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Une issue favorable 2
Ce que je vais vous raconter est la suite de mon pr�c�dent passage sur ce site.
Je vous disais que je me rhabillais quand tout � coup deux mecs rentr�rent dans la pi�ce.
J'avais d�j� remis mon jean.
Luc semblait ne plus s'attendre � leur venue et se leva brusquement, son sexe pendu dans les airs.
Le premier des deux dit soudain, tandis que l autre souriait dans l'ombre : "Salope !!"
Je restais aussi fig� que lui, je voulais le prot�ger, mais dans de telles circonstances, je ne savais pas trop quoi dire. Mon coeur battait fort, les deux hommes, l'un ayant la quarantaine, les mains �paisses qui flottait dans le vent avant de se cogner l une contre l autre, et l autre une vingtaine d'ann�es. Il avait un physique redoutable. Ses mains soutenaient ses hanches, son regard brillant touchait mon jean.
Ils s'approch�rent de nous, le jeune s'approcha de moi et commen�a � ouvrir ma fermeture �clair. Il ne restait plus que mon slip. Ses mains fr�l�rent le bord tandis que de ses yeux ils me happaient le visage, comme s'il voulait me mordre. Puis il m'embrassa. C'�tait fort, intense, presque insupportable. Je ne me contr�lais plus. Ses mains touch�rent mes hanches puis repartirent sous mon slip.
Comment il tendait mon membre ! Ses mains le massait avec une telle force et une telle souplesse qu'il semblait l'avoir pratiquer depuis tout petit.
Par l'arri�re, je vis l'homme qui avait la quarantaine dominer comme il semblait avoir l'habitude, Luc. Il se retrouvait contre le mur et le suppliciait de lui rentrer dedans. L'homme avait ouvert sa fermeture �clair et de la, tranchait net son sexe, se tordant d'une bonne vingtaine de centim�tres, puis le massa l�g�rement. Celui-ci lui demandait de le sucer, ce qu'il fit. Puis lorsque les g�missements se firent pour lui insupportable, il retourna Luc et lima s�v�rement son cul, ce qu'il semblait avoir l'habitude de faire.
Quant � l'autre, il s'�tait pench� pour me sucer et je m assis par l�g�ret�. Rester debout devenait insupportable.
A ce geste, le jeune homme se cramponna et s'allongea sur moi, puis m'embrassa de nouveau. J'aimais sa fa�on de faire. Elle �tait beaucoup plus douce qu'elle ne le fut pour Luc avec ce quadrag�naire.
Je soupirai. Le jeune homme avait un peu retir� son jean, de quoi faire sortir sa belle cr�ature ... Eclatante, comme si elle fut lav� de toute souillure, veineuse par endroit, et toute droite,d�j� pr�te ... Et grande.
Il �tait ainsi allong�, presque habill� dans la totalit�, et me regardait comme si ce qu'il me restait � faire semblait �vident. Je me levai sur le lit l�g�rement et j'attendais avec patience que son membre large p�n�trait mon cul. J'�tais terrifi� � la vue par l'�paisseur, mais quand elle commen�ait � entrer, poussant un souffle, je me rendis compte qu'elle entrait ais�ment, sauf le mouvement qu'il fit pour l'enfoncer le plus possible me tira de l'int�rieur. Puis je fis ces mouvements de va et vient, lui, fermait les yeux et se contentait du travail que je faisais, s'amusant de temps � autre a pousser fort pour signifier qu'il �tait toujours la et surtout qu'il appr�ciait la d�tente parfaite qui pesait dans l'atmosph�re.
Le quadrag�naire nous rejoignait avec Luc. Leur regard s'attardait sur mes fesses que le premier caressa en laissant sortir un petit g�missement, puis toucha fi�vreusement la "bite" de son ami. J'�tais stup�fait, de tant de d�sirs qui courrait tout autour de moi.
Je regardais Luc. Celui-ci me regardait dans la m�me d�tresse. Se sentir pris au pi�ge ainsi, dans le feu des d�sirs corrompus me donnait mal a l aise. J aurais voulu partir. Je ne pouvais pas ...
Mais le plus �g� de nous quatre, celui donc qui avait la quarantaine, d�gagea son pantalon, indiquant clairement � son ami de lui laisser la place. Je sortis du lit, me d�livrant les entrailles aussi facilement que bonjour.
Mais l autre m attendait � la sortie. Il me fit mettre � quatre pattes. Je me sentais pris sous le halo des �motions. Sa bite s'enfon�a en moi et me lima, me lima comme une b�te. Ses mains caressaient mes hanches et � chaque coup je sentais ses couilles happer l air et ma raie. Puis toujours plus fort, il cria de plaisir, criai pour ne plus qu'on entende que sa voix.
"Oh oui, prends �a ! salope ! C'est trop bon ! Je te lime ! Je te lime plus fort ! Tu sens mes couilles taper ta raie, hein ?! Oh oui ! Oh oui ! Prends �a encore et encore ! T aime �a hein ? Salope !!"
Puis le jus frappa tout de l'int�rieur, comme un jet, plusieurs jets. Mais �a claquait encore, il ne pouvait arr�ter ce d�luge, "c'�tait trop bon" ... Pour lui ...
Je ressentais chacun de leurs orgasmes. J'essayais de m'�vader. Car ce n'�tait pas Moi. J'essayais plut�t de r�sister � cette folie des d�sirs. Ma�triser mes d�sirs, mon ardeur int�rieure.
Quand il sortit enfin, je me rhabillais et je sortis aussi vite que l'�clair. Je n'avais laiss� de trace, et j'oublierais ce vieux r�ve comme s'il ne s'�tait jamais pass�.
Ca devait se passer. Ca s'�tait d�j� pass� des nuits enti�res, des vies parfois. Et le futur n'�tait que ce lendemain pur, qui ne pouvait plus �tre atteint de cette torture. Mon corps �tait libre ! Libre �tait mon �me pensante ! Libre �tait cet esprit qui grandissait en moi et qui voyait ce moment comme un film, un pass� in�luctable, une envie passag�re vaine, un retour pass� dans le chaos, pour enfin se sentir vivre dans la Lumi�re !
J'�tais alors dans mon jardin,
Je respirais la premi�re rose blanche qui se tenait � mes pieds : J'�tais heureux.
Nicolas
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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