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Histoire r�elle, comme on a envie d'en avoir !!!

Un soir d'�t�, je sors de chez un pote sur Meaux. Je dois marcher de chez lui pour aller � la gare choper le dernier train.
Il fait beau, chaud.

Je me pr�sente, Abdel 26 ans, 1m75, bien b�ti, look jean basket en g�n�ral mais l� vu les 32 degr�s de la journ�e c'est pantacourt et tong.

Je presse le pas, la gare est � 15 min et je sens que ce train va me passer sous le nez.
L�, je vois deux mecs courir comme des malades, deux rebeux de mon �ge, et dans les 15 secondes qui suivent deux flics en civil avec des brassards; ils font un geste � leur coll�gue de la voiture qui s'arr�te devant moi et me balance "Contr�le de police, vos papiers"
J'obtemp�re direct vu que je suis en retard. Je lui explique ce que je fais l�, la gare est � deux minutes et je peux voir les trains arriv�s.
Il me dit qu'il doit attendre une r�ponse du fichier. Ca tarde et mon train part.
Je suis d�go�t�, j'ai la rage mais je dis rien j'ai pas envie d'aller au poste.
J'observe le flic, il a deux ou trois ans de plus que moi, brun avec des yeux clairs, un bogoss quoi; il est mal ras� et �a me plait bien.
Je lui dis que maintenant je suis bon pour le taxi, et que c'est pas donn� pour les trentes bornes � faire.

Il me rend ma pi�ce d'identit� et s'excuse pour le train. Ca m'a choqu� qu'il s'excuse.
Me voil� � la recherche d'un taxi, j'en trouve pour venir � Meaux mais aucun qui ne veut aller dans le 93, j'ai la haine!!! Ca fait une heure que je suis dehors, et l'orage se met � gronder, je suis beau avec mes tongs et les premi�res gouttes qui tombent.
Je me d�cide � faire du stop.
Personne ne s'arr�te bien s�r.

La route est super sombre et je suis fatigu�.
Une voiture arrive, encore une qui ne s'arr�tera pas.
Elle ralentit, et s'arr�te 200 m�tres devant moi. Soit c'est une bonne �me, sauf c'est un blagueur.
Je m'approche et la voiture red�marre mais s'arr�te aussit�t.
J'arrive dans l'habitacle sans regarder � l'int�rieur, je suis tremp� et je m'excuse directement. Et je me rends compte qu'en face de moi, c'est le flic de la BAC, qui est d'ailleurs mort de rire.
Il me dit "j'ai toujours eu envie de faire cette blague"
Je suis �tonn� qu'un flic s'arrete pour un gars en stop.
Il me demande o� je vais et il se trouve qu'il habite 3kms apr�s chez moi, donc je ferai tout le chemin en voiture.

On discute pas mal et vu les trombes d'eau, il ne roule pas vite. Il sourit souvent, me fait des clins d'oeil. Je me sens bien m�me si je suis tremp�.
On arrive en bas de chez moi, je me t�te pour lui proposer de boire un verre. J'ai pas envie de prendre une veste.

Je lui demandes. Il se gare et descend en m�me temps que moi.
Je lui dit qu'il y a des trucs frais dnas le frigo et juste � appuyer sur expresso sur la cafeti�re s'il veut un caf�, il faut que je me change. Il va dans la cuisine.
Je suis � c�t� dans la salle de bain en train de me s�cher.
Je me met � poil et je prends une grande serviette. J e m'essuie le visage en avan�ant vers la chambre et quand je retire la serviette je le vois devant moi dans le salon, moi qui pensait qu'il �tait encore dans la cuisine.
Je me sens con et pudiquement, je cache ce que je peux.
Il rigole tr�s fort et vu les murs en carton chez moi, je lui demande de faire mois fort; il en rit de plus belle. Je lui mets la main devant la bouche, il m'enlace et me la retire et me dit quil y a une autre fa�on et l� il m'embrasse.

Ni une ni deux mes 22 centim�tres sont au garde � vous, et je sens que lui aussi est excit�. Il se d�shabille sans jamais retirer la bouche de la mienne.
Il est vraiment beau, son corps est muscl�, imberbe et il d�gage un charme fou.
Direction la chambre, on s'embrasse, on se caresse. Il me demande s'il doit partir plut�t vite ou si on peut faire durer.

Je r�ponds que j'ai la vie devant moi et on �clate de rire encore une fois.
Il s'allonge, me serre sur lui je l'observe nu. Et l� il me dit " si on a toute la vie devant nous, profitons de l'instant pr�sent", et on a pass� un long moment � faire nos pr�liminaires, d'ailleurs ce sont les seules choses qu'on a fait cette nuit l�.
Le reste je vous le raconterai bient�t...

Abdel

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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