Jouissance anale 3Titre de l'�pisode : Le r�ve du p�ch�. Je suis rentr� chez moi en courant. J'avais trop la honte d'�tre ainsi d�couvert par des inconnus. Mes d�sirs �taient devenus si forts, si puissants qu'il suffisait que des inconnus me jettent un regard pour conna�tre mes envies, pour comprendre mes pulsions, pour deviner � quelles soumissions je saurais m'abandonner pour satisfaire mes instincts bestiaux. Ces inconnus lisaient sur mon visage comme dans un livre. Et pourtant je ne suis pas du genre eff�min�... Mais la baise avec cet Arabe hier au soir avait tout fait basculer. Le plaisir avait �t� absolu, je ne pouvais plus revenir en arri�re quoi que je pense ou veuille, ce plaisir l�, connu � ce degr� d'intensit�, il me faudrait � nouveau le conna�tre, quoi qu'il m'en co�te. Ma vie ne serait plus qu'un long cheminement toujours plus tortueux, toujours plus pervers pour exaucer ce voeu de plaisir charnel indescriptible, coller jusqu'� la fin de mes jours � ma peau et � mon �tre le plus profond. J'�tais abasourdi par cette r�v�lation. Je me r�p�tais, il y a � peine une heure de cela, " non, je ne suis pas qu'un trou ", et oui j'y croyais sinc�rement, et cela est vrai, je ne suis manifestement pas qu'un trou... Pourtant, apr�s cette aventure, mon cul r�clamerait toujours et encore sa part du festin quel que soit le destin que je tenterais d'accomplir. Pourtant mon cul n'en ferait qu'� sa t�te, " non je ne suis pas qu'un trou " mais oui je ferais l'impossible pour me faire bourrer des heures durant, histoire de retrouver cette sensation de pl�nitude indicible... Ma confusion �tait � son comble. La soir�e passait difficilement. Mes intestins r�clamaient leur dose de foutre. Ma queue et mes couilles r�clamaient des attentions pressantes. Mes pens�es virevoltaient vers le Maghr�bin rencontr� hier au soir, vers son corps puissant qui me fouraillait les entrailles, vers ce bonheur d'�tre ainsi la proie d'une queue, d'une simple queue (c'est cela le plus humiliant), d'une unique queue qui vous r�v�lent � vous-m�me comme aucune exp�rience ant�rieure durant 35 ans de vie ne l'avait jamais fait - le miracle de la queue - ;� la brutalit� de ce corps qui ne pense pas � vous mais � simplement d�charger le plus vite possible, � ce langage cru qu'il employait, ces sarcasmes, ces mots f�minins utilis�s � mon encontre, cette humiliation de n'�tre qu'un trou et dans cette humiliation s'y complaire et m�me mieux, y �tre combl�. Ensuite revenaient � mon esprit ce bar cet apr�s midi, le rire des clients inconnus, leurs regards torves, le sourire aguicheur du serveur qui dans toute autre circonstance m'aurait fait craquer, ce petit vieux (50, 60 ans ?), ses mains qu'ils posent sur mon cul comme si c'�tait sa propri�t� alors que je ne le connaissais pas... Je ne comprenais plus grand-chose... Ont-ils tous devin�s les raisons profondes qui font que j'aime me rendre dans ce type de bar ? Enfin, je repensais aux toilettes, � ma queue dress�e par une excitation incontr�lable, � ce type venu pisser � c�t� de moi, sa pr�sence virile, son jet d'urine puissant, cette envie de boire sa pisse, de m'en asperger, cette envie de me mettre � genoux devant lui, les pieds dans l'urinoir, le pantalon dans la pisse, et lui l�cher ses chaussures, les chaussettes, les pieds, lui nettoyer, m'en enivrer de cette odeur, de cette �cret�... et sa queue, juste entraper�ue et pourtant inoubliable, grosse comme jamais je n'en avais vu, �norme, un boudin dodu, gav�, d�bordant de chair, une largeur v�ritablement impressionnante - je ne pensais m�me pas que �a pouvait exist� un truc aussi gros et large - ce boudin charnu donc qu'il tenait fermement dans sa main, persuad�, je le comprenais maintenant, que je serai hypnotis�.... On le saurait � moins... mais il avait compris qui j'�tais, ils avaient tous compris dans ce bar... et en allant me rejoindre dans les chiottes pour me monter sa pine d'�ne, il savait que je serai abasourdi et excit�, et que sa simple vue ferait d�sormais de moi son esclave. Je comprenais d�sormais le sens de leur mots " � bient�t ", " � bient�t l'ami ". Ils savaient tous que je ne pourrai pas r�sister, que la vue de cette queue m'obs�derait nuit et jour, qu'un jour prochain, je remettrais les pieds dans ce bar pour tenter d'apercevoir � nouveau cette bite de cheval. Que mon r�ve le plus profond serait un jour de toucher cette bite, la caresser, la prendre en bouche puis de me contorsionner en tout sens pour me la prendre profond dans la moule... Tel un p�cheur avec sa ligne et son hame�on, ce type m'avait ferr�, attrap�, fait prisonnier. Il pourrait faire de moi ce qu'il voulait, je serai toujours consentant... Mes id�es lubriques revenaient au galop. Je ne pouvais plus les r�fr�ner. Non je ne veux pas retourner dans ce bar ce soir me r�p�tais-je sans cesse afin de me persuader mais en fait je ne pensais qu'� �a. Il �tait 20h et j'avais encore deux heures � attendre avant que mon inconnu revienne. Non, je ne veux pas. Et puis ce soir je vais � nouveau me faire bourrer royalement, qu'est-ce que je pourrais bien aller chercher l�-bas en plus ? J'ai alors d�cid� de fumer un petit p�tard histoire de rester cool. Tout en fumant, j'ai mat� quelques images pornos sur internet. Ce n'est pas �a qui allait me calmer. J'ai commenc� � me caresser la bite et le cul. Je ne pouvais d�cid�ment pas attendre 22 heures. J'ai sorti de mon placard mes 3 godes, le butt-plug, la graisse, le cockring. Apr�s tout, y'a pas de mal � se faire du bien en attendant la venue de mon prince mena�ant mais si excitant... Je me suis ras� les couilles, le cul et la bite. Je me suis fait un petit lavement pour �tre fin pr�t pour l'assaut de ce soir. Puis comme j'avais encore une heure � perdre j'ai commenc� � me masser la rondelle avec la graisse. Tout de suite des frissons me parcourent. Et je ne peux pas r�sister bien longtemps quand je me caresse le cul, il faut tr�s vite que quelques doigts viennent � l'int�rieur pour prolonger le plaisir. Je commence tout de suite par deux car mon excitation est trop forte. Je trouve imm�diatement la zone prostatique (je connais le chemin !). Je masse en remontant vers l'entr�e de mon cul puis en redescendant vers la prostate. Mes doigts appuient sur mes parois intestines. Je suis parcouru de frissons. J'adore ces caresses anales. Ca pourrait durer des heures, je ne m'en lasserais jamais. Bient�t deux doigts ne suffisent plus. Un troisi�me trouve tr�s vite la bonne direction pour rejoindre ses deux comp�res. Oui, trois c'est bien. Ca �largit bien, la sensation est bonne, je les sens bien forcer le passage, masser mes muqueuses, trouver des zones nouvelles, tourner, virer, revenir, sortir, entrer. Je suis excit� � fond. Je d�cide sur un coup de t�te de fumer un deuxi�me petit joint. Je me l�che bien les doigts pour faciliter le travail sinon �a va coller sur le papier. J'adore le go�t poivr� du jus de mes muqueuses anales. Mais mon cul r�clame sa ration de bite. L'air libre ne lui convient gu�re. Je m'enfonce donc direct le butt-plug pour le faire patienter. Je fume pendant que je cale bien � fond l'objet. Quelles sensations agr�ables ! Je m'assois dessus, tortille du fion tellement �a me fait du bien, g�mis. A chaque fois, c'est comme une d�couverte. Je marche de long en large dans l'appart, en enserrant bien avec ma chatte l'objet. Mais bient�t je mouille trop, je suis trop excit� et je ne parviens plus � retenir le butt-plug. Mon cul est trop ouvert ou le butt-plug pas assez gros... j'enfile un string pensant le faire retenir avec la ficelle. Ca marche un peu mais plus je marche, plus je mouille. Cette sensation que me procure le butt-plug quand je me d�place est si bonne, j'adore �a et bient�t j'ai la chatte toute moite. La ficelle de mon string ne peut alors plus rien retenir, ni les muscles de mon cul pourtant bien entra�n�s. J'ai beau contract� mes muscles, l'objet en plastique glisse le long de mes parois sans que je parvienne � le caler au fond... D��u, je m'allonge et j'opte imm�diatement pour le gode n° 2. Il fait 18 cm avec un gland bien dessin�. Je le sens tr�s bien quand je me l'introduis. J'adore sentir ce gland forcer mes l�vres. J'�mets malgr� moi quelques grognements de b�te en chaleur. Je l'enfonce au plus profond. Une douce sensation de pl�nitude m'envahit. Je reste immobile quelque seconde histoire d'appr�cier � sa juste valeur cette douce p�n�tration. Puis je commence des mouvements de va et vient, lents et profonds, pour appr�cier toute la longueur du gode. J'imagine que c'est mon bel inconnu Maghr�bin qui s'active dans mes boyaux. J'ai la queue raide pr�te � exploser. C'est juste � ce moment l� que l'on frappe � la porte. Fin de l'�pisode 3. N'h�sitez pas � me faire part de vos commentaires et vos suggestions. D'autres �pisodes � venir bient�t La suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |