Quand le b�timent va...Je re�ois le mec qui a r�pondu � l'offre d'emploi de monteur d'�chafaudages que j'ai pass�e. Il a dans les vingt ans, grand et bien b�ti. Comme il n'a jamais fait ce boulot, je lui demande s'il pense avoir la r�sistance et la souplesse physiques n�cessaires et il m'assure que oui, vu sa pratique sportive. J'en profite pour le complimenter : " oui, avec tes manches courtes et ton jean serr�, c'est vrai qu'on voit que tu as une musculature solide. " Il faut dire que son t-shirt souligne une paire de bras imposants et bronz�s : biceps charnus et le genre d'avant-bras o� se dessinent distinctement quatre muscles tendus sous l'�paisseur de poils. Bref l'entretien est concluant et je l'embauche. - Bon, eh bien, tu commences demain, rendez-vous ici � huit heures. Le gamin a l'air surpris mais ne bronche pas. Le lendemain � huit heures, j'embarque mon �quipe de quatre gars dans la camionnette : Fred et Adel bossent pour moi depuis quatre ans et Samuel depuis six mois. Luc, le nouveau, fait connaissance : poign�es de mains viriles entre mes quatre colosses. Pendant le trajet �a discute boulot et gonzesses et j'observe dans le r�troviseur les r�actions de Luc, coinc� sur la banquette arri�re entre un Adel qui lui passe quasiment la main autour des �paules et Fred qui s'est d�j� mis torse poil, ce qui a d'ailleurs l'air d'attirer le regard de Luc... il faut dire qu'avec sa carrure de nageur et son torse aussi poilu que bronz�, il a de quoi impressionner le Fred ! Au bout d'une heure de boulot, je vois que �a n'avance pas vite alors j'interviens : " Allez les mecs, du nerfs ! Samuel, Adel, vous vous foutez torse nu, �a vous dynamisera. " Et moi-m�me je vire le d�bardeur qui ne cachait d�j� pas grand-chose de mon torse muscl�. Samuel et Adel s'ex�cutent sans commentaire : ils ont l'habitude que je leur ordonne de se mettre torse nu. Mais je sens bien que de me voir soudain tous poils dehors, Luc marque un temps d'arr�t ; je me passe une main sur le torse, la toison qui me couvre les pectoraux est d�j� passablement ruisselante, et je fais un clin d'oeil d'encouragement � Luc. Il a le torse pris dans le m�me t-shirt que la veille et le cul moul� dans un jean dont il a coup� les jambes et qui laisse enti�rement appara�tre une paire de cuisses longues et muscl�es avec de longs poils blonds fris�s qui brillent au soleil et remuent sous la brise : �a me donne envie de les lui caresser et de lui passer une main dans le short pour voir s'il a les fesses qui vont avec. Encore une heure et je vois que Luc a une baisse de r�gime : c'est le moment, me dis-je... " Bon, Luc, tu fous rien depuis un moment. Tu vas commencer par me virer �a, dis-je en l'empoignant par le t-shirt... si on est tous les quatre torse nu c'est pas pour rien, alors toi aussi : torse nu et montre-nous de quoi tu es capable ! " Les autres rigolent et Luc rougit en �tant son t-shirt, mais une fois qu'il est torse nu les autres le sifflent en le complimentant d'un " ma zette ! ", d'un " mate-moi �a s'il est baraqu� " et d'un " vise un peu l'engin ! " A mon avis, l'engin il est ailleurs : mon regard se prom�ne du torse muscl� o� se dessinent des pectoraux puissants sous une for�t de poils auburn, en descendant le long du creux m�dian orn� d'une fine ligne velue qui s'�vase en triangle au-dessous du nombril, jusqu'� l'entrejambes de Luc o� je pourrais jurer que je vois subitement gonfler un truc qui m'a l'air �norme ! On reprend le travail et je me d�brouille � un moment pour avoir besoin qu'on m'aide pour fixer deux barres ; alors j'appelle Luc et lui dis de bien tenir les barres en place pendant que je me positionne derri�re lui pour serrer l'�crou. Normalement ce genre de truc prend deux secondes, mais l� je m'arrange pour perdre du temps en faisant d�raper la cl� anglaise, histoire de faire durer ce moment o� je suis si pr�s de Luc que les poils de mon torse fr�lent son dos. Les bras tendus il soutient les deux lourdes barres et je n'en peux plus d'admirer ses muscles band�s. A un moment il fatigue et laisse �chapper sa charge, alors je l'aide � la repositionner en lui prenant les avant-bras � pleines mains, puis je fais mine de lui donner des conseils pour ne pas se faire mal au dos et je lui montre comment se tenir en lui empoignant les �paules pour qu'il les rejette plus en arri�re, puis en lui passant une main sur le bas du dos et une autre sur la poitrine pour qu'il se redresse. Tout en lui susurrant mes conseils � l'oreille, je profite de chaque instant o� j'ai une main sur sa chute de reins et o� je plonge les doigts de l'autre dans les poils de son torse qui commence � ruisseler de sueur. Comme je me remets � visser, je fais expr�s de d�raper pour tomber en avant sur lui, qui l�che tout pour me retenir et on se retrouve un instant enlac�s : il a une main pos�e sur mes pectoraux et l'autre sur mon �paule, tandis que moi je le saisis par la taille et nous sommes flanc contre flanc. Quand on se redresse je me rends compte de l'effet que �a lui a fait de s'agripper � mes muscles et � mes poils, parce qu'il a carr�ment un barre en travers de la cuisse sous son short. On rigole et je fais mine de l'engueuler en lui foutant une claque sur la poitrine et une autre sur le cul, � quoi il r�pond sur le m�me mode en me chopant sous l'�paule pour me ramener la t�te contre sa poitrine. J'ai le nez enfoui dans les poils de son torse et je ne me g�ne pas pour l�cher la sueur qui perle et pour lui attraper d'une main la cuisse et de l'autre la queue � travers son short. Je me redresse : " toi, �a va �tre ta f�te, lui dis-je sur un ton faussement s�rieux. Tu viens avec moi tout de suite dans l'alg�co pour que je t'apprenne � te comporter comme �a. " Sa queue commence � gonfler tandis qu'il nous mate en train de faire mine de nous bagarrer. Tr�s vite, c'est Luc qui a le dessus et qui me saisit la t�te par les cheveux pour me rouler une �norme pelle. Nous sommes torse contre torse, poils contre poils, queue contre queue : je me d�gage et plonge une main dans son short pour la lui saisir, le bouton l�che, j'en profite pour baisser le short... il n'a rien en dessous ! Je gobe sa bite d'un coup jusqu'� la garde : elle est bien grosse et me remplit le gosier jusqu'au fond, puis par va et vient successifs je la l�che le long de la hampe et l'engloutis de nouveau. Pendant ce temps, mes mains parcourent son torse, jouent avec ses poils : visiblement, tandis qu'il accompagne d'une main les mouvements de ma t�te, il se caresse le t�ton de l'autre. Je sens une autre paire de mains : ce sont celles d'Adel qui s'est coll� derri�re lui ; je v�rifie d'un geste de la main : il a enfil� une capote et commence � se frotter la queue entre les fesses de Luc. " Vas-y, " r�le ce dernier et Adel fl�chit les genoux pour chercher l'entr�e pendant que moi je suis all� me jucher sur un tabouret pour offrir ma bite � la bouche de Luc, qui commence � me pomper comme un pro ! Du haut de mon perchoir je vois deux t�tes � la fen�tre de l'alg�co : je fais signe � Fred et Samuel d'entrer. Comme ils sont d�j� torse nu, je leur caresse les pectoraux pendant qu'ils se d�barrassent de leur short. Samuel est moins baraqu� que Fred, mais plus trapu, ses pectoraux sont hyper bomb�s comme tout le reste de sa musculature et recouverts de la m�me toison. Il a des poils jusque sur les �paules et je m'en donne � coeur joie pour chercher ses t�tons � travers la fourrure qui lui recouvre le torse pendant que la langue et les l�vres de Luc s'activent le long de mon braquemart. Mais Fred dont je caressais �galement le torse velu m'a �chapp� et soudain ce n'est plus sous la main que je sens le doux contact de ses poils, mais sur mon dos : ce salaud a bondi sur une chaise qu'il a plac�e derri�re moi et il me caresse l'abdomen d'une main et passe l'autre entre me fesses. Pendant ce temps j'ai senti Luc me mordre presque la bite en geignant et je me doute qu'Adel a trouv� l'entr�e ! Faut dire qu'il en a une bien belle, bien longue et bien grosse, Adel, ce qui surprend toujours la premi�re fois qu'on le voit � poil, tellement son corps est mince. Sentant Fred derri�re moi je me dis que je ne pers rien pour attendre ! D'ailleurs je jette un coup d'oeil dans la glace que je mets toujours sur la cloison lat�rale au cas o� : quel spectacle ! Luc et Adel son debout par terre en train de s'enculer, moi je suis debout sur un tabouret pour me faire sucer par Luc pendant que Fred est mont� sur une chaise pour essayer de me mettre, et Samuel a �chapp� � mes mains pour se mettre � genoux devant Luc, le seul dont la bite n'�tait pas occup�e, et il le suce avidement en se branlant. Heureusement que les deux derniers ont pris la peine de baisser les stores en entrant, parce que le spectacle de ces cinq m�les muscl�s en train de se donner de la joie nous vaudrait bien des ennuis si quelqu'un d'autre le voyait ! Quant � moi, je n'ai plus qu'� contempler nos cinq corps tous muscles band�s, les poils des bras, des jambes et du torse coll�s par la sueur et � me pencher en avant pour passer les mains sur le torse d�cid�ment tr�s muscl� et tr�s poilu de Luc et pour faciliter la t�che � Fred qui a enfin trouv� moyen de me transpercer de son pieu ! Fred me lime, acc�l�re, ralentit, l'odeur de mecs en sueur envahit mes narines, mes mains caressent les t�tons de Luc et jouent avec les poils de son torse et de ses aisselles et je vois soudain Adel qui s'arc-boute sur lui. C'est alors une s�rie de convulsions d'Adel qui jouit dans le cul de Luc, qui gicle dans la bouche de Samuel, lequel l�che tout sur le sol ; les r�les excitent Fred qui me d�charge dans le cul et en un instant, pendant que Fred acc�l�re ses coups et Luc le rythme de sa bouche, je lui envoie la sauce dans le gosier. gill R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |