Cyrillo

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Il y a longtemps...

Je viens d'�tre jet� au cachot. Je suis suspect� de sorcellerie.

En effet, ma grand-m�re est r�ellement la plus ancienne des jeteuses de sorts de la cit�. Elle se cache au plus profond de la for�t. Je me pr�sente Erwan, j'ai 19 saisons depuis 2 jours. Je vivais jusqu'� hier chez ma " grand-m�re ", les guillemets doivent vous indiquer que mes origines sont obscures. Bien vu, en tout cas je ne sais pas qui sont mes vrais parents biologiques. Bon il y a des choses plus d�sagr�ables. J'ai toujours �t� bien nourri, et j'�tais plus souvent dehors � crapahuter dans les champs et � explorer la for�t et ses myst�res. Lorsque la nature nous offre une bonne stature, des �paules larges, certains gar�ons ont regard�s avec int�r�t ce que je poss�dais entre les deux jambes. Le jeune Nicolas, qui garde son troupeau de ch�vres sur les hauteurs de la colline, a manifest�, lors de notre premi�re et m�morable rencontre fortuite, le d�sir violent d'avaler et de sucer mon engin. Son talent ayant fait couler mon jus en 2 minutes chrono, il n'a pas eu de mal � me convaincre de revenir le voir afin de renouveler cette exp�rience. Il a une fa�on de sortir sa langue et de l�cher avec une telle gourmandise alternativement et goul�ment chacune de mes couilles. Il glisse avec talent son index entre mes globes et en m�me temps il me t�te avec un entrain juv�nile. Les petits montages que forment les muscles de mes abdos le fascinent, il me d�barrasse de la sueur accumul�e pendant la journ�e avec de savants et longs coups de langues r�peuses et douces � la fois. Je laisse mes doigts courir dans la for�t de ses cheveux, et j'attends avec impatience le lendemain du deuxi�me jeudi de chaque mois, il vient de sacrifier au rituel du bain bimensuel. Je peux alors introduire mon pieu au plus profond de son anatomie sans le voir recouvert d'une couche peu rago�tante d'excr�ment. Nicolas est aussi roux que je suis brun, les milliers de taches de son qui pars�ment son dos cambr� lui donne un charme suppl�mentaire. Lors de notre cinqui�me ou sixi�me rencontres nous avions franchi un pas suppl�mentaire dans la charge �rotique de nos caresses. Nous connaissons maintenant chaque millim�tre carr� de nos corps, nos langues, nos mains savaient o� se poser pour d�clencher chez l'autre, frissons, tremblements, r�les, g�missements, et jaillissement spermatique.

Un bruit de raclement me rappela � la r�alit� de ma condition, le judas de la porte du cachot s'ouvre, l'oeil vicieux de Golan le fils du gardien appara�t. Me voyant accroupit sur le sol, il ouvre la porte et s'avance vers moi en conqu�rant d�j� assur� de ma soumission. En tirant sur la grossi�re ficelle qui lui sert de ceinture, il permet � sa harde de lui tomber sur les chevilles, Son gros p�nis turgescent est maintenant brandi � 30Cm de mes l�vres, elles s"ouvrent et je commence mes va et vient, press� de voir couler son jus au fond de ma gorge avide. Golan est impressionnant, je veux dire que la fonction importante de son p�re lui donne une assurance et un culot incroyable. Il savait que je ne prendrais pas le risque de ne pas satisfaire ses pulsions. En effet d�j� que l'ordinaire d'un prisonnier est plut�t morose si en plus je deviens l'ennemi de celui qui apporte la maigre pitance. Des tremblements secouent les muscles de ses cuisses lorsque je passe doucement ma main bien � plat en commen�ant par ses chevilles et en remontant jusqu'� emprisonner de mes doigts la boule bien ferme de sa fesse droite. Il y a 232 marches entre le sous-sol du cachot et le chemin de ronde de la haute tour ouest, Golan monte et descend des dizaines de fois par jour les escaliers en question. Mes doigts appr�cient en connaisseur la duret� des blocs de granit que forment les cuisses de Golan. Il pose ses deux mains sur ma nuque et avec force coup de rein il m'enfonce sans piti� sa grosse pine au fond de ma gorge, il g�mit et m'inonde bien la bouche. J'ai l'eau croupie de la cruche pour faire passer le go�t, mais je vais attendre un peu, il est bien sal� son jus et j'aime l'odeur qui envahit mes narines.

C'est la deuxi�me fois que je suis jet� au cachot, le plus d�sagr�able c'est de ne pas voir le temps pass�. Pas de soupirail, aucune ouverture vers l'ext�rieur m�me le plus petit des trous de souris pouvant me permettre de retrouver le go�t des jours et des nuits. Quand je m'ennuyais trop je me touchais un peu, mais je pr�f�rais les s�ances de tortures qu'organisait le p�re de Golan. Lui il m'avait pas du tout capt� et il pensait m'obliger � d�noncer ma Grand-m�re en me livrant � des prisonniers des cachots du 3e sous/sol. Il s'agit des pires criminels que tu puisses imaginer, d'ailleurs n'imagines pas cela te conduirait � faire des cauchemars pendant des mois. Si tout se passait bien il y avait au minimum deux gar�ons. Ils m'attendaient depuis la veille les nouvelles circulent vite dans les sous-sols de la tour nord, et les occupants de certaines cellules savaient que leurs queues allaient pouvoir gicler de nouveau gr�ce aux bons soins que je savais prodiguer. Golan vient me chercher vers minuit, je sais que je dois �tre nu, je fais en sorte d'utiliser un peu d'eau pour laver le mieux possible mon trou, vous comprenez d�j� pourquoi je pense. Golan me donne des coups de cravache sur le cul et dans le dos pour me faire avancer plus vite, et surtout il esp�re m'entendre geindre. Des traces rouges z�brent mos dos et mes �paules lorsque nous arrivons enfin devant la porte de la cellule qui renferme les hommes que je devrais satisfaire cette nuit. Golan reste en g�n�ral en spectateur, il aime me recouvrir le visage de son sperme vers la fin. Le premier prisonnier attendait mon arriv�e et avec enthousiasme il me dit :
- Commence par bien me pomper le dard, Igor pourra t'enduire la rondelle de graisse pendant ce temps.

Le sol est en terre battu, jamais balay� et les pieds nus de l'homme qui attend que je suce sa bite sont noir de crasse, je renifle avec appr�hension le zob en m'attendant � devoir saliver comme un malade avant de pouvoir faire passer le go�t de bite mal lav�, ou pas lav� du tout d'ailleurs. Mais j'ai l'heureuse surprise de sentir sous mes l�vres l'odeur normale d'un sexe de mec. C'est donc avec un enthousiasme f�brile que je commence � bien recouvrir de bave le cylindre en question. � ce moment il me posa la paume de sa main bien � plat sur la nuque et il commen�a � appuyer de plus en plus fort afin d'augmenter la vitesse de mes va et vient et surtout pour me l'enfoncer le plus profond possible. La taille de ses biceps ne me permettait pas m�me si j'avais eu envie de m'opposer � ce traitement, mais en plus je suis assez content de sentir le d�sir et la duret� de sa bite. Pendant ce temps Igor p�n�trait mon trou avec ses gros doigts enduits de la graisse qui sert pour la lubrification des gonds de la porte de la cellule. Inutile de vous dire que c'est pas l'id�al, moi je pr�f�re de loin une bonne dose de salive bien baveuse. Maintenant que mon trou �tait pr�t le mec laissa la place � Igor dont je pris la bite en bouche avec plaisir, il avait un gros gland bien �pais et des �normes couilles grosses comme des cl�mentines. En quelques minutes seulement ils jouirent violemment et presque en m�me temps, j'ai surtout appr�ci� les 6 gros jets de jutes d'Igor. Pour me remercier Golan avait pr�vu une deuxi�me visite, mais durant le trajet jusqu'� l'autre cellule il entendit la grosse voix de son p�re qui le cherchait, il me poussa donc dans le premier cachot devant lequel nous �tions. Il referma la porte avec fracas, et je sentis ce que ressent un aveugle qui se r�veille le matin. J'avais beau �carquiller les yeux, rien pas la moindre forme, je n'osais pas bouger. J'avais l'impression que le bruit de ma respiration remplissait la pi�ce tout enti�re. Les secondes pass�rent, les battements de mon coeur reprenaient un rythme normal, je me for�ais � respirer par le nez le plus silencieusement possible. Et soudain je vis � quelques pas de moi le scintillement de ses yeux.

Maintenant j'entendais �galement le bruit de sa respiration. Je n'osais toujours pas bouger, nous devons avoir presque la m�me taille, et il me semble que lui aussi ne poss�de pour tout v�tement que la peau qui recouvre ses muscles. Je frissonne, la curiosit� �tant trop forte, je m'approche donc dans sa direction. J'�tais dans l'obscurit� depuis plusieurs minutes et pourtant la forme de son corps m'apparaissait encore comme une ombre floue. Il avait les deux mains attach�es par des bracelets de m�tal eux m�mes reli�s au mur � des crochets solidement fix�s. J'�tais suffisamment pr�t pour sentir son souffle sur mon propre visage. Nous n'avions pas dit un mot et cela n'allait pas changer durant les moments qui suivirent. Lui aussi devait avoir pass� du temps � de rudes travaux des champs, je laissais mes yeux parcourir de nombreux aller et retour entre son visage, ses fortes �paules, sa poitrine muscl�, son ventre plat et bien dessin� comme le mien. Puis mon regard revint vers ses yeux. Je suis certain que le rythme de sa respiration s'�tait acc�l�r� depuis mon arriv�e. J'approchais encore, mon visage �tait tellement pr�t que je sentais sa chaleur irradier de chacun de ses pores. Nos deux poitrines entre en contact et notre respiration renforce le contact � chaque inspiration. Lorsque je pose enfin mes l�vres sur les siennes il pousse un g�missement et je sens sa langue qui vient fouill� l'int�rieur de ma bouche. Sa bouche est chaude, incroyable j'ai l'impression d'embrasser un ange. Sa peau est lisse, Mes mains vont et viennent sur sa nuque, je tremble comme une feuille de ch�ne juste avant l'orage. Moi aussi je pousse de petit grognement pendant que nous continuons � nous rouler de merveilleuses pelles. Je d�pose sur ses joues, ses oreilles, son cou massif des baisers torrides. Je lui l�che le ventre en savourant chaque coup de langue qui vienne me donner ma ration de sa transpiration virile. L'extr�mit� de mes doigts semble poss�der soudain une hyper sensibilit� et je d�couvre le grain de sa peau qui change suivant la r�gion de son corps que je parcoure, la chair de poule le fait tressaillir. La peau de son visage est d'une finesse et d'un grain qui rappelle celui d'un nouveau-n�, tout le haut de son corps est imberbe. Je me colle litt�ralement � lui et j'ai le plaisir de sentir son sexe comme une barre de m�tal en fusion qui vient cogner comme mon bas ventre. Je passe doucement l'extr�mit� de mon majeur sur le bout de son gland que je sens luisant de pr�foutre. Mes doigts prennent possession de cette bonne bite qui surmonte deux lourdes couilles que j'ai h�te de conna�tre le go�t fort et musqu�. Je pr�f�re n�anmoins � continuer � plonger ma langue au plus profond de sa gorge, je suis fascin� par les sensations d�licieuses que me procure les g�missements sourds que poussent ce gar�on qui semble tout � fait satisfait de mes attentions.
- Je suis Erwan fils de personne et petit-fils spirituel de Kain�a.
D'une voix murmurante, il me r�pond :
- Moi c'est Yoann, et s'il te plait, d�tache moi les bras, la clef est suspendue � un clou sur la porte.

Je profite donc de la suffisance doubl�e de b�tise de notre ge�lier pour ouvrir les bracelets qui entravaient Yoann, je frissonne lorsque les paumes des mains de Yoann se pose sur mes �paules puis glissent dans mon dos, mais apr�s quelques temps la circulation ayant r�chauff� son �piderme ses caresses ajout�es � ses baisers nous conduisent � g�mir de concert. Je veux que cela dure des heures. Je compte sur les doigts d'une seule main les gar�ons qui me font cet effet. J'oublie totalement que nous pouvons d'une seconde � l'autre �tre surpris par Golan. Yoann pose ses genoux � terre et approche ses l�vres de mon ventre qu'il couvre de baisers d'une intensit� presque surnaturelle. Puis sans attendre plus longtemps il commence la plus douce des fellations, jamais encore mon sexe n'avait �t� gorg� d'autant de sang, sa duret� �tait le reflet de mon d�sir violent et incontr�l� que je ressentais pour Yoann. D'une pression, je couchais Yoann sur le dos et je pris sa bite dans ma bouche, j'attendais cela depuis plusieurs minutes et je ne fus pas d��u. Nous avons su trouver et adopter un rythme lent, j'avais pos� une main sur le haut de sa cuisse de l'autre je for�ais sans rencontrer de r�sistance l'intimit� de mon magnifique partenaire. Chaque caresse devait �tre un aveu de reddition mutuelle, la fusion de deux �tres en un, le monde de la raison vaincu par celui des sensations ; aucun mot de trop ne devait �tre prononc�, aucun soupir pouss� au mauvais moment. Lorsque Yoann me prit par les hanches en soulevant mon bassin, je compris ses intentions et la t�te pos�e sur mes bras crois�s, j'attendais de recevoir en moi et au plus profond, le sexe de celui que je ne connaissais que depuis une heure seulement. La douceur extr�me de la pression de son gland sur ma rondelle additionn� au degr� ultime de soumission et de rel�chement de mon sphincter permit � sa bite de me p�n�trer sans aucune douleur, lorsque je sentis le poids de Yoann sur mon dos, ses mains me parcourant comme pour p�trir la p�te � pain, le souffle br�lant de son haleine dans mon cou, le contact de ses l�vres sur ma peau, les secousses qui suivirent ma jouissance brutale entra�ne Yoann � lui aussi m'inonder le dos de liquide blanc. Nous nous sommes endormis telles des petites cuill�res dans un tiroir. Mon ventre contre son dos.

Le lendemain matin la poudre de charme bleu que je gardais pr�cieusement dans le creux de mon m�daillon nous permit d'endormir Golan, commen�a alors pour Yoann et moi la plus merveilleuse des p�riodes. Mais une nouvelle chasse aux sorci�res m'obligea � fuir de nouveau afin de prot�ger ma grand-m�re. Je suis donc de nouveau seul. Mes l�vres attendent un nouveau visage � ch�rir.

En 2005 mon arri�re arri�re arri�re arri�re petit cousin habite la seine et marne, pour sa qu�te de gar�ons joyeux il poss�de un outil magique et puissant, il suffit d'appuyer avec un doigts sur une souris. Trop facile !

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