allais chercher du crisco, m'en enduisait l'anus en faisant durer le plaisir et glissait enfin un plug. J'avais toujours aim� me balader avec un plug me fouillant les entrailles. La maison �tait � moi, il faisait beau, les cigales commen�aient leur refrain. Je sortais sur la terrasse, � poil, le plug me faisant bander, tout cela pour tomber sur le jardinier. Belle gueule, aussi brun que je suis blond, aussi poilu que je suis imberbe, aussi massif que je suis �lanc�. La surprise fut des 2 cot�s, mais avant que j'aie pu cacher mon sexe tendu, je le vis sourire, s'approcher, se saisir de mon sexe et m'embrasser goul�ment. Whouah quel palot ! Je sentis bient�t la chaleur au fond de mes reins et ce n'�tait pas que le soleil sur mes lombaires. Il me pin�ait les seins, les malaxait, descendait prendre mon gland puis toute ma bite dans la bouche avec des va et viens lents et profonds. Ses mains englobaient mes fesses et ses doigts d�couvraient le plug. Ah mon salaud dit-il. Tandis que sa bouche me su�ait goul�ment, d'une main, il titillait le plug tandis que l'autre faisait sortir de son bleu, une bite impressionnante d'�paisseur, au moins 6 cm. Il sort une capote qu'il enfile, me retourne, retire le plug doucement et colle son gland sur ma rosette d�j� dilat�e. Sa bite est raide comme de l'acier, elle pousse sans m�nagement mes muqueuses qui s'�cartent pour avaler tout le braquemart. Le crisco et le plug d'avant sont pour beaucoup que j'accepte tout l'engin, pas trop long mais �pais. Je me sens dilater au max. Le jardinier encha�ne ensuite en rythme, ma bite jute dans le soleil. Enfin il prend ma bite dans sa main me fait crier de jouir sur le carrelage et le sperme tombe en flaques blanch�tres. Il se tend et je sens les spasmes qui �treignent le beau jardinier.
On souffle un peu et le jardinier en profite pour se dessaper. En fait il enl�ve simplement son, bleu, il n'a rien dessous. Je n'ai jamais vu un mec aussi poilu. Des poils denses couvrent son torse, le dos les fesses les jambes. Je vais chercher le pot et quand je reviens, le jardinier est � croupetons sur la table de marbre, le cul tendu, ses fesses poilues entourant une rosette pr�te � s'offrir. Je m'enduis les mains de crisco. J'y vais doucement, d'bord un doigt, puis deux, �a rentre facilement, la rosette s'�carte. La main ensuite, qui tourne doucement pour ouvrir la caverne ros�e. Les poils sont devenus blancs de graisse. Le jardinier g�mit, mon avant bras s'enfonce en glissant. Boxe moi dit-il. Alors je boxe, mon poing disparaissant de plus en plus vite en rythme avec le cul du jardinier. Soudain il s'immobilise, ah je pisse dit-il et un long jet d'urine sort de sa bite certes semi-molle mais encore bien longue. Je la prends dans ma main et l'enduis de graisse, c'est d�licieux de la sentir se raffermir sous la caresse. Il est redevenu dur et �pais malgr� mon autre main profond�ment enfonc�e dans son fion. On s'arr�te. On souffle. Il se rel�ve, la bite au vent telle une baume accroch�e au mat. Il m'allonge sur la table et me p�n�tre doucement. Mes mains parcourent son torse poilu laissant �a et l� des traces blanches de graisse, de sperme, je ne sais plus. Putain c'est bon, je me caresse, il m'encule et nous jouissons ensemble pour le meilleur et pour le pire.
Le meilleur puisqu'on est pacs�s depuis 6 mois. Urso21ff
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |