Cyrillo

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Jouissance anale 6

Ahmed, le pi�ge � salope 2

(Remarque pr�liminaire : ceci est une histoire. Baiser avec un inconnu, c'est beaucoup mieux avec une capote...)

- Allonge-toi sur le matelas. Si tu veux de la joie, faut que tu la fasses durcir, tu crois pas ?

J'ai ob�i. Il est venu me rejoindre, toujours habill� de son seul slibard. Si je le regardais en son entier, ce type ne m'excitait pas, alors je me suis concentr� sur la bosse de son slip et j'ai essay� d'imaginer cette bosse avec le corps de mon �talon de tout � l'heure. Il s'est allong� � cot� de moi. Par r�flexe, je me mis sur le ventre. Il a rigol� en me voyant faire
Sa main est venue se poser sur mon croupion. Il me caressait les fesses. Ce sont les pr�liminaires que je pr�f�re et tout de suite je suis excit�. A mon oreille, il chuchota :

- Ch�ri, je ne pense pas que ce soit la bonne position parce que ce soir, c'est toi qui vas faire tout le boulot. Va plut�t me l�cher les pieds.

Je me suis redress� et retourn�. Il s'�tait allong� sur le dos, des coussins sous sa nuque.

- Va petit, va me bouffer les orteils.

J'ai regard� son ventre poilu, son slip. La belle bosse de tout � l'heure avait disparu. Ses jambes �taient maigres et noires de poils. J'y ai pass� ma main. J'aime bien les poils. Je montais et descendais le long de ses cuisses, de ses mollets, de ses chevilles. Je me suis approch� de ses pieds. Et puis j'ai compris. Ses pieds n'�taient pas propres. Il se promenait toute la journ�e les pieds nus dans ses sandales. Il �tait ainsi dans la rue quand il s'est approch� de moi. Comment pourrais-je lui l�cher ? Serait-il lui aussi un sadique. Il a l'air si doux pourtant... Je restais devant ses pieds, immobile, tout juste j'essayais de les lui caresser dessus, dessous. Il a compris ma r�ticence. Il les a agit�s.

- Viens, approche-toi doucement. Mets ton nez dessus. Tu vas voir, tu vas t'habituer... Oui c'est �a, vas-y, caresse-les, pose ta joue dessus, �carte-moi les orteils, respire bien cette bonne odeur, prends en de bonnes bouff�es de mes panards de mec. Maintenant, tu vas les bouffer.

Ma queue s'est transform�e en b�ton. Cette situation humiliante, cette odeur forte de poussi�re m�l�e � de la transpiration et de la crasse, sa voix douce et ferme, mes propres d�sirs de soumission, tout cela tournait dans ma t�te. J'�tais comme shoot�, l'avilissement devenait une drogue qui m'�chauffait au plus haut point. J'aimais qu'il me demande des choses d�gueulasses � faire, je ne souhaitais que cela. J'ai respir� un grand coup. J'allais m'ex�cuter non seulement sans broncher, sans qu'il me pousse � bout, mais pire, pour rien au monde, j'aurais voulu rater �a, torcher des pieds avec ma langue. Je trouvais �a r�pugnant et c'est cela qui m'excitait.

- Oui, ouvre bien ta bouche, pose-les sur ta langue, salive bien, c'est �a... Allez, vas-y enfonce bien le gros orteil dans ta bouche. Oui, c'est �a, passe bien ta langue dessous, oui, oui. Vas-y, vas-y pousse ta langue entre les deux, mouille-les bien, vas-y passe encore ta langue, passe-la bien lentement, appr�cie tout le nectar qui se d�gage, nettoie-moi bien, ramasse bien avec ta langue toute la crasse, vas-y vas-y, c'est �a... c'est bien.

Il a commenc� � remuer ses orteils dans ma bouche. Il continuait de me dire ce que j'avais � faire. Je les gobais les uns apr�s les autres, puis deux ou trois en m�me temps. Je me sentais plus salope que jamais. Maintenant tu vas me faire l'autre pied. J'ai accompli ma t�che avec d�go�t et excitation en m�me temps. Il a voulu alors que je me prenne tout son pied dans la bouche. J'ai essay� mais je n'avais pas la bouche assez large pour le faire. J'�tais je crois plus d��u que lui. J'aurais aim� me l'enfoncer profond dans la bouche son pied. J'aurais aim� je crois qu'il me lime la bouche avec son pied. Je n'avais jusqu'� pr�sent jamais imagin� cela dans mes fantasmes et pourtant cette envie �tait bien pr�sente � mon esprit. Il me fit revenir � la r�alit�.

- Je savais que tu les aimerais, mes panards. Allez, reviens vers moi maintenant. Passe ta langue sur mon ventre, oui c'est �a remonte, remonte, non pas trop vite, prends ton temps, renifle bien ma transpiration.
J'ai l�ch� comme il me le demandais son ventre, frott� ma joue contre son torse, suc� ses seins puis remont� vers sa gorge, sa pomme d'adam, enfin je me suis approch� de sa bouche que j'ai voulu embrasser tendrement. C'est � ce moment l� qu'il s'est relev� brusquement.

- Non mais �a va pas ! Pour qui tu te prends poufiasse ?

Il s'est assis face � moi et m'a envoy� sans pr�venir une gifle bien appuy�e dans la gueule.

- Recommence �a encore une fois, et je t'�crase comme une merde !

- Excusez-moi, je pensais que vous aimeriez...

- Que j'aimerais ! Tu es qui petite pute pour savoir ce que j'aime !

Le charme de ma d�pravation, son �rotisme, s'est soudainement rompu. Je me sentais ridicule et pas du tout � ma place. Que faisais-je dans ce lit avec ce vieux dont je ne savais rien en effet, ni de ses d�sirs, ni de sa sexualit�.

Il m'a pris par le cou et a appuy� dessus.

- Vas-y suce, ta bouche elle sert � �a. Tu ne croyais quand m�me pas que j'allais go�ter � ta langue qui sert de serpilli�re � tous les mecs du quartier !

J'ai atteint son slibard. A l'aide d'une main, j'ai soulev� sa ceinture, et avec l'autre j'ai soulev� d�licatement sa queue. J'ai approch� ma bouche. Une forte odeur de sueur et de pisse m'enivrait. Je l'ai embrass�e et d'un seul coup aval�e. Je su�otais son gland pas tr�s propre. L'odeur �tait pr�gnante, m�me dans ma bouche, je la sentais. J'ai coll� mon menton sous son slip pour soupeser ses couilles. Il semblait se radoucir. Sa queue a durci tr�s vite. Il relev� son bassin pour faire glisser son slip. Je me suis allong� pour bien prendre en bouche son engin. Puis j'ai l�ch� ses couilles, plut�t petites et tr�s poilues. Ce n'�tait pas tr�s agr�able. J'avais sans arr�t des poils dans la bouche. J'essayais de les enlever mais il m'en a bient�t emp�ch�.

- T'inqui�te, l�che-moi bien. J'avais mon nez coll� � son pubis. J'aime cette sensation. La bouche et le nez bien encastr� dans le service trois pi�ces. J'ai ondul� du cul pour lui faire comprendre mes envies. Il m'a claqu� les fesses.

- Plus tard, poulette. D'abord, l�che-moi le trou de balle.

L�, j'ai eu un peu peur. J'aime beaucoup l�cher des fions mais il faut quand m�me qu'ils soient propres. Il s'est mis sur le ventre. J'ai �cart� ses fesses et me suis approch�. Ouh la la, �a schlinguait sec. Une odeur tr�s forte de cul mais �a m'excitait. J'ai pass� ma langue sur ses globes puis j'ai descendu doucement vers sa rondelle. J'ai fini pas laper son trou. Il aimait cela semble t-il. Et moi aussi ! Son odeur forte, �pic�e me transportait, m'�chauffait le sang et les sens. J'ai pris de l'assurance et j'ai donn� de grands coups de langue. J'ai coll� mon nez � son trou de balle et j'ai essay� de m'enivrer avec son odeur de mec viril. Puis j'ai point� ma langue afin de l'introduire dans son cul mais il a boug� et s'est remis sur le dos. Il avait la bite dress�e.

- Allez, viens t'asseoir ici, �a va �tre ta f�te maintenant, tu n'as pas trop mal travaill� !

Il me fixait, un sourire au coin des l�vres. Il m'a jet� un pr�servatif mais le gel, �a il ne connaissait. J'ai bien mouill� sa teub puis me suis assis dessus. Il avait une belle bite mais j'avais d�j� eu plus gros morceau dans mes boyaux. J'ai eu un peu de mal � la faire rentrer ainsi, � sec, enfin s'il on excepte la graisse pour les godes en d�but de soir�e ! Une fois bien cal�e, j'ai commence de l�gers mouvements de va et vient. Je sentais toujours son regard sur moi comme s'il essayait de lire � l'int�rieur. J'ai acc�l�r� le rythme, mes mouvements se sont fait plus amples. Sa bite commen�ait � glisser parfaitement. J'ai toujours la chatte qui mouille quand je me fais ramoner.

- Oui, vas-y fais-toi bien reluire, bouge bien ton bassin.

J'ai commenc� � haleter. Sa queue me donnait de bonnes vibrations mais j'en voulais plus. Je voulais de plus grands coups de boutoir. Je voulais dans mon cul des grands coups surpuissants pour m'envoyer voir des �toiles. Je me donnais � fond, je montais et descendais au maximum sur sa queue mais il a senti quand m�me senti ma frustration.

- A quatre pattes, devant moi, salope.

Il s'est lui agenouill� et adoss� au mur.

- Vas-y, fais-toi du bien.

J'ai cambr� le cul � la hauteur de sa queue. Puis, lentement, je me la suis � nouveau enfourn�e. J'ai ondul� du bassin pour la sentir sous toutes ses coutures et trouver de nouveaux angles d'attaque. Je g�missais de plaisir. J'adore cette position. Elle me donne de bonnes sensations. Mes parois anales vibraient sous ce d�licieux massage, ma queue s'est redress�e. J'ai alors fait presque ressortir compl�tement son zgeg de mon cul pour le faire rentrer d'un coup sec bien � fond. Putain que c'�tait bon. J'ai tent� de recommencer en voulant cette fois-ci la faire ressortir vraiment compl�tement pour avoir de vraies grandes sensations de p�n�tration en me la fourrant s�chement. Mais seul, ce n'est pas facile. Il a compris mon jeu. Il a alors tenu sa pine bien d'�querre face � l'entr�e de mon cul. J'ai plong� un bon coup de bassin dessus. Ooouuuh. Ca faisait mal mais c'�tait diaboliquement bon. On a refait la manoeuvre � plusieurs reprises. C'�tait divin. Je sentais en moi monter ce plaisir anal, indescriptible. Plus je recommen�ais, plus je donnais de violents coups de bassins, plus j'avais mal plus �a me faisait du bien. C'est exactement cela que je voulais, une chevauch�e fantastique, sentir mon trou devenir le centre du monde, une saillie compl�te et forcen�e mais je voulais �a � un rythme d'enfer, encore, encore et encore. Des coups de taureau d�cha�n� que lui seul pouvait me donner. Malheureusement il a commenc� � gueuler de plaisir beaucoup trop t�t. Il a pris mes hanches et s'est enfonc� une derni�re fois au plus profond en envoyant la sauce. Je continuais � remuer sur sa tige car moi aussi je voulais mon plaisir total ; j'en voulais encore plus pour conna�tre � nouveau l'extase anale mais il m'a rapidement remis � ma place en se retirant et me donnant une bonne gifle.

- Calme-toi salope, la s�ance est termin�e. Tu peux te rhabiller.

- Ah non pas d�j�, pas encore, je n'ai pas joui.

J'ai voulu reprendre sa queue en bouche mais il m'a repouss� violement. Je suis tomb� sur le dos, la queue dress�e, les yeux implorants, la bouche baveuse.

- Regarde-toi connasse. T'es pire qu'une pute.

Il m'avait excit� la chatte et d�cupl� mes envies bestiales de bite. Il a joui au moment o� il me faisait monter le jus. Ma sauce ne demandait maintenant plus qu'� sortir. 2 ou 3 coups de queues suppl�mentaires, et l'affaire �tait conclue. Il ne pouvait pas me laisser ainsi, au trois quart enivr� mais pas compl�tement satisfait. J'ai crach� sur mes doigts en voulant me les enfoncer dans ma fente gluante. A d�faut d'une bite, je pouvais peut �tre me finir ainsi.

- Je t'interdis ces cochonneries devant moi, tu m'entends.

- Pine-moi encore, s'il te plait, pine-moi encore

Je me suis mis � genoux devant lui.

- Je veux de la queue, j'en veux encore. Tu ne peux me laisser comme �a !!

- Ce que j'aime, c'est voir le d�sir irr�pressible de la queue dans les yeux des lopes que je bourrine. Mais l�, maintenant, c'est bon j'ai mon compte, tu peux te casser !

- Non ! S'il te pla�t, baise-moi, baise-moi encore. Je veux que tu me d�chires encore la moule. J'en ai pas eu assez.

- Ce n'est pas possible, t'as le diable chevill� au corps ! Je n'ai jamais vu une chienne si d�cha�n�e. T'en deviendrais presque pitoyable !

- S'il te pla�t, S'il te pla�t...

- Fous moi la paix je te dis bordel !

- T'as peut-�tre alors une courgette ou un concombre ?? Pour que je me finisse ;s'il te pla�t ?

Je n'�tais plus dans mon �tat normal pour m'apercevoir que maintenant je le tutoyais. Ce type, je ne sais pas pourquoi, et ce n'est pas seulement une question d'�ge, m'inspirait un certain respect. Mais l�, j'�tais trop loin, trop dans la puissance anale qui d�cuplait mes d�sirs pour comprendre ce que je faisais, entendre la crudit� de mes envies.
Il m'a �cout�, curieux au d�but, puis interloqu� puis petit � petit honteux pour moi, g�n� de mon ind�cence, de mes obsc�nit�s. Il s'est d�tourn� de moi, d�go�t�. Malgr� ce qu'il pr�tendait, Il n'avait peut �tre jamais entendu une lope exprim�e ses besoins de fa�on aussi directe. Il s'est rhabill� puis est revenu face � moi en me fixant avec ses yeux per�ants qui pourtant avaient d� en voir bien d'autres.

- Tu voulais du zob, oui ou non ?

- Oui

- Et tu l'as bien eu bien � fond non ?

- Oui

- Alors que veux-tu de plus ?

- Mais j'ai pas joui...

- Si tu n'es pas satisfaite, tu ne devrais t'en prendre qu'� toi-m�me car c'est toi qui menais la cadence et qui te faisais reluire... D�gage maintenant !

Voyant que je ne voulais pas partir, il a pris mes v�tements et les a balanc�s dans le couloir de son immeuble. Ca m'a fait d�marrer au quart de tour. J'ai gueul� un bon coup puis je suis sorti. J'ai attrap� mes fringues et me suis tr�s vite rhabill�. Heureusement son couloir �tait d�sert. Je me alors retrouv� dans sa rue, juste en face du fameux bar. Le fameux bar d'Ahmed et consorts. Ma frustration m'a pouss� � retenter l'exp�rience. Allais-je enfin pouvoir calmer ma passion des queues ? Et avec qui ? Je me prenais � r�ver d'Ahmed, de sa bite d'�ne et de tous les plaisirs qu'elle pourrait me procurer si, lui, en faisant une exception � ses pr�f�rences sexuelles, il consentait � venir fouiller mes intestins. Je serais m�me pr�t � le payer pour conna�tre cette joie l�. Je devinais bien que lui et son engin sauraient me donner de vrais orgasmes anaux. Malheureusement le bar �tait maintenant ferm�. Merde ! Et encore une d�ception de plus. D�cid�ment, je n'�tais pas de chance. Il ne me restait plus qu'� repartir.

Une fois rentr� chez moi, je me suis couch� un plug bien plant� dans le cul. Tr�s vite la fatigue m'a emport�. Au cours de cette nuit agit�e, je me suis r�veill�, les draps �taient humides. Je venais de me vider les couilles. Mon plug et mes r�ves avaient fini le travail...

Fin de l'�pisode 6.

La suite ici

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