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- Salut Tony, comment vas tu ?
Je reconnus sa voix au t�l�phone, c'�tait mon ami Herv�.
- Bien et toi ?
- A vrai dire mon appel est int�ress�, car ma femme est partie en vacances avec les enfants pendant 15 jours, et moi j'ai tellement de boulot que je n'ai pas pu partir avec elle.
- Oui elle me l'avait dit.
- Voil�, est ce que tu pourrais venir m'aider a la maison car comme tu sais, je ne sais rien faire dans une maison et je suis tellement occup� par le boulot que je n'ai plus rien � me mettre et je ne sais pas faire de lessive, je n'ai pas le temps de me faire � manger alors je bouffe tjs au resto...
- Et tu veux que je vienne quand ?
- D�s que tu peux !
- Bon j'arrive demain matin mais pas tr�s t�t !
- Ok je te laisse la cl� sous le rosier !
- Ok on fait comme �a !
- Merci beaucoup.
- De rien.
- A demain alors.
- Oui.
- Bye.
- Salut.
Le lendemain, j'arrive chez lui vers 10h et je retrouve une maison sans dessus dessous, de la vaisselle plein l'�vier, la salle de bain est d�vast�e par des fringues, une quantit� de bi�res et d'emballages de bouffe recouvrent la table du salon.
Alors je monte � l'�tage pour me mettre en tenue pour faire le m�nage, c'est une situation bizarre, mais qui ne me d�range pas tant que �a.
Dans sa chambre une odeur de mec en rut me monte au nez, des cale�ons et des chaussettes au pied du lit, des bi�res sur la table de nuit me montre sont ennui depuis 3 jours que sa femme et ses enfants sont partis.
Je mets un petit short jaune, un petit t-shirt blanc et me pr�pare � commencer, mais par o� commencer ?
Au bout de 3h de boulot intensif je commence � y voir un peu plus clair.
Vers 13h, le t�l�phone sonne.
- Salut c'est Herv�, r�ponds ne laisse pas le r�pondeur !
- Allo.
- Salut, �a va.
- Oui et dit tu es vraiment un mec toi !
- Ah !
- Il y a un bordel monstre, �a pue le mec, la bi�re...
- Je suis d�sol�, tu peux rentrer chez toi, je ferai l'effort de faire un peu de m�nage.
- Non mais maintenant que j'ai commenc�, je peux continuer.
- Tu es sure.
- Oui oui, ne t'inqui�tes pas, mais je vais te dire le resto a int�r�t � �tre � la hauteur de mes efforts.
- Ok pour le resto, encore merci.
- Allez � tout � l'heure.
Je venais de finir la cuisine et la salle de bain, de mettre une �ni�me lessive en route quand j'entends sa moto arriver dans l'all�e du jardin, je regarde par la fen�tre.
Il est vraiment viril ce mec, en jean levi's bleu d�lav�, l�g�rement d�chir� lui serrant ses belles fesses muscl�es, son cuir proche du corps, ses chaussures style aventurier.
Lorsqu'il retire son casque, il respire la maturit�, brun coupe court, un visage de tueur, des yeux verts, une barbe de 4 jours. Il pose son casque et retire son cuir ce qui me montre sa musculature de l�gionnaire qu'il �tait. Ce petit tatouage sur le haut de son bras dessinant un petit diable sodomisant un ange (ce qui m'a toujours fait rire). Pour essuyer la sueur tenue par ses gants, il se les passe sur ses fesses et remet sa bite en place dans son jean.
C'est � ce moment qu'il me voit � la fen�tre et qui me fait signe de loin. Je lui fais signe �galement.
Il poussa sa moto vers son garage avec toute sa force, se cambrant, montrant son petit cul moule dans son jean et disparu dans le noir du garage.
Il rentra peu de temps apr�s, posa son casque sur la table et son cuir sur le canap�, arriva dans la cuisine o� je finissais la vaisselle toujours dans mon petit short jaune moulant mon petit cul ferme, rebondi et imberbe de jeunot de 18 ans.
- Salut, alors cette journ�e au boulot ?
- Dur dur, j'en ai marre, j'ai l'impression de ne pas avancer, mais bon il faut bien bosser.
- Ben moi j'ai bien avanc� ici, malgr� la charge de travail impressionnante.
Il sourit en s'adossant au frigo tout en buvant une bi�re fraiche.
- D�j� je trouve que �a sent bon, c'est agr�able, en plus je vois que tu as nettoy� la salle de bain, c'est trop cool de rentrer chez soi, de boire une petite bi�re tranquille sans se prendre la t�te avec sa femme.
- Pourquoi elle gueule ?
- Tout le temps, il y a pas une journ�e o� je rentre et o� j'ai un sourire, un bisou. Avant m�me de dire bonjour elle est d�j� en train de gueuler a cause des traces de moto dans l'all�e, a cause de la bi�re.
C'est alors que dans ma t�te, une id�e folle me traversa l'esprit, et si je me mettais � jouer � la drague pour voir jusqu'o� irai ce mec h�t�ro � 300%, viril � 500% et brut de d�coffrage a 1000%, d�sirant plus travailler, jouer au rugby avec ses potes que de passer son temps � la maison avec sa femme.
- Tu veux que je te fasse quelque chose � manger pour ce soir avant que je m'en aille ?
- Ben euh, je ne sais pas, cela ne te d�range pas ?
- Non, je ne suis pas un cordon bleu, mais je peux au moins te faire autre chose que des pizzas et des hamburgers, car sinon tu va grossir et prendre du ventre.
Je dis cette phrase tout en fr�lant ma main sur son ventre, je sens un ventre plus au moins plat, dur, vallonne par des abdos sous jacents.
Il sourit tout en soulevant son t-shirt me faisant d�couvrir un torse viril, poilu mais tondu comme il faut, dessinant un V sur ses hanches, ne faisant qu'augmenter mon d�sir.
- Pour l'instant �a va, j'ai encore des restes de l'arm�e, il faut dire qu'on en a bav� dans la l�gion.
- Pauvre crevette qui a pass�e ses journ�es � faire des pompes et � se muscler sur le compte des contribuables fran�ais.
- Vu comme �a. Mais j'aurai bien voulu t'y voir la bas, tu en aurais chi� plus que nous, je pense que tu es plus une crevette que moi.
- J'ai pas l'air comme �a mais j'ai de la force tu sais.
- Ah bon.
On rigole fort et je repars dans le couloir pour aller chercher de quoi faire � manger pour ce soir.
En passant � c�t� de lui, il me met une petite claque sur mes fesses et dis :
- Allez crevette, bosses un peu !
- Va te doucher, tu pues.
- Ok ok.
Il part se doucher, je l'entends siffler sous la douche, on dirait qu'il est heureux et il y a longtemps que je ne l'ai pas vu ainsi. On dirait que mon plan drague commence � marcher.
- Tu m'as fait quoi de bon ?
- Un steak hache, des courgettes et de pommes de terre saut�es !
- Tu me fous au r�gime avec tes courgettes, tu sais, j'ai besoin de manger beaucoup, au boulot je me d�pense pas mal et demain soir j'ai un match de rugby avec les potes, mais je vais les manger quand m�me car tu es d�j� super sympa de me faire � bouffer.
- C'est bon des courgettes et je peux te rajouter un steak si tu veux ?
- Ouais je veux bien tout en d�posant un baiser sur ma joue.
Quelle fut ma surprise, voire un l�ger recul de ma part, je ne m'y attendais pas du tout. On aurait dit qu'il aimait m'avoir dans sa cuisine, il manquait une main sur les fesses et j'aurai cru un couple. Il partit dans la salle � manger avec deux assiettes et de couverts, en bas de pyjama bleu et blanc a rayures et un marcel blanc. Ses fesses rebondies, son dos en V.
Ma t�te ou plut�t un fantasme me traversa l'esprit, me voir ici, dans sa cuisine, lui arrivant, me d�posant un baiser sur la joue, posant une main sur mes fesses, me retournant, m'embrassant, me baissant mon short tout en me cambrant sur le plan de travail de la cuisine, glissant sa main dans ma raie pour y introduire un doigt...
- Alors tu en veux ou pas ?
- De quoi ?
- Du vin, c'est du rose !
- Non non mais je vais rentrer, je ne mange pas l� !
- Ah bon, mais pourquoi ?
- Il faut que j'y aille, j'ai un truc � faire.
- Non mais attends, tu reviens quand ?
- Je ne sais pas, je t'appellerai.
- Tony attend ! Il y a un probl�me, j'ai fait quelque chose qui t'a contrari� ?
- Non, c'est moi qui...
- Qui quoi ?
- Rien. J'y vais.
Je crois que je ne suis jamais parti si vite de chez lui, il �tait un peu d�sempar�, me regardant prendre mon sac � dos, chercher mes clefs...Je pris la porte. Il me suivit de pr�s et sortit � pieds nus dans l'all�e sans dire un mot. Montant dans ma voiture, fermant ma porti�re, il me fit le signe de baisser mon carreau.
- Oui ?
- Je t'appelle demain ?
- Oui, si tu as besoin de moi.
- Ok, je t'appelle demain, sans faute, tu me le dirais s'il y avait un probl�me ?
- Ca va tr�s bien, appelle moi si tu veux que je revienne faire du m�nage.
- Pas forcement, tu peux �tre l� sans rien faire, juste �tre l� et �tre avec moi, qu'on se marre a deux. Je veux plus que tu crois que tu viennes que pour faire le m�nage. J'aime bien quand tu es chez moi !
Cette phrase. Ce mec ultra viril, ultra macho me laissant voir ses faiblesses, sa carrure muscl�e, sa gueule de tueur devenaient encore plus attirants. Je d�marrai ma voiture tout en lui tenant le bras et passant la premi�re je le l�chai. Au bout de 20m, visionnant mon r�tro, je le vis marchant vers sa maison l'air pensif.
Dawson
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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