Cyrillo

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Mon premier job d'�tudiant

L'ann�e de mes 19 ans je rejoignais la fac de sciences. Pour subvenir � mon quotidien, je cherchais un boulot dans les petites annonces .Une semaine plus tard, par chance, j'�tais contact� par une cha�ne de cin�ma de ma ville. Celle ci, proposait un CDI � temps partiel pour tenir la caisse trois soirs par semaine. Apr�s la rencontre avec la direction ils me confirm�rent mon embauche. Je fus convoquer � un rendez vous pour prendre mes mesures pour le pantalon noir obligatoire, la chemise blanche au logo du cin� et les chaussures noirs qui compl�taient le tout. Le DRH m'informait que la premi�re semaine serait en duo avec Vincent, un jeune de 22 ans. Celui ci ferait �quipe avec moi et me passerait les consignes. Le premier RDV �tait fix� entre Vincent et moi une heure avant ma prise de poste. A l'heure dite j'attendais devant le cinoche...quelques instants plus tard, je vis arriver un petit macho, jean entaill� au genoux et sweet � l'effigie d' ACDC.

Il �tait grand, un bon m�tre quatre vingt, tr�s minces les cheveux noir corbeau en �pis tenus par du gel luisant. Il avait un visage fin et le teint mat. Ce qui marquait le plus c'�tait surtout ses yeux d'un bleu profond contrastant avec cette tignasse noire. Il arborait un sourire narquois du mec sur de lui.

Il tenait par la main une p�tasse au cheveux rouge maquillage soutenue en un mot : une vraie pute. Vincent s'avan�a vers moi directement " salut C�dric, j'ai vu ta photo chez le DRH, elle te ressemble donc ce doit �tre toi...je suis ton ange gardien pour la semaine et si tu es OK nous ferons �quipe. Elle c'est C�line ma copine "
Quel contraste entre lui et moi ; j'�tais blond comme les bl�s, 1m75 les yeux vert, le teint pale et la tenue vestimentaire classique, jean 501, chemisette blanche et tennis.
En d�taillant Vincent pendant qu'il me parlait, je constatait qu'il portait un pearcing au sourcil gauche, une petite boucle en or sur l'oreille droite, et un poignet de force en cuir brun plant� de quelques clous inox.

Apr�s les explication sur l'organisation du cin�, il embrassa goul�ment sa C�line qui tortilla du cul pour partir en lui lan�ant trois bais�s � distance...tout ce que je hais chez une femme elle le portait...une vraie cata...si Vincent aime ce tas de boue, me dis je en moi m�me, nous ne devons pas partager grand chose ensemble !

Nous nous dirige�mes ensuite vers le vestiaire pour enfiler notre tenue. J'avais un placard juste � cot� du sien. Il �ta son sweet et je d�couvrais son corps sec et musculeux car il ne portait rien sous son pull. Il ouvrit un sac en plastique de son placard dans lequel se trouvait un slip blanc. Il commen�ait � d�boutonner son jean et devant mon regard questionneur il prit l'initiative " T'es surpris du cal bute ? Pour tout te dire je n'en porte jamais en ville mais le t�lier veux que j'en ai un sous le fut du cin� .... C'est donc mon slip de travail. " Dit il en riant.
Sympa la remarque. Je me d�shabillais � mon tour et me retrouva en cale�on pour enfiler la tenue taill�e � mes mesures. Je sentais le regard de Vincent qui scrutait mon corps. Je fais beaucoup de sport et j'ai une musculature assez d�velopp�e. Par contre, contrairement � Vincent, je suis non seulement totalement imberbe mais pratiquement sans poil. ..En un mot j'ai un look d'ados.

Vincent me tournait le dos et apr�s la chute du jean je vis ses longues jambes minces recouvertes de petits poils noirs boucl�s ainsi que sur les fesses. Malgr� mes efforts impossible d'apercevoir, ni deviner l'image de sa bite.
Dans sa tenue de boulot il �tait m�connaissable et superbe.il avait de la classe.
Notre boulot consistait � donner les tickets aux clients enferm�s que nous �tions dans notre petite cabine vitr�e. Je remarquais vite � quel point Vincent �tait tactile, chaque fois qu'il passait pr�s de moi, il me posait la main sur l'�paule ou la cuisse pour me demander quelque chose o� posait sa main sur la mienne lorsque nous faisions les comptes en fin de journ�e. Ce petit macho qui envoyait balader quiconque l'emmerdait cachait un vrai coeur d'artichaut

A la fin de la deuxi�me semaine alors que nous nous changions comme d'habitude au vestiaire il tomba son slip et se retourna pour le ramasser ; J'aper�u alors sa bite plut�t petite avec deux valseuses bien rondes et l'ensemble enti�rement ras� surprenant, mais superbe. Ce m�me jour il m'invita pour prendre une bi�re chez lui apr�s le boulot.
Vers 23 h nous part�mes ensemble avec ma voiture jusqu'� son appart. C�line �tait l�, dans un immense pullover qui lui arrivait au milieu des cuisses, et lui cachait les mains. Apr�s la bise de bienvenue et la pelle goulue entre Vincent et elle, nous nous install�mes sur une esp�ce de vieux lit faisant office de canap�.

Vincent �ta son sweet et c'est torse nu qu'il servit une grande rasade de pastis. Pendant que nous discutions, C�line �tait venue se pelotonner contre l'�paule de Vincent. Avec ses ongles elle lui titillait le sein et jouait avec les petits poils noirs qui partaient de son jean en direction de son nombril. Rapidement, je constatais que ce jeu lui faisait de l'effet car, de toute �vidence la bosse qui se dessinait sous son jean �tait une �rection. Sans complexe d'ailleurs tout en discutant avec moi il passa sa main dans son fut pour remettre sa bite en place le long de la braguette " Arr�te C�line, tu me fais bander, soit sympa STP " cette remarque qui ne tol�rait aucune r�ponse, eut pour effet de faire fuir la p�tasse dans sa chambre.
Vincent parlait beaucoup et d'une fa�on plus brillante que ne donnais � croire son personnage Nous en �tions � notre cinqui�me tourn�e de pastis. Je commen�ais � ressentir les effluves de l'alcool mais la douceur du discours et l'ambiance aidant je me trouvais bien.

Tout � coup Vincent me sollicita " Dis C�dric, pourquoi tu es toujours aussi coinc� ? Par exemple pourquoi tu gardes ta chemise alors que je suis torse nu depuis le d�but et qu'il fait chaud ? " Piqu� au vif, je r�pondis aussi sec " mais je ne suis pas coinc� si cela te fait plaisir, regarde j'�te ma chemise cela ne me d�range pas m�me s'il fallait se foutre en cal but je m'en tape ! " " Pas cap " me dit il. Bien pouss� par l'alcool, je ne me fis pas prier plus longtemps et je tombais mon fut pour me trouver en cale�on assis sur le canap�.

" Bravo mec ! Tu es moins bloqu� que je le pensais, tiens moi aussi je vais tomber le jean ! " naturellement, je savais que Vincent ne portait jamais de slip et d�j� l'id�e de le voir � poil, si l'on peut dire, me provoqua un d�but d'�rection mal cach� par mon cale�on ample qui devait laisser voir ma bite � celui qui se placerait en face de moi. C'est d'ailleurs ce que fit Vincent. Je pouvais contempler sa petite bite non circoncise mais sans poils. Je pensais qu'il devait pouvoir par une jambe de mon cale�on trop large voir mon sexe
" Vincent pourquoi tu te rases la queue ? " " C'est plus propre pour celui qui suce ! " " Ah ? C�line suce ? "
" Non mais mon mec oui ! " " Ton mec ? " " Mais C�dric, tu ne t'es pas rendu compte que j'aime les mecs ? "
"Non ! ok ; tu es tr�s tactile ! Mais et C�line ? " Vincent r�pliqua illico " mais nous baisons pas ensemble elle est gouine sa copine termine ses �tude en Juin aussi elle r�side chez moi en attendant "

Tout � coup il hurla " C�line viens voir ! ". Quelques secondes apr�s, la p�tasse d�barqua dans la pi�ce en slip et pull over. " Viens t'asseoir � ma plac,e regarde la belle bite de C�dric, elle trique � moiti�, fais la lui monter ! "

J'�tais scotch� sur mon si�ge d'entendre cette remarque. C�line �ta son pull et d�couvrit un buste nu, svelte avec deux petits seins ronds superbes. Puis lentement, �ta son slip face � moi pour pr�senter une chatte ras�e dans laquelle elle glissa lascivement son indexe ... mimant ainsi une masturbation profonde. Sur moi, qui suis bi avec cependant une l�g�re pr�f�rence pour les mecs, la r�action ne se fit pas attendre : j'avais une �rection d'enfer.
Ma bitte avait d�ploy�e ses 18 cm, commen�ait � mouiller, et sortait sa t�te de mon cale�on.
Alors, Vincent s'interposa entre C�line et moi, se mit � genoux posa ses mais sur les miens et m'�carta les jambes. Ma bitte sortait fi�rement de son enclave de tissu. Vincent attrapa mon cale�on par la ceinture et me dit " Enl�ve �a ! " Je levais mes fesses pour qu'il puisse faire glisser mon sous v�tement jusqu'� mes chevilles.

Puis, ses immense yeux bleus profonds plant�s dans les miens, il posa doucement ses l�vres sur ma queue en l�chant les premi�res gouttes de sperme qui s'en �chappais. ; C�line �tait toujours en retrait et observait.

Vincent commen�ait � me faire une pipe admirable me faisant l�cher des g�missements de gonzesse tellement c'�tait tendre et bon. Puis il me tourna le dos se mis � quatre patte me tendit deux pr�servatifs et deux doses de gel " je veux que tu m'encule ! Prends moi, je suis ta femme ! ". Je commen�ais � le doigter pour ouvrir cette belle petite rondelle rose ras�e elle aussi. Il se tortillait comme un vers " fais moi jouir du cul ! "Me dit il.

J'enfilais le pr�servatif et pressentais ma queue plus raide que jamais devant cet orifice b�nit.
L'introduction se fit sans r�sistance, ce cul �tait un vrai garage � bitte. Il �tait large, chaud doux....enfin le pied quoi. Pendant que je le tringlais de plus en plus fort et qu'il g�missait de plaisir, C�line vint se coucher sous Vincent, en travers, la poitrine sous la queue qui ballottait. C�line par la m�me occasion se masturbait activement. Entre ce cul magique et le spectacle qui s'offrait autour de moi je n'en pouvait plus " Vincent, je vais jouir ! " " Moi aussi " me dit il " jouissons ensemble ! " Je sentais ma semence emplir le pr�servatif et � chaque mont�e je donnais un coup de boutoir dans ce cul accueillant. Vincent jouissait en m�me temps et, � chaque jet de foutre, il comprimait ma bitte en serrant le cul. Pendant ce temps C�line avait re�ue tout le sperme de Vincent sur la poitrine et l'�talait en se massant les seins. Son corps �tait luisant...putain, pensais je, Vincent n'avait pas du jouir depuis plusieurs jours pour avoir crach� une telle quantit� de foutre.

Epuis�s, pendant que C�line regagnait sa chambre, Vincent se leva et m'embrassa longuement et tendrement
" Merci C�dric, c'�tait super, tu me plais depuis le premier instant, que je t'ai vu. " me dit il. Puis, il m'enleva ma capote, bien remplie, pour la mettre dans le cendrier. Tendrement il me dit " Attends, je vais te nettoyer. " et par petit coup de langue, il fit le tour de mon pr�puce, pompa la hampe sur sa longueur, enleva la moindre goutte de foutre qui tra�nait. Bien que j'ai d�band�, je sentais un nouvelle �rection monter en moi ; " Et bien C�dric, quelle sant�, si je continue tu vas remettre le couvert. " me dit il. Cette remarque nous fit �changer un grand moment de rire scellant ainsi notre complicit� naissante.

Nous rest�mes un grand moment dans les bras l'un de l'autre � nous caresser tendrement avec de temps en temps une petite pointe d'�rection de l'un ou de l'autre qui d�clenchait � chaque fois nos rires. Il �tait 2 heures du mat quand je quittais Vincent, dire que je n'�tais venu que pour l'ap�ro ! Le lendemain au cinoche quelle ne fut pas ma surprise de le voir arriver, en jean beige, chemise claire, sans son piercing, un vrai dandy. Putain qu'il �tait beau avec ses cheveux noir brillant et ses yeux profonds. Ma remarque fut imm�diate " Bordel, Vincent tu vas d'enterrement ? Tu es beau comme un dieu. " Pour une fois son sourire moqueur ne pointait pas. Il �tait l�, fragile, debout devant moi, ses longues mains crois�es devant lui.

D'une voix douce il s'adressa � moi " Arr�te C�dric, c'est d�j� assez dur, ne te moque pas de moi et r�ponds moi franchement. Veux tu vivre avec moi ? Je t'aime. " Une telle d�claration me tira les larmes du corps, le petit macho d'op�rette se transformait en tendre amant. Je me pr�cipitais dans ses bras " Moi aussi je t'aime Vincent, ma r�ponse est oui. "
Voil�, cela fait 14 mois que nous sommes install�s ensemble. Vincent a chang� de style de v�tement, C�line est retourn�e chez sa copine et chaque fois que nous sortons en boite gay, je vois de nombreux regards pointer vers mon mec : c'est le plus beau.

C�dric.

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