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Une histoire pas comme les autres

Ca faisait un certain temps que je n'avais pas bais�, donc je me suis relanc� sur les sites de rencontre et tr�s tard dans la soir�e (voire plus dans la matin�e) vers 1h30 du matin de ce Mardi 25 Janvier 2011, j'ai pas mal discut� avec un mec en lui annon�ant que j'avais tr�s envie de baiser ce soir.

Cependant, je l'ai tout de suite pr�venu que ce plan se ferait � l'ext�rieur car lui-m�me ne pouvant pas recevoir, ni moi par la m�me occasion car j'habite toujours chez mes parents. D'ailleurs, mes parents ne sachant pas trop mes orientations, je fais en sorte de sortir tard la nuit lorsque tout le monde dort � poings ferm�s pour profiter de ces moments l� pour sortir, me rafraichir, bref (vous l'aurez compris)... pour prendre du plaisir. Chose qui est encore plus excitante lorsque l'on sait que l'on peut �tre pris la main dans le sac � tout moment, mais bon cela ne m'est jamais arriv� en fin de compte.

Voyant les minutes pass�es � discuter et � se chauffer un peu en plan cam (afin de d�voiler nos atouts respectifs), nous avons pris la d�cision qu'il �tait temps de passer � l'acte mais pour cela, il fallait que l'on se voie. Apr�s lui avoir donn� la direction � prendre pour venir me chercher, ainsi que nos t�l�phones respectifs au cas o� il se perdrait, les derniers mots de conversation furent :

-Je t'envoie un texto d�s que je pr�s de chez toi, comme �a, �a t'�vite d'attendre trop longtemps dans le froid.

-A tout de suite, lui ai-je r�pondu.

Laissez- moi maintenant vous expliquer ce que j'ai fait pendant ces 45 minutes d'attente interminables pour passer le temps avant son arriv�e.

D'abord, vu que j'�tais d�j� en tenue pour dormir, il fallait penser � ce que je me rhabille. (Tout en pensant qu'il fallait que je fasse le moins de bruit possible pour ne r�veiller personne.) Je pr�parais d�licatement mes affaires (c'est-�-dire mon jean, un t-shirt et un sweat pour me tenir chaud par ce temps de froid sans oublier une �charpe pour couvrir mon coup des quelques coups de vent qui rugiraient dehors) et me dirigeais vers le feu de chemin�e pour m'habiller. (D'une, parce que le feu �tait un premier moyen de se r�chauffer avant de sortir dehors, et de deux, parce que la chemin�e est la pi�ce qui se trouve le plus loin des chambres et qu'elle me prot�ge en quelque sorte de certains bruits que je pourrais faire en me d�pla�ant par le bois qui craque lorsque les flammes l�chent le pourtour de celui-ci.)

Ramassant donc quelques outils suppl�mentaires pour la nuit que je m'appr�tais � passer, tels quelques pr�servatifs et du gel, je me sentais confiant mais pas totalement rassur� encore. Il me restait une derni�re �tape � franchir : sortir de ma maison par la porte d'entr�e lorsque je recevrais son message m'indiquant son arriv�e proche.

M'�tant finalement habill� les cinq derni�res minutes (ayant re�u son texto comme quoi il arrivait) et sentant le calme roder dans la maison, je pus finalement sortir de la maison en ouvrant avec la plus grande douceur la porte d'entr�e pour me faufiler � l'ext�rieur. J'enfilais mes chaussures avec pr�caution et rejoignis mon amant de la soir�e qui m'attendait ;� moiti� entre la route et un chemin.

-Salut, lui dis-je.

-Salut... Bon alors dis moi par o� est-ce qu'on va ?

-Continue tout droit, et au premier rond point � droite...ensuite je t'indiquerai la suite du parcours.

-On est parti alors !!

Durant le trajet, je sentais l'excitation monter entre nous deux mais il fallait quand m�me qu'il se concentre sur la route. Donc les seules actions de notre part � tous les deux furent quelques regards d'envie, de d�sir envers l'un et l'autre. A ce stade, nous n'avions m�me pas besoin de nous parler. (Sauf bien s�r pour lui indiquer les directions � prendre.) Arriv� � bon port au bout d'un chemin qui d�bouchait sur une toute petite for�t, je lui dis de faire demi-tour pour se remettre dans le bon sens quand le moment sera de repartir.

Les moteurs �teints et apr�s avoir boug� les si�ges avant pour avoir le plus de place, nous nous rejoign�mes � l'arri�re du v�hicule. Le moment tant attendu �tait enfin arriv�...et voici le d�tail de nos �bats amoureux de cette belle nuit que nous avons pass� ensemble.

A peine le temps d'�tre assis, que nous avons la m�me id�e en premier : quitter imm�diatement nos chaussures pour �tre plus � l'aise dans l'habitacle (d'une pour ne pas abimer le si�ge et de deux pour ne pas nous blesser et de trois parce qu'il fallait bien les quitter � un moment donn� et ce fut en d�but de notre relation �pique.) Chose faite, moi bien assis confortablement avec d�j� une bonne �rection qui ne se voit pas mais qui se sent sous mon pantalon, lui s'est positionn� � califourchon sur moi, et nous avons entam� la plus belle pelle qui m'ait jamais �t� offerte : une fusion parfaite de nos bouches l'une contre l'autre, d�layant nos langues respectives et m�langeant nos salives, ce fut un pur d�lice de gouter � ses l�vres. La tension sexuelle �tait � son comble et je le sentais bien de par le fait que si je n'avais plus ce pantalon qui me retenait, je l'aurais pris tr�s certainement d'un coup l�, � califourchon sur moi mais �a ne s'est pas du tout pass� comme �a. Nous avons bien pris notre temps pour nous d�couvrir, et nous effeuiller petit � petit.

Par la suite, nous avons fait voler nos pantalons et chaussettes mais gard� encore nos cale�ons et nos t-shirts (m�me s'il ne faisait quand m�me pas moins de 25 °C, nous savions tr�s bien que la temp�rature allait baisser, quoique par la suite, ce ne f�t pas vraiment le cas.) Jouant au jeu du frottis frotta, nos mains baladeuses caressant les moindres parcelles du corps (moi, plong� main � terre sur son torse et jouant avec ses t�tons tout en l'embrassant avec fougue, lui couch� sur moi, descendant ses mains vers mes fesses et les empoignant avec fermet� mais en m�me temps avec douceur.), il �tait temps d'enlever nos " ceintures de chastet� " pour lib�rer la force masculine cach�e en nous, et laisser libre cours � notre imagination. Lui s'�tant assis, je d�cidais de prendre les choses en main et de commencer une descente vers son tr�sor tant convoit�, en passant mes bras autour de son coup, cherchant encore ses l�vres, caressant ses pectoraux, m'attardant un moment � lui mordiller ses petits t�tons d�j� gonfl�s de plaisir, embrassant � chaque descente son petit ventre, son nombril, jusqu'� l'arriv�e.

L'�coutant avec soin, il me disait de l�cher ses boules et de mordiller la peau juste en dessous de ses bourses car c'est ce qui le faisait prendre son pied. A ses mots, je n'h�sitais pas � dans un premier temps, parcourir ses parties g�nitales avec ma langue, puis � en gober une puis l'autre et enfin les deux pour lui procurer beaucoup de jouissance. J'arrivais m�me � prendre les deux boules en bouche et � les faire rouler en les aspirant et les rel�chant tout en malaxant avec mes mains la peau qui les entouraient et ;vers une zone �rog�ne particuli�re qui nous fait du bien � tous, celle qui se trouve juste entre les bourses et l'anus. L�, je l'ai senti tressaillir plus d'une fois, et me complimentant du bien que je lui procurais. J'ai ensuite r�pondu � ses attentes en m'occupant de mordiller toute cette peau qui pendait le long de son entrejambe, puis je suis pass� au plat de r�sistance. Je suis remont� un peu plus haut pour gouter au plaisir charnel de ce gland qui pointait tr�s haut vers son nombril (autrement dit que sa queue �tait droite comme un i). J'ai long� toute la longueur de sa queue avec ma langue experte pour bien l'humidifier, puis j'ai plong� t�te la premi�re � son appel.

-Tu veux me sucer hein ?

-OUUUII, j'en ai tr�s envie. Hummmm....

Je me suis amus� � lui l�cher le gland par petites saccades (comme les chats qui lapent leur lait, image bien s�re !!), puis je l'ai gob� sur pratiquement toute la longueur (je ne suis pas expert en gorge profonde) tout en pensant � respirer de temps en temps bien s�r. J'y aie mis tout mon coeur et mon savoir faire pour lui tailler une pipe de r�ve, chose qu'il a bien entendu aim� vus les g�missements ;qui sortaient de sa bouche. (Chose que vous n'avez pas pu entendre mais que vous pouvez certainement imaginer tellement �a fait du bien une fellation.) Puis, je lui ai lan�� :

-J'ai envie que tu me prennes !!

-Moi aussi, j'en ai tr�s envie. Tiens, mets-toi � quatre pattes...

Je me retourne donc en position quatre pattes, lui juste derri�re moi. Je n'ai m�me pas eu besoin de lui parler car il entreprit de me pr�parer l'anus pour plus de facilit� par la suite. Il me bouffait litt�ralement le cul avec sa langue experte, jouait avec mes fesses de ses mains calleuses et m'envoyait des �toiles dans les yeux tellement c'�tait chaud, humide, et d�licieux. Puis, petit � petit, je m'ouvrais comme un bouton de rose, sous l'action de sa langue qui tentait de me percer, ses doigts prirent le relais, d'abord l'index qui rentra sans aucune difficult�, puis prit place le majeur tournant et retournant mon anus, pour le rendre plus ouvert au moment de la p�n�tration. Les deux se joignirent ensemble, continuant leur travail tandis que ses mains branlaient mon sexe. Vint le moment ensuite, o� il enfila un pr�servatif le long de sa verge, tandis qu'il me disait de me mettre sur le dos cette fois ci les jambes bien en l'air. Encore quelques tours de sa langue pour bien lubrifier le tout, et il se pr�senta devant l'entr�e de mon trou offert et palpitant de d�sir.

Cette sensation d'�tre sodomis� de la sorte, je l'appr�hendais quand m�me un peu mais tout se d�roula parfaitement bien. Le simple fait de rapprocher son corps de moi pour nous embrasser de nouveau, faisait que son membre glissait d�licatement en moi. Jamais je n'avais v�cu un tel moment de douceur, de plaisir et de jouissance intense lorsqu'il �tait en moi. Ayant compris qu'il pouvait maintenant acc�l�rer le mouvement, il sortait et rentrait d'un seul coup pour me la mettre bien profond. Ses coups de butoir �taient mod�r�s et me remplissaient litt�ralement de bonheur. Oubliant l'espace restreint de la voiture, chacun, nous primes notre pied. Recherchant d'autres sensations, je me mis cette fois ci � quatre pattes pour qu'il m'enfile � sa guise, et au rythme qui lui convenait pour ne pas non plus qu'il jouisse tout de suite. Me complimentant de l'accueil qu'offrait mon cul � sa bite, on changea encore de position pour me remettre sur le dos, position que j'affectionne particuli�rement car on contemple son amant se donner � fond, et qu'en m�me temps, on peut s'embrasser fougueusement pour encore augmenter le plaisir de chacun. Apr�s un certain temps (que je ne connais pas moi-m�me, sauf que je peux dire que �a a bien dur� plus de cinq minutes), je sentais qu'il fatiguait et que de toute fa�on, il fallait qu'on r�cup�re par la suite. Il s'est donc retir�, a ouvert la porti�re et jet� le pr�servatif dehors.

Reprenant nos esprits, il se d�cida lui-m�me � venir vers moi apr�s quelques minutes. Nous repr�mes nos caresses, nos touchers puis il me demanda s'il pouvait me sucer, chose que j'acceptais sur le champ. Il descendit vers mon sexe pour le gober tout simplement. On aurait dit qu'il n'avait pas mang� ce soir l�. Je dus imm�diatement l'arr�ter avant que je ne jouisse trop rapidement. Il comprit parfaitement et apr�s quelques minutes d'embrassade, il recommen�a, et cette fois ci en se contr�lant. Le fait de m'aspirer la queue comme il le faisait me pr�occupait beaucoup de sensations. J'�tais litt�ralement en extase devant ce travail de professionnel. J'ai quand m�me du stopper sa fellation car le jus montait dangereusement et que je n'avais pas encore fini avec lui. Nous d�cid�mes de faire une pause cot� sexe. L'un et ;l'autre, nous �tions de chaque cot� de la banquette, nous contemplant, respirant fort et jouant � nous caresser avec les jambes. C'est ainsi qu'il me proposa de l�cher mes pieds, chose qui le faisait kiffer (f�tichiste pourquoi pas ??) et qu'il adorait aussi qu'on le lui fasse.

Il balayait alors sa langue sur toute la surface de ma plante des pieds, et su�ait un � un mes orteils. N'ayant jamais v�cu cela auparavant, j'ai plut�t bien appr�ci� et j'ai donc d�cid� pour lui faire plaisir et en tant que nouvelle exp�rience, de m'occuper �galement de ses pieds. Il pensa bien �videmment � me guider sur ce qu'il fallait faire et me disait ce qu'il aimait tout bonnement. (des caresses le long de ses jambes et sur le haut des pieds, ma langue �cras�e l�chant ;toute la surface de ses plantes des pieds, sucer ses orteils, et plus son petit orteil, et lui faire des gilis au pied) Bref, tout �a lui faisait plaisir et il le revendiquait haut et fort dans sa voiture. Autant vous dire que �a ne me laissait pas indiff�rent, et que me queue durcissait de plus en plus � mesure d'�couter sa voix. Je repris place cette fois-ci sur sa queue que je m'empressai de sucer goulument, avec �nergie, puis, lui glissant l�g�rement et levant ses jambes, je pus avoir acc�s � son anus qui n'attendait qu'une seule chose. Guidant ma langue vers son trou, de mes mains, je lui p�trissais les fesses et de temps en temps, je lui mettais de petites frappes s�ches pour le maintenir dans cet �tat d'excitation. Trouvant refuge dans ;son trou, ma langue jouait � rentrer le plus possible � l'int�rieur pour le lubrifier, et sentant qu'il ne s'ouvrait pas beaucoup, il d�cida de prendre un peu de poppers pour faciliter les choses. Il s'est alors ouvert comme une fleur et j'ai pu alors continuer mon travail de fourmi. Mettant un peu de gel sur mon majeur, je rentrais cette fois-ci sans aucune difficult� (l'effet du poppers y �tant pour quelque chose), il ne mit pas longtemps � me dire :

-Prends-moi, je suis pr�t !

-Humm, oui ?? Tu veux ma queue ?

-OUUI, mets-toi assis, j'ai envie de me planter sur ton chibre !!!

Rien qu'� ses mots, il ne fallut pas longtemps pour que j'enfile une capote avec un peu de gel dessus pour qu'il vienne s'empaler sur mon sexe tendu. Face � moi, il se positionna tant bien que mal (faute de place dans la voiture) et je le guidai sur ma bite pour le sodomiser. Compl�tement entr� en lui, il se d�hancha sur ma queue pour la sentir au fond de lui. Mais niveau amplitude, je ne pouvais pas trop le soulever pour rythmer une cadence sans qu'il ne percute le toit de la voiture. Finalement, il se retira puis se coucha comme pour moi la premi�re fois, les jambes en l'air. L�, j'avais tout le loisir de le p�n�trer � ma guise et au rythme que je voulais. A chaque coup de rein, nos corps se rejoignaient parfaitement et je pouvais encore sentir son anus se contracter. Lorsque je rentrais � fond, je l'entendais g�mir de plus en plus fort, le souffle plus rapide, alors j'ai bien entendu acc�l�r� le mouvement et d�cidai de la rentrer a chaque fois jusqu'au bout, pour lui soutirer des cris de bonheur. La partie de sexe a bien dur� un long moment, encore une fois, en changeant de position et cette fois lui � quatre pattes (oui, je sais pas beaucoup de choix dans les positions me direz vous mais que du bonheur tout de m�me) Sentant que moi aussi, je commen�ais � fl�chir sous le coup de l'�motion, je me suis retir�.

Pour finir, je voulais qu'il me reprenne une derni�re fois en position couch�e ;car j'avais ador� me faire prendre comme �a. Il mit une autre capote de suite et me repris � sec cette fois, mais comme j'�tais encore bien ouvert, �a rentrait comme dans du beurre. On changea une derni�re fois de position, et cette fois ci , c'est moi qui me suis mis � califourchon � l'envers ;sur sa bite, et dans des grands mouvements de bassin, tout en serrant mon anus, pour sentir sa queue dans mon trou. Tout en malaxant ses t�tons avec mes mains qui passaient derri�re mon corps, je sentis qu'il �tait sur le point de se vider en moi, alors avec un peu plus d'entrain, des pincements de t�tons plus forts, il finit par craquer et � crier sa jouissance, me d�versant son sperme au fond de mes entrailles, tout en secousses et ;soubresauts, de contractions en contractions, pour notre plus grand bonheur. Je me suis retir�, puis retourn� et me sui branl� deux trois fois, pour � mon tour, lui lancer mes jets de liquide br�lant sur son torse, ses hanches afin de lib�rer mes derniers cris de jouissance et de poser ma t�te pr�s de son visage une derni�re fois, dans un dernier baiser en guise de remerciements.

En regardant l'heure, il �tait 5H moins quart du matin. Nous nous sommes essuy�s, jet�es les preuves de notre rencontre sulfureuse, rhabill�s puis il m'a ramen� chez moi sur les coups de 5H.

Lui-m�me devait bosser � 7 heures du matin (alors il a du s'en boire des litres de caf� !!!) tandis que moi, suis tranquillement retourn� me coucher, le sourire aux l�vres attendant que les bras de Morph�e ne m'emportent au pays des songes o� je pourrai tranquillement trouver un repos bien m�rit�.

Neko

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