Cyrillo

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�pisode 1 ici

Jouissance anale 2

Titre de l'�pisode : non, je ne suis pas qu'un trou !

(Remarque pr�liminaire : ceci est une histoire. Baiser avec un inconnu, c'est beaucoup mieux avec une capote...)

J'�tais trop fatigu� pour me lever. Je suis rest� allong� et tr�s vite le sommeil m'a emport�. Mes r�ves m'ont transport� toute la nuit sur des �les peupl�es de m�les tous plus excitants les uns que les autres. Mon corps n'�tait plus qu'un trou b�ant qui jamais ne se rassasiait. Il avalait goul�ment toutes les pines qui se pr�sentaient et apr�s chaque gicl�e, j'attendais une nouvelle saillie pour encore frissonner de plaisir. Au matin, j'avais une trique d'enfer et ne pensait qu'a une seule chose : retrouver mon m�le d'hier au soir pour me donner � lui sans retenue. Et si lui, je ne le retrouvais pas (je n'avais en fait ni son nom ni son adresse ni son tel !) tant pis, je me donnerai � tous ceux, beaux ou laids, qui voudraient bien de ma chatte surexcit�e, pourvu qu'ils sentent la sueur et la testost�rone pendant qu'ils m'engrosseraient.

J'avais un peu honte de toutes ces pens�es lubriques qui m'envahissaient depuis hier au soir mais je ne pouvais pas y rem�dier. Mon esprit toujours revenait vers cet Arabe surpuissant, myst�rieux et magn�tique. Je n'avais jamais rencontr� un tel homme, une telle b�te sexuelle, une telle �nergie. Il envahissait tout, mon esprit, mon corps, mon trou, mes souvenirs. Plus rien ne serait comme avant je le pressentais. J'avais un peu peur de ces pens�es et pourtant je savais d�j� que rien ne pourrait m'arr�ter. Mon plaisir fut trop grand pour que je puisse d�sormais y renoncer. Mais comment le retrouver ? J'avais un seul indice : il vivait lui aussi dans ce quartier puisque c'est lui qui �tait descendu du m�tro en premier. Je ne pouvais donc faire qu'une chose : aller tra�ner dans les petites ruelles sombres o� il m'avait sem� hier au soir. Avec un peu de chance, je ne finirais peut �tre par retomber sur lui.

J'ai encore flemmard� une heure au lit, me caressant les seins, les couilles. J'avais envie d'�tre pris, maintenant tout de suite par mon bel �talon. Mes extases d'hier au soir ne m'avaient pas calm�, bien au contraire. Comme si elles avaient �veill�es en moi des d�sirs jusqu'alors inassouvis, elles suscitaient de nouvelles envies, de nouvelles fi�vres orgiaques. Je caressais mon anus. Il palpitait comme � ses plus beaux jours. Le limage brutal d'hier ne l'avait pas traumatis� c'est le moins que l'on puisse dire. Je pensais que l'intromission de mes doigts pourrait �tre douloureux, en fait pas du tout. Pass� le sphincter que j'ai mouill� avec un peu de salive, mes boyaux �taient toujours aussi humides, d�sireux de se faire retourner en tout sens. Mon travail faisait redescendre un peu de sperme. C'est � ce moment que j'ai d�cid� de me lever pour aller aux toilettes.

Vu la gicl�e re�ue hier au soir, j'imaginais sans peine qu'il y avait beaucoup plus que quelques gouttes � �vacuer ! Certes, dans mon sommeil, j'avais du en laisser s'�chapper un peu mais mes caresses anales de ce matin me prouvaient que mon bel assaillant avait bien du m'enfoutrer tr�s loin dans mes intestins car ce matin encore il en redescendait de sa merveilleuse liqueur. C'est alors que j'ai aper�u, sur le canap�, un petit bout de papier griffonn�. Mon coeur s'est affol� et en tremblant je l'ai port� � mes yeux pour d�couvrir �bloui ce petit mot " ce soir 10h ". Je me assis sous le choc de l'�motion. C'�tait trop beau pour �tre vrai.

Oui, oui, oui. IL REVIENDRAIT. OUI IL ME BAISERAIT � NOUVEAU. OUI OUI OUI. Je me suis gliss� � doigt dans le cul pour tenter d'y recueillir un peu de sperme. Une fois fait, je l'ai port� � mon nez pour y d�couvrir l'odeur de son sperme et ensuite � ma bouche pour savourer son nectar. J'avais la queue raide, c'est peu de le dire. Et je me suis trouv� idiot tout � coup � vouloir gaspiller dans les toilettes ce bon jus qui me restait au fond de la moule. J'ai pris mon petit dej la queue toujours � l'�querre. Puis je suis all� dans la salle de bain. Agenouill�, je me suis branl� l'anus pour tenter de recueillir la cr�me sacr�e de mon m�le. Je me l�chais les doigts au fur et � mesure mais je n'�tais pas certain de retrouver beaucoup de son sperme. C'�tait probablement plus ma mouille anale que sa semence. C'est alors que je me suis fait cette promesse � moi-m�me : ce soir, juste apr�s la baise, j'irais recracher son jus dans un bol pour ensuite le boire en pensant � lui quand il ne sera plus l�. Ces id�es m'�chauffaient au plus haut point. Je ne savais pas comment j'allais faire pour l'attendre, lui le h�ros, jusqu'� 10h ce soir. Et il fallait bien le reconna�tre, les grandes l�vres de mon anus commen�aient � �tre irrit�es tellement je les manipulaient. Il fallait que je laisse ma chatte se reposer jusqu'� ce soir... ainsi la saillie n'en serait que meilleure...

J'ai essay� de m'occuper � diverses t�ches mais je ne pouvais me concentrer sur rien. Ce Maghr�bin rencontr� hier au soir �tait devenu une v�ritable obsession. Je ne pouvais pas r�fr�ner mes d�sirs et mes souvenirs. A 16 heures, j'ai d�cid� de sortir pour me balader. Tout en marchant, je me suis dirig� vers les rues d'hier au soir o� je l'avais perdu une premi�re fois. Je me prenais � r�ver que j'allais retomber sur lui. Il me souriait et m'invitait � boire un verre... Non la r�alit� �tait plus dure : peut �tre le retrouverai-je en effet ce soir mais quelle serait l'issue � cette histoire ? Il me baisera d'accord. Je prendrai mon pied, d'accord Mais il ne me sourira pas. Il n'aime pas les p�d�s ! Quel genre d'aventure ;peut bien se poursuivre apr�s un pareil d�but? Devais-je simplement le revoir ? N'y avait-il pas hier au soir du m�pris dans son regard ? Apr�s avoir jut�, a-t-il eu simplement un geste tendre, un geste reconnaissant ? Non, rien. Rien. Tout cela n'�tait qu'un �chec et je ne devais pas m'engager dans une histoire aussi insens�e. Il fallait que je l'oublie au plus vite ce type.

Ma balade me faisait reprendre petit � petit mes esprits. La queue, c'est bien, tr�s bien m�me mais ne fallait-il pas aussi ce petit plus, ce suppl�ment d'�me pour faire toute la diff�rence ? L'air frais me permettait d'oublier les vapeurs du sexe sans issu. J'�tais content de ma lucidit� retrouv�e. Je n'�tais plus ce trou insatiable, infatigable, j'�tais aussi un homme avec tous ses sens, ses 5 sens ! Ses besoins divers et compl�mentaires. Un homme avec son d�sir de queues vigoureuses et de caresses langoureuses. Mon beau Maghr�bin ne saurait m'offrir, et seulement tr�s temporairement je le devinais ais�ment, que la premi�re de ces envies. La seconde lui �tait �trang�re, ;du moins en compagnie d'un autre homme ! Car en fait je ne savais rien sur lui, pas m�me la grosseur de sa queue puisqu'il il avait �t� jusqu'� m'interdire de le regarder ! Certes, avec le plaisir qu'elle m'avait procur� cette pine et la sensation de mon anus distendu, je n'avais aucun mal � l'imaginer d'une longueur d'au moins 18/20 cm... Mais ne valais-je pas mieux que 20 cm !!??

Bon dieu, je ne suis pas qu'un trou me r�p�tais-je maintenant sans arr�t tandis que je marchais sur mes pas d'hier au soir. Ce quartier est si agr�able � arpenter. Les hommes si beaux. Tous ces rebeus, ces blacks, ces petits jeunes qui se la jouent lascars... Leur vue m'excite toujours quoi que je fasse... Ceux qui connaissent le quartier de M�nilmontant me comprendront.

Je d�cide alors de prendre un verre dans un petit bar d'habitu�s c'est-�-dire l� o� aucun blanc ne vient jamais. J'ai toujours un peu d'appr�hension quand je rentre dans ce type d'endroits car les blancs ne s'y arr�tent jamais. Les clients me regardent �trangement en se demandant qui je suis et pourquoi je rentre ici mais, moi, ;j'aime l'ambiance, la musique, les senteurs de ces bars. Je regarde ces hommes qui n'arr�tent pas de se toucher entre eux sans que quelqu'un n'y voit quelque chose � redire. Pour eux, il n'y a aucune �quivoque dans leur attouchement, pour moi....

Je rep�re tout de suite deux jeunes beurs au bar en grande conversation. Je m'accoude pr�s d'eux et commande un caf�. Mais ils ne me pr�tent aucune attention. Les autres non plus. Pourtant ils m'excitent. Je les imagine me prendre sans m�nagement dans les toilettes. Ca y est je recommence � bander ! Merde. En plus j'ai mis un jean vachement serr� sans rien dessous. Je suis g�n�. Je n'ose plus bouger alors que je sens ma queue durcir et s'allonger le long de ma jambe. D�j� qu'un petit blanc se fait rep�rer ici, si en plus j'ai une gaule d'enfer... comment je vais ressortir ? Je croise soudain le regard d'un vieux tout seul fond du caf�. Je ne sais plus o� me foutre. En vitesse ; je me dirige vers les toilettes. Si certains me regardent, ils ne pourront pas ne pas voir la forme de mon entrejambe....

De peur de croiser d'autres regards, je baisse la t�te et rentre dans les toilettes. J'entends des rires derri�re moi. Suis-je parano ? La queue me fait mal dans ce jean serr�. J'essaie de pisser dans l'urinoir mais impossible. Et je ne sais plus comment la remettre en place dans mon jean ! La porte s'ouvre et un mec d'une quarantaine d'ann�e entre. La situation me trouble. Je rentre au plus vite ma queue en la mettant � la verticale dans le sens de la hauteur le long de ma braguette. Elle d�passe de mon jean. Je passe mon tee-shirt par dessus pour couvrir mon gland. Je m'approche du lavabo, qui est juste � c�t�, pour me laver les mains tandis que mon voisin sort son outil pour pisser. J'ose � peine regarder mais je ne peux pourtant pas m'emp�cher.... Bon dieu quelle bite ! La mienne cogne d�sesp�r�ment contre ma braguette. Je jette un deuxi�me coup d'oeil. Non, je ne me suis pas tromp�. Elle est monstrueusement grosse et elle n'est qu'au repos. Monstrueusement grosse !! Je n'ai jamais vu un boudin pareil. Aurais-je des hallucinations ?? Un flot de pisse jaillit contre l'urinoir.

Je souhaiterais me foutre � genou pour boire direct � la fontaine de jouvence. Je suis ensorcel�. J'essaie en vain de me convaincre non, ;non, tu n'es pas qu'un trou ! Pourtant je ne peux pas d�tacher mon regard de cet engin. Le propri�taire, dont je n'ose que regarder furtivement le visage, m'ignore. Il secoue sa matraque pendant que je m'essuie les mains et il ressort aussit�t. Je respire profond�ment et sort � mon tour. Quatre mecs au comptoir, dont le fameux propri�taire de la bite aper�ue dans les toilettes, s'esclaffent en me fixant. Je ne sais pas o� me foutre. J'ai l'impression que c'est tout le bar qui me regarde. Il faut pourtant que je paie mon caf�. Je demande l'addition. Le serveur me sourit �trangement.

Je n'en peux plus. Il discute avec les 4 mecs. Le petit vieux, aper�u tout � l'heure s'accoude au comptoir tout contre moi. ;Je tremble. Tout � coup j'ai l'impression que quelque chose me caresser le cul. Il dit quelque chose en arabe au serveur. Le serveur rigole de plus bel. Je luis tends un billet pour qu'il me rende la monnaie au plus vite mais il ne pr�te pas attention � moi. Le petit vieux ramasse ses pi�ces et me murmure � l'oreille " � bient�t ". Pourquoi il me dit �a le vieux, il d�bloque ou quoi, je ne le connais pas ! Le serveur me rend enfin la monnaie. " A bient�t l'ami " qu'il me lance lui aussi en me faisant un clin d'oeil aguicheur. J'en avale de travers ma salive.

Les 4 mecs me matent de haut en bas. Sans plus attendre, je me retourne et me dirige vers la sortie. J'entends un mec siffler comme il aurait siffl� une gonzesse. Les rires repartent de plus bel. J'ai trop honte. Je sors sans me retourner et rentre chez moi au plus.

Fin de l'�pisode 2.

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