Jour de neigeJe m'appelle C�dric, j'ai 32 ans, je suis mari� et m'offre de temps en temps de petites escapades, d�s que j'en ai l'occasion. La neige tombait depuis le milieu de la nuit sur l'H�rault et mon boulot m'avait t�l�phon� pour me conseiller de rester chez moi. Une journ�e de libre, seul. Sur Montpellier, la neige �tait fine et ne tenait m�me pas au sol. Les temp�ratures �taient fra�ches et pourtant moi j'�tais plut�t chaud bouillant. Avec cet apr�s-midi de libre, des envies de bites raides et robustes envahissaient mon esprit. N'y tenant plus et n'ayant pas envie de me palucher devant un �cran, je d�cidais de tenter ma chance dans un coin de drague assez fr�quent� de Montpellier. Enfin assez fr�quent� quand il fait beau et l�, �videmment, il fallait vraiment �tre en manque pour se retrouver sur ce parking, m�me si les flocons n'�taient pas violents. Au moment de repartir, une voiture se gare en face de moi. Un mec en sort, la trentaine, un visage viril, brun, carr� d'�paules, un cul bien rebondi dans un fute moulant laissant esp�rer, de par l'avant, bien des promesses. Il regarde dans ma direction en enfilant sa veste, remonte sa capuche et disparait dans les taillis. Mon sang ne fait qu'un tour ou plut�t un d�tour pour se concentrer dans mon entrejambe. J'attrape mon blouson et prends la direction de mon futur quatre heures. L'air frais me remet les id�es en place, mais ma queue crie au sexe contre le tissu de mon boxer. J'entre sous l'abri de quelques arbres bas, personne. D�ception. Soudain, le voil�, adoss� � un tronc, mains dans les poches, de la bu�e autour des l�vres, ses yeux noirs fix�s sur moi. Rien que ce visage me fait mouiller de partout. Je m'approche, il m'attrape la t�te et me bouffe litt�ralement le visage. Sa langue enroule la mienne, la mordille, m'aspire. Je fonds. Mes doigts froids glissent sous son sweater, entrent en contact avec sa peau chaude et poilue, caressent son nombril, s'accrochent � un t�ton qu'ils pincent. Mon beau brun g�mit mais continue de m'embrasser. Je me d�tache, soul�ve le pull, aspire ces pointes dress�es par le froid et l'excitation. Je reviens � sa bouche si vorace. Ma main empoigne son entrejambe, la promesse semble tenue, une barre �paisse se profile sous mes pressions. Il me murmure son pr�nom, Esteban. Tellement sexy. Ses mains s'insinuent dans mon jean, le descendent et pelotent mes fesses expos�es. Je suis tellement excit� que le froid ne m'atteint m�me pas. Je ne tiens plus, m'agenouille, entrainant son pantalon. Je me retrouve face � un slip bleu gonfl� et l�g�rement humide. Ma bouche se colle au tissu, mes l�vres go�tent la forme de son engin, mon nez respire l'odeur d'excitation au niveau du gland. Le slip vibre, je me lance, le baisse doucement, sa bite se pr�sente � moi, fi�re. Une belle queue, �paisse, de taille moyenne, avec un joli gland rose et brillant. Dans un �lan, je l'enfonce dans ma bouche. Esteban emet un petit cri de surprise, me traite de petite salope. J'aime �a, j'aime la queue. Je remonte le long de sa tige, entourant de ma langue chaque centim�tre, aspirant le gland avant de replonger. Esteban pose ses mains sur on cr�ne, accompagnant ma t�t�e. J'arr�te ma pipe, sort enti�rement sa bite de ma bouche et plante mon regard dans le sien. Puis je su�ote juste son gland. Il fr�mit. Il me dit que je suis une sacr�e gourmande, qu'il va m'en donner de la bite. Electris� par ses mots, je prends son membre profond�ment, ma langue coll�e � son gland, le nez dans sa toison. J'�touffe presque, mais quel pied ! Pas le temps de respirer, mon brun t�n�breux me chope la t�te et commence � me bourrer la bouche comme un forcen�. J'encaisse, je savoure, je mouille. Je me branle � mort, ma salive d�gouline sur mon menton. Je sens monter la pression, je d�croche. Je redresse mes fesses, entreprend l'exploration de ses couilles volumineuses. Puis je recommence � lui avaler la tige, goul�ment. Un de ses doigts s'insinue alors entre mes fesses et croch�te ma rondelle. Une vague de plaisir m'inonde. Je veux plus, je veux sa queue en moi...Je suis une vraie salope, j'ai envie qu'il me tringle, �a fait longtemps mais avec lui, j'ai envie...Mais h�las, des hal�tements rauques me font comprendre que mon voeu ne sera pas exauc�. Impossible � canaliser � ce niveau. Alors, au moins, je lui soutirerais son foutre, je le regarde, il me murmure qu'il est clean, qu'il aimerait bien ... Message re�u, je retourne � l'ouvrage et attends gu�re avant de recevoir plusieurs d�charges de son nectar. Le sperme d�borde au coin de mes l�vres, je savoure cet instant, son foutre est un peu sucr�, d�licieux. Le mien a gicl� sur mes chaussures au moment de son �jac. Je nettoie amoureusement son gland qui tressaute pendant qu'il se remet, appuy� � l'arbre, sa main caressant mes cheveux. Le froid se refait sentir maintenant sur nos corps transpirants, on se rhabille en discutant. Il m'avoue qu'il ne s'attendait pas � trouver un plan aussi chaud par ce temps. Moi non plus. Il me complimente et me remercie. C'�tait franchement un bon plan suce, endurant, performant. On se s�pare sur le parking, peut �tre se reverra-t-on. J'ai le gland repos�, mais le cul tremp�, dommage... Un coup� arrive sur le parking. Second tour ?? CedrykR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |