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Janis d�pucel� � 22 ans.

Je m'appelle R�gis, j'ai 43 ans . Je suis expert aupr�s des tribunaux et j'interviens dans plusieurs universit�s en droit international. J'adore ces temps qui me permettent de sortir du cercle restreint des juges et me mettent en relation avec les �tudiants.
Il y a un an, il m'est arriv� une aventure particuli�re � la fac de Lyon.
Je devais faire une intervention et participer � la soutenance de m�moires Comme j'�tais en avance, je me suis install� dans un bar et consomm� deux bi�res. La cons�quence ?en rentrant � l'universit� j'avais envie de pisser. Je me suis diriger vers les toilettes hommes et comme les deux urinoirs �taient occup�s, je poussais la porte d'un WC. Et l�, surprise, un jeune mec appuy� au mur, le pantalon sur les chevilles, la chemise ouverte, se branlait avec acharnement. Il avait les yeux ferm�s tellement le plaisir �tait intense. Tout � coup il d�couvrit que je le regardais. Il devint rouge des pieds � la t�te tentant de relever pr�cipitamment son jean et de cacher sa bite par un pan de chemise." Excusez moi, j'ai oubli� de fermer " bredouilla-t-il.
Je le gratifiais de mon plus beau sourire lui signifiant que je n'�tais pas choqu� et je tirais la porte pour attendre devant.
Quelques secondes plus tard il sortit toujours aussi confus et s'�clipsa rapidement dans le couloir. Honn�tement j'�tais ravi de cet �v�nement et tout en pissant je me rem�morais la vision . Le mec �tait grand, certainement entre 1m85 /1m90, blond fris�, tr�s mince d'autant que je me souvienne, je n'avais pas vu de poils sur le torse tout au plus une toute petite couronne autour du sexe. Je revoyais sa bite, fine et longue avec deux petites valseuses. Il avait de longues jambes muscl�es. Rien qu'en revoyant la sc�ne dans ma t�te je sentais qu'un d�but d'�rection se faisait jour.. ;stop, il fallait que je me calme, je n'�tais pas l� pour �a.. Je rejoignais rapidement la salle qui m'�tait attribu�e tout en croisant de nombreux �tudiants pour certains tr�s mignons.

J'arrivais dans la salle o� se trouvait d�j� Christophe, jeune prof de droit, que je connaissais d�j� et qui m'accueillit avec beaucoup d'�gard. Le matin s'est d�roul� lentement avec trois soutenances, puis nous avons repris vers 13 h la suite des entretiens. Le quatri�me candidat appel� poussa la porte, et , surprise, c'�tait mon petit branleur du matin.
A nouveau il piqua un phare pas possible sans oser me regarder dans les yeux. Dans son int�r�t, il �tait imp�ratif que je le mette � l'aise. Aussi j'amor�ais des questions du type : s'il �tait de cette fac, si c'�tait sa premi�re soutenance...etc. lorsque, j'ai senti qu'il avait compris que je ne tiendrais aucun compte de l'�v�nement du matin je pouvais commencer l'audition.
Ce jeune homme, nomm� Janis, avait choisi un sujet difficile, mais que je connaissais parfaitement ayant �dit� deux revues sur le sujet. ;Le candidat �tait brillant et au fur et � mesure de son expos�, je le d�taillais de la t�te aux pieds ; grand, tr�s mince, blond, imberbe, sourire franc m�che rebelle sur l'oeil.
Maintenant, il soutenait mon regard et me fixait avec ses yeux gris-bleu soulign�s par de petites lunettes ovales.
� la fin de l'apr�s-midi, nous r�capitulions les r�sultats avec Christophe et je lui faisais que deux candidats dont Janis avait fait une excellente prestation et que cela n�cessitait que je poursuive ult�rieurement le th�me avec eux. Cette attitude �tant assez courante pour les tuteurs de stage, Christophe n'y vit aucune malice. Il m'informait aussi qu'un crit�rium cycliste aurait lieu dans le campus le dimanche suivant et que Janis �tait un des favoris.

Naturellement le dimanche je me rendais au campus et d�s mon arriv�e, en raison de sa grande taille, je rep�rais Janis appuy� sur une barri�re. Je fendais la foule et venais le saluer ; � son sourire �clatant je traduisais que cela lui faisait tr�s plaisir.
Il �tait habill� d'un maillot moulant portant de nombreuses adresses de sponsors, et un cuissard noir moulant laissant deviner toute son anatomie. Visiblement il avait une bite longue et fine qui me faisait fantasmer." D�sol�s, vous ne me verrez pas courir, c'est une �preuve par �quipe, je ne roulerais maintenant qu'apr�s 15h30 " me dit-il.

Je profitais de cette opportunit� pour le f�liciter sur le travail fourni pour son m�moire. Je lui demandais s'il pouvait me passer une copie afin que je puisse l'�tudier plus en d�tail et lui formuler des remarques que je n'avais pas eu le temps de concr�tiser lors de la soutenance. Cette sollicitude le ravi et il me r�pondit qu'il avait plusieurs copies de son rapport dans sa chambre universitaire sur le campus. Nous convenions de nous y rendre pour que je prenne possession de ce document. Chemin faisant nous discutions � b�ton rompu et je d�couvrais un gar�on tr�s vif d'esprit merveilleusement naturel et dr�le.
Je croisais dans les couloirs des chambres plusieurs �tudiants pour certain, torse nu pour d'autres en short exposant sans complexe la beaut� de leur jeunesse.
La chambre de Janis faisait tout au plus 10 m2 contenant une table servant de bureau, une chaise, un lit en 90, et un lavabo fix� au mur ; les douches �tant sur le palier.
Il me remit une copie de son rapport que je commen�ais � lire assis sur le lit. Janis �ta son maillot m'offrant � la vue un corps parfaitement galb� � la musculature cisel�e et deux petits t�tons marron surplombant deux pectoraux que je devinais durs. Il s'enroula une serviette de bain autour de la taille afin d'enlever son cuissard, chacun sait que ce v�tement se porte � m�me la peau sans slip. Janis me laissait dans sa chambre pendant qu'il partait aux douches au bout du couloir.
Mon regard fut attir� par des revues pos�es sous le lit et je d�couvrais " TETU " et PREF " Tiens ? en plus d'�tre branleur, mon bel �tudiant serait-il gay ? je commen�ais � trouver la situation bandante.
Il revint de la douche et sans pudeur enfila un tee shirt �ta sa serviette pour mettre un slip . Naturellement je ne me cachais pas pour d�tailler sa bitte mince et ses deux petites valseuses accroch�es ;et mon regard n'avais pas l'air de le d�ranger. C'est lui qui entama la conversation " je n'ai pas � me g�ner devant vous, vous m'avez vu dans une toute autre posture ..Alors... "
Je constatais qu'il avait en me parlant une demi-�rection visible sous ce slip blanc. ;" Oui, r�pondis-je, mais si tu continu tu vas recommencer � bander fort et je vais en faire de m�me. Ne tente pas le diable ", " ma remarque n'eut pas l'air de le surprendre et il me gratifia d'un sourire racoleur.
" Tentez toujours ! " je tendis la main et toucha le bout de cette bitte � travers le slip. La r�action fut presque instantan�e, l'�rection prenait des proportions sympas tendant le tissu blanc qui d�couvrait la limite des poils pubiens. Je lui pris la main et le tirai vers moi, sa queue �tait juste en face de mon visage. Je commen�ais � mordiller la hampe � travers le tissus. ;Janis les yeux ferm�s g�missait. Puis j'aper�us le bout de la bitte passer la t�te � la ceinture du slip. Ni tenant plus je la lui sortis. Elle devait faire 18/19 cm mais d'un tout petit diam�tre peut �tre 3 ;/3,5. Je posais me l�vres sur le gland luisant de sperme naissant. Je gobais d'un coup cette queue offerte sur fond de g�missement de Janis. Je n'avais pas suc� quatre coups qu'il me pr�vient de l'arriver de sa jouissance ;Je le prenais par les fesses pour pousser sa bite � fond de ma gorge dans laquelle il se d�chargea en long jets. Je restais ainsi quelques secondes afin qu'il ait bien tout crach�. Puis, doucement avec ma langue, je nettoyais sa bitte. " Excusez-moi, mais c'�tait trop bon. "Me dit-il.
Nous convenons de nous retrouver le jeudi suivant chez moi afin qu'il r�cup�re son dossier. J'avais naturellement en t�te la possibilit� de m'offrir ce petit cul que j'avais vu mais accepterait-il ?
Le jeudi suivant il �tait � l'heure, et d�s son entr�e, au lieu de lui serrer la main, je l'embrasais sur les joues sans que cela le surprenne. Il vint s'assoire au bureau � c�t� de moi et je commen�ais � lui exposer le travail que j'avais effectu� pour lui. Il discutait certains passages, d�cid�ment cet �tudiant �tait brillant. � plusieurs reprises pour affirmer mes convictions je posais ma main sur sa cuisse sans r�action de sa part.

M'enhardissant je laissais ma main gauche en permanence sur sa cuisse et doucement je montais en direction de sa bitte. Au bout de quelques minutes il posait sa main sur la mienne et me caressa. D�s lors, je compris que je pouvais pousser plus avant mon exploration. Je repoussais le document sur le bureau puis pris le visage de Janis dans mes mains pour d�poser mes l�vres sur les siennes. Il partagea un baiser fougueux avec moi. Je passais ma main sous son sweat, il �tait torse nu dessous. Je lui enlevais son pull puis mordillais les t�tons embrasant son coup, son ventre. Il avait d�graf� ses boutons de jean et je pouvais constater qu'il ne portait pas de slip. Le prenant pas la main je le fis lever et lui descendis le pantalon sur les chevilles. Nous nous sommes dirig�s vers le lit ayant moi-m�me enlev� ma chemise et d�boutonn� mon jean. D�s qu'il fut allong� sur le lit, je lui l�chais les burnes puis, lui levant les jambes au-dessus de mes �paules, je commen�ais � lui l�cher la rondelle. Janis se tortillait comme un vers visiblement le plaisir �tait intense.

Ayant pr�vu cette situation, j'avais � port� de main gel et capote. J'�tais arriv� � rentrer la pointe de ma langue dans son cul. Maintenant, en le doigtant, je commen�ais � lui enduire la rondelle de gel. Progressivement, je sentais ce petit trou du cul s'ouvrir et j'imaginais que bient�t je pourrais y enfiler ma bitte. La dilatation fut assez rapide moins de 5 minutes apr�s j'avais d�j� rentr� trois doigts dans cette rondelle rose. Ayant enfil� un pr�servatif, je poussais l'entr�e. Imm�diatement, Janis changea de position et se mit en levrette. Je poussais, mais son cul �tait tr�s serr�. �tait-il vierge ? � ma question, il me r�pondit oui. Aussi nous convenons de prendre notre temps. Apr�s plusieurs essais infructueux � cause de la douleur qu'il ressentait, je me couchais sur le dos et il tentait de se positionner � son rythme sur ma queue. L'entr�e �tait d�licate, mais nous progressions. Je voyais sa queue band�e au maximum se secouer au-dessus de mon torse et je trouvais �a merveilleux. Tout � coup, l'appui de sa main glissa et d'un coup Janis s'empala sur ma bitte tendue. Il l�cha un cri de douleur et dans le m�me instant d�chargea sa dose de foutre chaud sur mon torse, j'en avais m�me jusqu ;"au visage. Je retins mon petit mec en position, sans boug� pour que tout se calme. Au bout de quelques minutes il me sourit, et commen�a � faire quatre/ cinq va et viens de ma bitte dans ses entrailles ; " Je suis d�pucel�, je pense, me dit-il la prochaine fois ce encore mieux "
En effet, chaque jeudi pendant un an, nous nous sommes revus pour baiser, il aimait de plus en plus �a et nous avons essay� toutes les positions possibles. D�s le deuxi�me mois son �jaculation pr�coce devient de plus en plus ma�tris�e en maintenant je peux vous affirmer qu'il tient un bon quart d'heure.
Trois mois plus tard, pour la premi�re fois il avait aval� mon sperme, depuis il n'arr�te plus, il en redemande. Le mois dernier comme j'en avais tr�s envie, je me suis-moi-m�me fait enculer par mon petit mec. Pour moi c'�tait aussi la premi�re fois n'ayant qu'un r�le d' actif dans tout les plans que j'avais connus.
En mai, Janis termine ses �tudes, il repartira � Metz...nous reverrons nous ? Pour l'heure, nous nous rencontrons toujours chaque semaine et avons d�couvert mutuellement toutes les formes de plaisir.

R�gis

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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