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Infirmier

Je vais vous raconter mon histoire. Accrochez vous bien.
Je suis infirmier, je m appelle Nicolas et j'ai pass� la vingtaine.
Je suis tout le temps en contact avec les patients et �a m'arrive d'avoir des fantasmes d�lirants. Je suis gay, bien s�r.

Un jour, je fus l'un des seuls infirmiers � l'h�pital. Il n'y avait pas de malades graves. J'assurais simplement ma perm.
Alors que je regardais dans chacune des chambres pour voir si tout allait bien, un mec m'aborda, me prit le bras avec douceur et me fit un grand sourire sans que je ne puisse exactement comprendre ses intentions. Je pensais qu'il voulait me dire quelque chose, les malades ont souvent besoin de parler et je suis toujours tr�s attentif a ce sujet.
Mais celui-ci me voulait autre chose. Il me dit qu'il sortait demain matin et qu'il me trouvait tr�s s�duisant. Le courant passa. Ses yeux bruns fondaient dans les miens comme de la braise. Et sa main me fr�la le visage.

Il se leva et me plaqua contre le mur. Je ne criais pas, j �tais sous l emprise de la passion.
Il ouvrit ma blouse blanche et retira mon pantalon, mon sexe pendait en l'air. Il le su�a un instant, facile.
Puis il se d�shabilla � son tour, cette fois ci compl�tement. Son sexe bandait. Il �tait aux dimensions g�antes, bien plus d une vingtaine de centim�tres et �pais comme je n en avais jamais vu.

Il me dit qu'il �tait actif et qu'il avait bien envie de me prendre, il en fantasmait � chacune de mes visites.
Je ne disais rien, �bahi. Je devenais tout p�le sous de telles intentions. Mais cet homme ferma la porte et m enferma avec lui dans les toilettes.
Il y avait une odeur de merde. Il n'avait pas tir� la chasse d'eau et on sentait facilement l'odeur de la pisse. Il m'incita � me pencher vers les chiots et me souleva la blouse et fit des caresses � mes fesses, mettant ses doigts dans mon anus. Puis il mit sa langue et su�a l'anus avec une passion ...

Il me conseilla de rester pench�, je sentais le pr�puce de son large sexe contre mon anus qui s'enfon�ait doucement puis d un coup ensuite contre les parois de mon cul. J'�tais atterr� par la douleur qui me fendait en deux, puis le plaisir prit le dessus, les mouvements de va et vient s encha�naient et le patient cria de plaisir a chacun de ces gestes simples, me faisait faire des l�gers bonds en avant, tellement intense ...

Il retira sa bite brutalement et me demanda de le sucer, je le fis comme soumis � son d�sir de satisfaction. Tandis qu'il l enfon�ait plus �prement dans le fond de ma bouche. Une chaleur soudaine, un r�confort tant m�rit� ...

Il me dit merci. Puis s'appr�tait � sucer mon sexe, plus fortement encore cisaill� par ses dents, d�licieusement projet� dans une satisfaction brutale, d�cha�nante, passionnelle.
Il me demanda de le prendre, mais je ne pouvais pas, j �tais passif. Alors dans ses h�sitations, car il le voulait certes, il exigea de moi de me repencher vers les chiots. Il me prit aussi violemment que je sentis mes entrailles frissonner. Son sexe bandait violemment, je sentais si fort son pr�puce contre mes parois que je fr�lais l overdose. Mes os �taient pr�ts a craquer d'�motion. Les mouvements toujours plus forts m insuffl�rent app�tit. La sueur sur mon front, aussi.
Puis on tapa a la porte. C �tait un des mes collegues infirmiers. A ma grande surprise, il retira son jean moulant et me fit un sourire d enfant malin. Il avait 18 ans. Il �tait beur, sa bite color�e �tait d�j� plus grande que la mienne. Il se branla comme pour se pr�parer a l app�t que j �tais. Le patient dit en le voyant qu ils avaient tous les deux pr�vus de me manipuler, car non seulement le beur �tait pr�t a me niquer comme un gros enfoir�, mais il voulait me faire g�mir de plaisir et de douleur, en esp�rant que ces jours, ou plut�t ces nuits, se r�p�tent aussi violentes les unes que les autres.

L infirmier retira sa blouse blanche. Il n avait pas l'air si jeune maintenant. Il avait atteint une dr�le de maturit� depuis qu il avait baiss� son slip et d�gain� une bite de plusieurs vintaines de centim�tres, large comme pas deux.
Le mec qui me prenait me traita de salope dans les oreilles et jeta son foutre dans mon cul, enrag� par le plaisir et par la perversit�.
Puis il me pissa dedans comme si j'�tais les chiots moi-m�me. J'avais une sensation piquante et chaude qui me remplissait les intestins et les parois.

Puis il sortit son mercenaire et laissa la place a mon coll�gue, tandis qu un m�lange de jus et de pisse sortait de mon corps, salissant le sol.
Mon coll�gue me caressa les hanches, puis mes t�tons et enfin ma bouche, dans laquelle il mit ses doigts, un a un, me for�ant a les sucer sensuellement.
Je n �tais plus pench�, et nous n �tions plus, deux minutes plus tard, dans les toilettes, mais en plein dans sa chambre. J'alla sur le lit banc et sur�lev�, a genoux et l�g�rement pench� en avant, laissant mon cul en l'air.
Le beur entra brutalement en moi, la douleur �tait forte, mais il semblait ne pas le remarquer. Il prenait au contraire toutes ses dispositions pour entrer et sortir, en crachant sur mon dos, nu et me traitant de salope. Il rentrait et sortait. Humide �tait sa bite. Humides �taient mes fesses, engag� dans le d�sir pervers de ces deux mecs insatisfaits.

Il entrait et sortait, toujours douloureusement car il attendait quelques secondes avant de reprendre et de ressentir toujours autant de plaisir, a m'entendre g�mir et souffrir, presque de plaisir.
"Ton cul cul, il est bien beau, mon b�b�. Il es si fendant qu'on s'y mettrait a quatre pour te l entailler." dit il, baillant de plaisir.

Puis il resta, enfin, se remettant au rythme effr�n� de son sexe, qui dirigeait a lui seul les coups, les coups. Des coups endiabl�s. Par l'instinct fr�n�tique de ce jeune beur, insatiable. Il me dit qu il r�vait de moi depuis le premier jour, et qu il voulait faire de moi, une belle salope, pour toutes les nuits et les jours, son petit copain, comme tous ceux qu il avait d�j�, et auxquels il me soumettrait. Tous des beurs, des arabes, mais aussi des noirs et des blancs.
Son pr�puce touchait par saccade le fond �troit de mon cul, rendant avide mon anus et ne pouvant plus s'en d�faire. Il �tait en moi, pendant une �ternit�. Et il finit par jeter son foutre.

Elis

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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