HugoChers amis lecteurs, voil� plus de trois ans que j'ai �crits cinq histoires, et c'est maintenant apr�s avoir pass� de bonnes vacances, que l'envie de me reprend de vous compter une histoire qui m'est arriv�e pendant ses vacances. Pour informations, je mesure 1 m 90, p�se 90 kilos, brun aux yeux marron, r�sidant dans le 02. Cette ann�e, je suis parti en vacances pr�s de la Rochelle, � Saintes, avec un ami d'enfance. Soleil, mer et plage �taient au rendez-vous. Mais le plus int�ressant, c'�tait la plage. D'une part parce que faire l'amour sur une plage avec un coucher de soleil a toujours �t� mon fantasme, d'autre part parce que c'est sur une plage que j'ai rencontrer Hugo. Hugo est un jeune gar�on de 18 ans qui vient d'avoir son bac ES et qui va rentrer dans une fac � Lille. Mais le plus int�ressant, pour vous surtout plus que pour moi, c'est que Hugo est vraiment tr�s mignon. Il fait environ 1 m 75, approximativement 70 kilos, donc comme vous le voyez assez mince mais pas maigre non plus, des cheveux blonds, un sourire d'ange, des yeux gris, je n'en suis pas s�r car il avait toujours des lunettes de soleil. On s'�loigne donc vers le large et on voyait mon ami qui �tait sur la rive car il a un peu peur d'aller l� o� il n'y a pas pied, non pas qu'il ne sache pas nager mais c'est la mer et �a lui fait peur. � cette distance de la plage, personne ne pouvait nous entendre et avec la hauteur des vagues, on ne nous voyait presque plus. On a parl� de tout et de rien, du lyc�e, du futur m�tier que l'on veut exercer, des parents, des amis, puis je lui ai demand� s'il avait une petite amie. Il me dit que non, mais prestement je lui demandai s'il n'avait pas un petit ami. La m�me r�ponse fut donn�e. Il me dit ensuite : " avec la t�te que j'ai je ne risque pas de trouver quelqu'un ". Avec cette phrase, j'ai trouv� le moyen de commencer � le draguer en lui disant : " personnellement, je trouve que tu es plut�t mignon ". Il me dit que c'�tait gentil de dire �a et me remercia. Je m'empressais de lui dire qu'il ne fallait pas me remercier car on remercie quand on complimente mais un compliment n'est pas sinc�re... Du moins pas toujours. Je lui ai dit que je ne faisais seulement dire ce que je pensais. Il me regarda et me sourit. Si vous aviez pu voir son sourire, je pense que vous l'auriez �pous� tout de suite. Quand il m'a souri, ce n'�tait pas seulement les muscles de ses joues qui se contractaient, c'�tait tout son visage qui s'illuminait. Dans l'eau, feignant de ne pas bien l'entendre, je me rapprochais discr�tement de lui, mais j'eus impression que ce n'�tait pas un homme mais un arc-en-ciel : quand je l'approchais, il s'�loignait, comme si je ne pouvais le toucher. Et pourtant mon occupation du moment c'�tait : " vais-je l'embrasser ? ". En effet loin de tout, dans la mer, il me sembla qu'il n'y avait plus que nous sur terre. Je voulus l'embrasser, mais je me retins. Au dernier moment, ma raison m'a dit : " et si tu te prenais une tarte dans la gueule ? ". J'attendais donc. Nous sommes revenus sur la plage retrouver mon ami qui �tait allong� sur une serviette. Je leur proposais d'aller faire un tour, nous promener sur la plage. Nous avons encore parl� de beaucoup d'autres choses. � l'extr�mit� de la plage, il est possible de rentrer dans une esp�ce de caverne, mais pour y acc�der, il fallait passer sur des rochers car c'�tait � mar�e haute. Hugo �tait devant j'�tais au milieu est mon ami �tait derri�re. Mon ami dit qu'il pr�f�rait allait se remettre sur sa serviette pour bronzer. Chance inesp�r�e de me retrouver seul avec Hugo. Je suivis donc Hugo dans cette esp�ce de caverne, puis on s'installa sur un rocher en plein soleil. Le soleil me r�chauffait la peau mais j'aurais pr�f�r� que ce soit la chaleur humaine de Hugo qui fasse bouillir mon sang. Nous avons parl� pendant un quart d'heure environ. Puis, je lui dis : " je voudrais te poser une question, mais surtout ne prend pas mal. Tu es gay ? ", " Non et toi ? ". J'attendais quelques secondes en regardant la mer qui s'�tendait au loin, puis je me tourna vers lui, le regardant dans les yeux, je lui dis : " on va dire que tu me plais ". Je lui fis donc un sourire charmeur � laquelle il r�pondit. Notre conversation se tourna donc vers l'homosexualit�, les gays, l'homophobie, de ce que j'avais comme exp�rience, et de tout ce qui peut tourner autour de ce m�me sujet. Je lui dis alors : " tu sais, il y a beaucoup d'h�teros qui aimerait bien essayer avec un mec. Si tu veux, je peux te faire d�couvrir le plaisir entre mecs ". Il me regarda puis me fit un sourire. Je pose la donc ma main contre sa joue et, le regardant directement dans les yeux, j'approchais mes l�vres des siennes en fermant doucement les yeux. Je sentis ses l�vres sal�es contre les miennes... Elles �taient douces et juteuses. Mais je ne comptais pas en rester l�. Je d�collai mes l�vres des siennes et ouvrit les yeux. Je le regardais fixement. Je m'approchais de lui la bouche entrouverte voulant lui faire comprendre que je voulais sentir sa langue dans ma bouche. Le meilleur de tout, ce qu'il embrassait extr�mement bien. Il me donna alors un long baiser langoureux. Je sentis sa langue chercher je ne sais quoi sur la mienne. Pendant ce temps-l�, je posais mon autre main sur son autre joue puis je le caressais doucement. J'ai d'abord pos� ma main contre son cou et le haut de son bras, puis je remis ma main sur son cou et descendit pour caresser ses pectoraux ainsi que ses t�tons. Ma main descendit alors sur son flanc ; je caressais d�j� son boxeur de bain. Ma main s'attarda sur son boxeur. Je caressai ses jolies petites fesses : un objet de mon d�sir. Je passai ma main dans son boxeur et senti le merveilleux contact de la peau de ses fesses contre ma main. J'entrepris alors de l'embrasser sur tout son corps : le commencer par lui embrasser le menton, plus je descendis dans le cou et continua sur les t�tons que je su�ais goul�ment. Je continuai � l'embrasser sur le ventre tout en descendant. Ma t�te arriva donc niveau de sa queue : l'objet que je convoitais. Je commen�ais mordiller sa queue � travers son boxeur, je voyais que sa queue �tait d�j� bien gonfl�e... Et la mienne aussi. On voyait se dessiner au travers de son boxeur une superbe queue d'au moins 20 cm. Je m'imaginais d�j� avec ce beau calibre me p�n�trant. Je fis gliss� lentement son boxeur d�gageant ma r�compense de sa prison de toile. Je levai les yeux vers le ciel et mon regard croisa son regard. Il me sembla nerveux. Pour le rassurer, je lui fis un sourire juste avant de prendre son gland dans ma bouche. Il �tait sal� avec l'eau de la mer. J'entrepris de le sucer comme jamais personne ne l'avais suc� ; ce n'�tait pas difficile �tant donn� qu'il �tait vierge. Ceci m'excita encore plus. Je le su�ais sur toute la longueur de sa queue, descendant quelquefois pour lui gober une couille. Il g�missait de plaisir et ses g�missements m'excitaient encore plus et je ne faisais qu'acc�l�rer le mouvement. Au bout de 10 minutes, il poussa un cri de jouissance en giclant tout son foutre dans ma bouche. Lui aussi �tait sal�. Je l'embrassais pour lui faire go�ter son sperme, ce qu'il appr�ciait. Je lui dis de se retourner, de poser ses mains sur un rocher et de se cambrer. Il savait que j'allais le poss�der. Je crachais sur sa rosette et lui enfon�a un doigt. Il g�mit de plaisir. J'approchais donc ma bite, m'appuya sur sa rosette et commen�a � faire entrer le gland. Je savais que c'�tait la premi�re fois pour lui, j'allais donc avec d�licatesse. J'enfon�ais lentement mon gland, puis je poussai encore ma bite au plus profond de lui. Plus je m'avan�ais et plus il g�missait. Arriv� � la moiti� de ma bite, je donnais des petits coups secs afin de l'habituer. J'�tais vraiment tr�s bien dans son petit cul serr�. Je me penchai en avant et embrassa son dos. Je mis mes mains sur ses �paules et je lui dis : " reste calme, tout va bien se passer ". J'enfon�ai encore ma bite lentement pour qu'elle soit enti�rement rentr�e. L�, je commen�ais de long mouvement de va-et-vient puis je les acc�l�rais. Hugo g�missait de plus en plus fort et sa respiration devenait saccad�e. On voyait qu'il prenait vraiment du plaisir. Je continuai donc les va-et-vient pendant une bonne dizaine de minutes puis me retira avant d'�jaculer. Je me branlais au-dessus de son cul et jouis dessus. Hugo se retourna, me regarda puis m'embrassa en me disant : " c'�tait g�nial merci ". Et la, je ne sais pourquoi, mais je le pris dans mes bras et lui fis un c�lin couronn� de baisers. Que c'�tait bon de sentir enfin sa chaleur humaine. Nous sommes repartis vers la plage, nous avons rassembl� nos affaires, nous nous sommes donn�s notre num�ro de t�l�phone, puis nous nous sommes quitt�s. J'attends vos commentaires � : en esp�rant que cette histoire vous a pl�t. Beno�t R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |