JF 1 ma premiere experienceJ'avais alors xxx ans, 1,71 m pour 72 kg tr�s muscl� gr�ce � une pratique du sport effr�n�e et sans limite. La nature m'avait bien dot�e d�j� a mon �ge j'avais une bonne teub de 20 cm et globalement imberbe. Des mon plus jeune �ge j'ai pratiqu� je hockey sur glace...ce qui m'a value de me d�velopper physiquement. Je faisais un 38 de tour de taille mais j'�tais tr�s charpent�. J avais beaucoup de succ�s aupr�s des filles et il est vrais que je ne disais jamais non des que l'une d'entre elle venait me soutenir et m'admirer sur la glace pendant les matchs... J'avais mon petit fan club (mais bon n'exag�rons rien) Mon meilleur ami �tait goal de notre �quipe et nous �tions tous deux dans la m�me �cole et dans une classe juste l'une � cot� de l'autre. On se voyait a l'�cole, le mercredi �pres midi, le mercredi soir lors de nos entrainements de hockey, le vendredi soir lors de notre autre entrainement, et le samedi pour voir la t�l� ou faire un foot ensemble ou une partie de tennis, et sans parler des matchs que nous disputions ensemble puisque de la m�me �quipe dans cette �quipe de hockey. Nous vivions globalement au m�me rythme... Nous passions �norm�ment de temps ensemble, mais jusqu'a pr�sent Jean Fran�ois et moi n'avions eu aucun rapport sexuel entre nous, je ne savais alors m�me pas qu'entre mec cela pouvait s'imaginer... JF avait un malin plaisir lorsque nous chahutions de me mettre avec le plat de la main un coup dans les coucounniettes ce qui faisait mal bien sure. Ce jeux imb�cile de faire mal a l'autre m'amusait et je le lui rendais bien a chaque occasion....nous �tions effectivement dans des jeux d'adolescent. Nous passions notre temps ensemble et j'y prenais beaucoup de plaisir...un jour, JF se plaignant d'un mal de dents et ma m�re �tant dentiste, on s'organise avec JF pour qu'il se fasse soigner par ma m�re. Ma m�re exer�ait dans une petite ville � quelques km de notre habitation. Afin de facilit� pour JF et sa m�re le d�placement au cabinet dentaire de ma m�re, il fut convenu que JF �pres l'entrainement de hockey le vendredi soir rentrerait de la patinoire avec moi, mangerait a la maison, dormirait a la maison, et, ma m�re le lendemain matin en allant travailler emm�nerait JF pour se faire soigner...sa m�re alors n'aurait plus qu'un simple d�placement a faire pour venir chercher sa prog�niture. Mon histoire va donc commencer ici...nous voila enfin inscrit dans le contexte de la d�couverte de mon homosexualit�. JF, contenu de l'�tat de ses dents en avait pour un paquet de s�ance � se faire rafistoler le ratelier.il fut donc d�cid� que tous les samedi matins suivants il irait se faire soigner chez ma m�re....bien �videment celui ci devait donc dormir tous les vendredi soir � la maison. Chaque vendredi soir, comme a notre habitude nous regardions la t�l� ensemble. C'�tait r�gl� comme du papier � musique...Tous les vendredis mes parents mangeaient au resto avec leurs amis et nous deux restions � la maison devant un plat d�j� pr�par� par ma ch�re maman. Nous �tions ensuite devant cette sacr� t�l� puis nous montions dans les chambres � l'�tage pour y retrouver notre lit. Nous dormions chacun dans notre chambre, lui dans la chambre d'ami moi dans la mienne. Mais ne pouvant po se passer l'un de l'autre, et toujours heureux de pouvoir chahuter encore un peux plus, syst�matiquement, je venais le retrouver dans sa chambre pour red�marrer notre chahut nos discussions ou m�me, comme enfant sage, de lire l'un � cot� de l'autre. Un soir dans ce chahut parmi tant d'autre JF me mets un coup un peu trop fort dans le coucounniette....si bien que je me retrouve essouffl� et ayant tr�s mal comme vous pouvez l'imaginer Je lui dis - arr�tes JF t' con ou quoi cela fait mal J'�tais tordu de douleur attendant paisiblement que cette douleur passe - je suis d�sol� je ne voulais pas te faire mal - il y a moyen de s'amuser sans se faire mal, je pr�f�rerais que tu me caresses les couilles plut�t que de me les fracasser... -ah d�sol� ...me r�pondit JF...mon mal commen�ait � s'apaiser doucement... -d�sol� Laurent me relan�a t il ...et insistant cette fois ci je lui dis - JF la prochaine fois caresse moi plut�t que de me frapper On �clata de rire et notre chahut sur son lit recommen�a ...sauf que cette fois ci je me laissais faire et lui accordais de prendre le dessus pour voir si il avait l'intention de me faire mal ou de suivre ma consigne de me caresser plut�t que de me frapper. Cela ne traina pas ...mais cette fois si il attrapa d'abord mes couilles d�licatement et � plusieurs reprises. Il les prenait puis rel�chait...cela commen�ait � m'exciter grave... Je commen�ais � bander, et JF m'excitait de plus en plus. L'excitation montait, et je d�cidais de lui faire la m�me chose...notre main �tait plac� pour la premi�re fois sur le sexe de l'autre. Il n'�tait plus question de faire du mal � l'autre mais plut�t de lui offrir du plaisir. Ce que nous ne manquions pas de faire Je m'aper�u que son sexe arrivait rapidement a l'apog�e de son �rection ...i Je n'�tais pas dans un meilleurs �tat que lui...sous nos cale�ons il y avait nos membres band�s, raides comme un bout de bois. Je continuais � le caresser par dessus son cale�on et je sentais son sexe gonfl� de plus en plus. Il faisait de m�me. Nous nous sommes regard�s un instant dans les yeux s'interrogeant sur cette situation peu ordinaire mais surtout tr�s agr�able. Nos respirations augmentaient, le plaisir �tait bien la....je caressais son sexe en �rection toujours a travers le tissus du cale�on que je trouvais de plus en plus g�nant...je d�cidais donc de passer ma main a l'int�rieur et d'attraper sa teub qui m'excitait grave... Il fit de m�me et nous prenions un plaisir fou. Fatiguer par la pr�sence insupportable de ces cale�ons, il a �t� pris la sage d�cision de les enlever. Alors, entre nous, " sage " je ne suis pas sure, mais en attendant nous nous retrouvions tous les deux � poils, nos deux sexe tendus vers le plafond r�clamant a tous va que l'on s'occupe d'eux. Nous avons donc progressivement transform� cette caresse en masturbation de plus en plus intense, nous prenions un plaisir comme jamais nous n'en avions connu jusqu'a pr�sent. Ce plaisir montait et montait encore, nos souffles s'emballaient, l'un comme l'autre sentions le sexe de l'autre se contracter de plus en plus jusqu'au moment ou JF me regarda et me dit : - Laurent je crois que je vais juter... J'acc�l�rais le mouvement de cette masturbation - Laurent....oui !!!!!!...oh oui !!!! je ...je ... JF jouit alors abondamment dans ma main et immaculait par la m�me occasion son ventre ... Je ne tardais pas non plus � �jaculer � mon tour et dans un r�le profond JF me fit jouir et jouir encore et encore. J'�tais couvert de mon sperme. J'avais pour la premi�re fois pris un pied extraordinaire � jouir comme jamais....ce fut ainsi ma premi�re exp�rience. Mais bien d'autres aventures me sont encore arriv�es a JF ...cela me vaudra sans doute de vous les compter. LaurentSuite de l'histoireR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES Pour plus d'info : |