heube zeubJe commen�ais � d�sesp�rer quand enfin je remarque un groupe de quatre rebeus assis sur un banc. Grave j'les ai kiff� de suite surtout que c'�tait des couz bledars, ceux qui me font le plus vibrer. Des vrais mecs look jean survet sket bebar moustache bouc la totale quoi ... et surtout des belle bosses l� ou y faut. Ils �taient en face de moi � environ une dizaine de m�tres, un bouquin � la main je les matais en scred. Ils tapaient la converse entre eux et ils me mataient tous en scred aussi . Des petits regards vite fait direct, j'voulais savoir si y'avait moyen. Je kifais direct leurs braguettes et pas discr�tement . Je voulais qu'ils me grillent et qu'ils captent pour quoi j'�tais l� et que j'avais rien � perdre... Ben franchement j'ai pas eu attendre longtemps. L'un d'eux donne un coup de coude � un de ses pote, il remarque mon man�ge, je sens qu'il parle de moi et je les entends rire. Je baisse aussit�t la t�te, le nez dans mon bouquin et un peu flipp�. Je rel�ve la t�te et je les mate avec insistance. Ils se parlent entre eux, la mains au paquet. Franchement y'a du beau volume d�j� bien tendu, bien calibr� et j'entends l'un deux la mains au paquet dire: hada zemel y heube zeub ya kahba (c un pd il veut du zeub la salope). La m�canique est enclench�e et je crois qu'on s'est bien compris les uns et les autres. L'un d'eux arrive vers moi et me dit avec un accent du bled : "oh Pd ca va tu cherches du zeub ?" Je lui reponds aussit�t en matant sa getbra : "oui j aime ca, y'a moyen de profiter du tien et de ceux de tes potes vite fait". Il se retourne et fait un signe � ses potes qui rapliquent cash. Des vrais matchos stokma d'� peu pr�s 30/40 ans, franchement bogosses. On tchatche un peu et j'apprends qu'ils bossent dans le batiment. Des ouvrier qui sont en d�placement sur paname. Clair que comme ils sont sur la capitale depuis 10 jours ils doivent �tre grave en manque de se soulager le zeub. Je suis assis et eux debout, ma face a hauteur de leur b�te de bosse. Tayeb, le plus tchatcheur, me dit : " t'es une salope toi, t'es chaude hein, t'es capable avec nous quatre en m�me temps ?" Je lui r�ponds "oui mais pas ici "; Hamid l'un de ses pote prend ma t�te et la plaque avc force face contre sa grosse bosse; Je kiffe grave et j'suis suis grave excit�. M�me si j'ai un peu peur de ce que j ai provoqu�, je suis oblige d'assumer mon r�le de kelba (chienne). "Tu va voir on va bien te baiser. Viens suis nous et tu fermes ta gueule jusque qu'� ce qu' on arrive et l�, on va bien te baizer salope." Je marche derriere eux, quatre machos bledars pour moi tout seul je sens que �a va �tre tre chaud pour mon boule de lope avide de zeubs. Ils ne me calculent pas, juste des regard de temps en temps pour voir si je suis... On est arriv�. Ils cr�chent dans une chambre d"un foyer de travailleurs ! Y'a du monde devant l'entr�e : des gars majorit� rebeus, des mecs de l'est, des blacks ... Ils connaissent du monde et se saluent et moi comme un con j'attends la bouche ferm�e mais pas pour longtemps. Les gars me regardent comme s'ils savaient ce que je venais faire ici. Tayeb me fais signe de suivre Omar et un des gars se met derri�re moi et me claque les fesses devant tout le monde : "avance ya zeubi on va bien te d�foncer". On decend des escaliers et j'ai l'impression qu'ont se dirrige dans une cave, mais on suit un long couloir et au fond une porte isol�e des autres semble attendre comme une entr�e pour des plans cach�s. Tayeb ouvre la porte et je d�couvre une petite chambre : quatre lits superpos�s, pas de fen�tre. La porte se referme et me voila avec les quatres harbi et l� c'est du direct limite. Ces mecs sont en chaleur grave et je vais morfl�. Ils me font mettre � genoux brutalement : "tu te mets au boulot salope, on est pas l� pour rigoler." Je d�boutonne press� leurs bragettes pr�tes � exploser et je d�couvre la langue pendante des braquemars larges comme des poignets. Ils se foutent tous � poil et ils sont forts et puissants, bien carr�s et c'est clair que je fais pas le poids (je pr�cise je suis fin de corps 1m80 pour 67k, beau ptit cul bien rond et imberbe). Ils sont poilus et je les suce tout les quatre en m�me temps. Ils me defoncent en fond de gorge � m'en �touffer et je g�mis comme une meuf. Deux d'entre eux m'enlevent mon jean pendant que je les pompe. Tayeb prend les choses en main : "met la sur la mayda (petite table basse) sur le ventre." "Ouais sur le ventre" dit Anouar en d�roulant une capote avant de prendre place brutalement entre mes jambe et de m'�carter les fesses pour me defoncer le cul sec avec ses 21cm par 10. J'hurle de douleur mais mes cris sont etouf�s par leurs sboubs plant�s au fond de ma gorge. J' ai mal et je suis en panique, j'essaye de me masturber pour att�nuer la douleur mais ils m'en emp�chent en me tenant les mains derriere le dos. Les insulte fusent : " salope hataye voila coment on d�fonce les zemel p�d�". J'en ai mal aux reins tellement c'est brutal tous ces coups puissants puis c'est au tour des trois autres aussi bien mont�s de prendre le relais. Ils m'ont nik�, defonc�, bourr�, larv� pour que je me soumette � leurs zeubs comme une vulgaire pute que je suis. Ils m'ont tellement dilat� qu'� la fin j'en voulais encore et encore. Ils d�bandaient pas les couzins et moi qui voulais de la sodo, j'ai �t� servi quand ils ont attaqu� une double p�n�tration dans mon cul. Putain comme �a a �t� bon d'avoir des couz endurants qui kiffent les vrais passif salopes comme moi. La baise a dur� de 21h30 � 1h30 du matin et je suis reparti le boule �clat�. Avant de partir Tayeb m'a demand� de l�cher mon tel et m'a dit qu' il me rapelerait et qu'il y'a plein d autre gars ici dans le foyer qui veulent se soulager avc une bonne salope de hataye comme moi....
GavyR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |