Vive les jours de pluieCette histoire c'est pass�e il y a maintenant deux ans alors que je revenais de mes vacances en Italie chez mes cousins (de beaux ritals mes l� n'est pas le sujet.). Comme � mon habitude j'avais pris la N7 une fois arriv� en France pour ne pas payer l'autoroute qui co�te vraiment trop cher. C'�tait le mois d'ao�t et comme �a arrive souvent, l'orage commenc� a vraiment menac� sur le Var. Mais j'ai toujours ador� conduire sous la pluie, �a me donne un sentiment � la fois d'inqui�tude et de s�curit�. J'suis dans ma 205 blanche, � l'abri, au milieu d'un environnement d�cha�n� : la pluie, le vent, la foudre. Et l� la foudre allait vraiment frapper. Il commen�ait � bien pleuvoir quand j'ai aper�u un autostoppeur qui avait vraiment l'air d�sesp�r� et surtout tremp�. L'�me charitable (oh la bonne blague lol) je me suis arr�t� pour savoir o� il allait. Le temps qu'il arrive � la 205, j'avais ouvert la porte et jeter mon sac � dos sur la banquette arri�re. Mais il monta directement dans la voiture sans me demander o� je pouvais le d�poser. Un moment j'ai cru que je r�vais. Il avait les traits fins, la peau bronz�e certainement par un long s�jour sur la c�te, les cheveux courts en pics, un corps muscl� mais sans ressembler � ces mecs bodybuild�s tellement muscl�s qu'ils t'en font peur. Ses pectoraux �taient mis en valeur par son t-shirt moulant blanc mouill� qui lui moulait le torse d'une mani�re divine. Il avait un surv�t blanc avec des baskets requins : le look que j'aime ! - tu vas o� ? Me demande-t-il Moi trop heureux de savoir que nous allons faire pr�s de deux heures de trajet ensemble d�marre sans attendre au cas o� il changerait d'avis et voudrait descendre ( ce qui est idiot puisqu'il tombe des cordes ). Comble du comble, sans me demander mon avis il retire son t-shirt tremp� et je peux admirer tout � loisir son corps quasiment imberbe et bronz�. On ne tarde pas � discuter de tout et de rien. Il s'appelle Cyrille, il a 19 ans, il vient d'avoir son bac STI et pour le moment se la coule douce avant de trouver du taf � la rentr�e. Moi je lui r�ponds que je m'appelle Florian que j'ai 20 ans, que je travaille comme m�cano dans un garage � Marseille. Il a pass� ses vacances � Cannes chez son p�re pendant plus d'un mois. Mais le moment si redout� arrive : la conversation se tarit. Je cherche n'importe quoi � racont� quand je l'entend me demand� : - qu'est-ce que c'est �a ? Je jette un oeil vers lui et m'aper�ois qu'il sort de dessous le si�ge passager une boite de capote que je laisse toujours l� au cas o�. Je fais comme si de rien n'�tait, il regarde pendant quelques secondes la boite, faisant mine de lire les indications d'utilisation sur le carton. Un moment je me pose la question de savoir s'il en d�j� eu entre les mains. - il y a temps de meufs qui viennent dans ta voiture ? Lance-t-il en rigolant. La r�ponse est un peu s�che mais je ne fais que dire la v�rit�. Il ne dit rien pendant un moment. - Mais alors pourquoi la boite est presque vide ? - Disons que ce ne sont pas les femmes qui m'int�ressent. J'�tais abasourdi. Mais en m�me temps j'�tais stimul� par cette r�ponse. - T'es gay toi aussi ? L� je suis atterr�. Je ne voulais pas brusquer les choses en y allant trop directement et lui me propose directement de coucher avec lui. - Arr�te-toi � la prochaine aire de repos. J'ob�is et nous nous arr�tons 10 minutes apr�s sur une aire avant Aix (o� soit dit en passant j'y ai d�j� fait des rencontres fructueuses.). Je coupe le contact et n'ai pas le temps de faire ouf qu'il me roule une pelle d'enfer tout en me mettant la main sur le paquet. Il me sourit alors et me dit " belle marchandise ! " je suis trop heureux et envoie la main dans son entre jambe pour faire de m�me alors que je commence � lui caresser les pecs et que nous nous embrassons de nouveaux. Puis je lui dis que nous serons mieux dehors, il y a les bois autour o� jamais personne ne va, surtout qu'il pleut encore un peu. Il me suit alors sans dire un mot, toujours torse nu. Je lui dit de passer devant moi, il n'y a q'un chemin, je peux alors mater son cul qui est vraiment superbe, bien rond avec de fesses qui ont l'air bien ferme. Il comprend mon man�ge et se met les mains dans les poches, faisant ainsi baisser volontairement son surv�t, laissant appara�tre le d�but de sa raie et son shorty noir. Puis j'ai acc�l�r� le pas pour l'attraper par la taille et lui baiser le coup. J'ai alors senti sa main se glisser dans mon pantacourt. Il s'est retourn�, m'a roul� encore une pelle d'enfer, puis a commenc� � me baiser lui aussi le cou, puis le torse tout en d�faisant les boutons de ma chemise. Je me laissais faire, sentant ses l�vres descendre le long de mon ventre, de mes abdos, sa main me d�grafer le pantacourt qui tombe a terre. Puis ce sont des caresses dans l'entrejambe, des bais�s sur ma verge qui est plus dure que jamais. Je sens sa langue donnant de petit coup sur mon gland. Puis il prend enti�rement ma bite dans la bouche sans crier gare, ce qui me fit tressaillir. Il me fait de long va-et-vient, lentement, puis plus rapidement, puis lentement, rapidement. Je ne peux plus tenir. Il me masse les couilles, me caresse le ventre, me suce comme personne ne me la jamais fait, bave comme un mec assoiff� de bite (qu'il est !). Tr�s vite, je l�che tout dans sa bouche sans avoir le temps de quoi que ce soit. Il est surpris mais avale tout jusqu'� la derni�re goutte avec un plaisir certain. - va falloir que je te punisse alors ! Me dit-il en me regardant avec un regard qui e dit long sur ses intentions. Je me retourne et lui pr�sente mon cul, qu'il commence � caresser, � t�ter, � baiser, � l�cher. Il me prend par la taille et commence des va-et-vient de plus en plus profond et rapide. Il r�le de plus en plus, ce qui m'excite et me fait band� de nouveau de plus en plus. Je commence � sentir ses couilles frapper sur mon cul. Il se retire alors d'un coup, enl�ve sa capote et me balance son sperme sur le dos et sur les fesses dans des r�les proches de cris sauvages. Il me l�che alors enti�rement le dos puis me roule une pelle avec son sperme dans nos bouches. - des punitions comme cela j'en voudrais tous les jours ! Lui dis-je. La pluie recommenc� � tomber fort. Nous repart�mes dans ma 205 vers Marseille. Je lui ai propos� de venir se s�cher et se changer chez moi. Il a accept�, mais ceci est une autre histoire tr���������s longue � raconter. R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |