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Un h�t�ro incroyable.

Je faisais � l'�poque des �tudes de communication dans une �cole priv�e. Nous �tions environ une dizaine d'�tudiants, et seulement 3 dont moi, en pensionnat. Il y avait des chambres de 2 places et des chambres individuelles. Par manque de chance, je me suis retrouv� dans une chambre individuelle. Un soir que nous �tions tous les trois apr�s les cours en train de faire un ap�ro d'�tudiant dans leurs chambres, la conversation a d�rap� forc�ment sur le sexe, et naturellement pour eux sur les filles. Ayant toujours assum� ma pr�f�rence pour les gar�ons je ne m'en suis pas cach�. Willy, le premier gar�on a commenc� � prendre de la distance (par g�ne plut�t que par m�chancet�). S�bastien lui n'a eu aucun changements dans son comportement.
S�bastien, un mec de 23 ans, blond, les cheveux mi longs, raides, un corps de r�ve sculpt� par le foot. Il me faisait vraiment craqu�. Je ne pensais qu'a lui et tr�s souvent j'�tais oblig� de me branler en pensant � lui. Un soir apr�s les cours, je d�cide de me rendre sous les douches pour me relaxer de cette journ�e de dur labeur. En arrivant dans les douches, personne...Tant pis. Et puis soudain j'entends la porte qui s'ouvre et je vois entrer S�bastien. Salut ! qu'elle journ�e de dingue ! oui t'a raison me r�ponds t'il. Je sens n�anmoins une g�ne de sa part. Il h�site � se d�shabiller alors que moi je ne r�ve que de voir son sexe. Il porte souvent un jean et la bosse caract�rise une queue que j'image bien large.
Pour ne pas trop le g�ner je d�cide de lui tourner le dos et il en profite pour se rendre dans une cabine individuelle.
Ne brusquons pas les �tapes......je sors de la douche et l� j'aper�ois ses v�tements, laiss�s sur le banc.. Je me dirige ces ces fringues et prends son boxer. Hum...quelle odeur de m�le...je me passe ce boxer sur le visage tout en imaginant la bite qui s'y trouv� il y a encore quelques minutes...
Je craque et d�cide de le garder. Tant pis il saura que c'est moi mais je ne peux r�sister !
Le lendemain, je croise S�bastien, tout souriant qui ne me parle pas du vol de son boxer hier soir dans les douches. La journ�e se passe, le soir arrive et je m'appr�te � rejoindre ma chambre quand il me lance :
"Alors, tu t'es branl� en sentant mon slibard hier soir ? Ne t'inqui�te pas je fais pareil avec les culottes des filles !"
Rouge de confusion je rentre rapidement dans ma chambre quand 10 minutes plus tard, S�bastien tape � la porte : "On se prends un verre ? Regarde j'ai amen� une bouteille de bi�re".
Un verre, deux verres plus tard, S�bastien veux savoir ce qui m'attire chez lui :
"C'est quoi qui t'excite chez moi ? En fait hier soir avec le slibard tu n'a eu que l'odeur, ca te dirais d'avoir la vue ?
Et la � ma plus grande surprise, il commence � se caresser le sexe � travers son jogging... une caresse virile...Il se l�ve et sors sa bite. Une bite somptueuse, longue et large et pourtant il ne banda pas encore tout � fait !
"Voila me dis t'il apr�s l'odeur tu as la vue ".

Le voila qui remets son jogging. Je suis vraiment excite et je d�cide de tenter le coup pour le coup :
"ok pour l'odeur et la vue, mais ma pr�f�rence va pour le go�t"
"Quoi ? Tu veux me sucer c'est �a ?" Non je suis d�sol� mais j'aime trop les nanas pour me faire sucer par un mec" Sur ce il se l�ve et pars.

Je ne vous cache pas ma d�ception ! et d�cide de me coucher.
A nouveau quelqu'un cogne � la porte, j'ouvre et vois S�bastien :
"Tiens, je viens de me branler et d'�jaculer dans ce slip". Si tu le l�che tu auras un peu de go�t me dit il en me tendant son slip......

Je reste souffl�......incroyable ce mec ! il refuse de se faire sucer mais donne ses slibards plein de sperme ! Je ne vous cache pas que j'ai imm�diatement d�s son d�part renifler et l�cher le sperme encore frais et visible dans le slibard. Du pur caviar, un peu sal�, mais divin.......

Apr�s m'�tre copieusement branl� avec le slip encore tout chaud de S�bastien, je me suis mis au lit non sans mal pour m'endormir !
Le lendemain matin et pendant les cours je ne pouvais d�tacher mon regard de S�bastien, je regardais son entrejambe en imaginant son sexe bien moul� dans un slip. Midi, on se dirige vers la cantine et S�bastien me lance : "Alors, ce go�t de mec ? T'as aim� ?" Heureusement nous �tions � l'�cart de la salle, derri�re une colonne et les autres ne pouvaient pas vraiment nous entendre ni nous voir. Je ne souhaitais pas devenir la tapette de la Fac !
"Oui c'�tait bon" lui r�pondis je mais pas assez copieux" J'avais d�cid� de jouer son jeux et surtout de ne pas lui laisser le dessus. C'�tait un joueur et bien nous allions jouer !
"Si tu veux me dis t'il je peux te donner ta dose journali�re. J'ai un sperme abondant et j'ai horreur de g�cher".
"Pourquoi pas, mais ma dose je pr�f�re la prendre entre midi et deux. Alors comment tu vas faire ?
Et la � ma plus grande surprise, je vis ses mains passer sous la table, son regards ne se d�tachait pas de moi et je compris qu'il �tait en train de se branler, l� en pleine cantine ! Au bout que quelques minutes une de ses mains remonta sur la table pour se saisir d'un verre.
Le verre passa sous la table pour revenir quelque instant plus tard bien remplis de son sperme.
"Tiens me dit'il voil� ta dose" en me tendant le verre.
"Maintenant je veux te voir boire ce nectar de mec". Ni une ni deux je me saisis du verre et avala son sperme.
Ce jeu dura presque un trimestre. Tous les jours S�bastien se branl� en pleine cantine, �jacul� dans le verre et me faisais boire son sperme.

Un soir nous d�cidons de faire l'ap�ro dans sa chambre. Un verre, deux verres, bient�t la bouteille de whisky y passe et s�bastien s'endort.
Je le regarde, allong� sur mon lit. Il porte un jean, un t-shirt et ses carterpillars. Il est la offert � la moindre des mes caresses.
Mes doigts commencent � toucher sa cuisse, il ne bouge pas c'est bon signe. Je remonte doucement vers sa braguette, je touche son sexe � travers le tissu..... Toujours aucune r�actions.
Je me d�cide donc de prendre vraiment les choses en mains et commence � d�boutonner sa braguette, bouton par bouton. Je passe un doigt et caresse son sexe a travers son cale�on, il soupire. Je d�tache la ceinture, fais sauter le dernier bouton, et son sexe s'offre enfin � moi.
Sa bite est somptueuse, elle commence � durcir sous la caresse des mes doigts, qui jouent � lui caresser doucement le gland, qui lui titillent le pr�puce et le frein.....Son sexe est maintenant bien band�, un sexe magnifique de 22 cm environ large surtout � la base. Je commence � la branler doucement en lui caressant les boules avec mon autre mains. L'objet de mon d�sir et enfin � ma merci.
Doucement j'approche ma langue, et je commence � lui sucer le gland, doucement, je descends le long de sa hampe et gobe une � une ses couilles.
Yout � coup sa premi�re main se l�ve, s'accroche derri�re ma t�te son autre main attrape sa bite et la dirige vers ma bouche :
"En fait tu as raison me dit'il, c'est plus simple qu'avec le verre" prends directement ta dose � la source".
Sa bite est maintenant enti�rement dans ma bouche. Je le suce comme jamais je n'avais suc� un mec.
Au bout de quelques minutes il commence vraiment � soupirer, ses abdos se contractent, sa main vient appuyer sur ma t�te et pousse enti�rement sa bite au fond de ma gorges. De longs jet de sperme coulent :
"N'en perds pas une goutte me dit'il dans un r�le de jouissance.... bois bois ce nectar de mec"
Apr�s ce flot de sperme, je nettoie bien son sexe avec ma langue.

De puis ce jour la, S�bastien me demanda de le sucer tr�s souvent en pleine journ�e, entre deux cours dans les WC, dans les vestiaires jusqu'au jour ou il rencontra une fille. Tout s'arr�ta et j'�tais vraiment en manque de son sperme qui etait devenu une drogue. Je n'avais plus ma ration journali�re.
Jusqu'au jour ou S�bastien vint me voir : "Ma copine suce pas aussi bien que toi. Elle est d'accord pour prendre des cours. Tu peux passer ce soir dans ma chambre et me sucer ? Elle te regardera faire."
Ce mec �tait vraiment incroyable ! Il avait ce don de pouvoir faire accepter tout � n'importe qui !

Le soir arrive, j'entre dans sa chambre. Sa copine est la assise dans le canap�. Je la salue, elle me semble un peu mal � l'aise. S�bastien lui sors de la chambre, nu comme un vers, son sexe d�j� bien tendu et dis � sa copine: "tu vas voir comme j'aime �tre suc�".
Vas y Morgan au travail ! Je m'agenouille et commence � le sucer en y mettant tout mon savoir faire. Sa copine regarde et semble de plus en plus int�ress�.
"A toi maintenant lui dit 'il vas y fais pareil" et sa bite change de bouche.
"Morgan, me dit 'il tu sais qu'elle refuse de se faire mettre par le cul ? Je pourrais t'enculer pour lui montrer que ce ne fait pas mal ?
Alors la tout mes souhaits de se r�alisent ! S�bastien veut me prendre devant sa copine !!!
"Ok je suis partant "
S�bastien s'allonge sur le dos, et me dit : "Assis toi dessus ! " Je le chevauche et doucement m'assoie sur son sexe. Le gland touche l'entr�e de mon cul, et doucement ses 22 cm sont en moi. Je commence mes vas et viens sous le regards de sa copine qui sans prendre garde saisis mon sexe et commence � le sucer.

Ce jour l� j'ai tout compris. S�bastien avait besoin de la pr�sence d'une fille pour assouvir ses fantasmes avec les mecs. Ces parties de sexe ont dur� jusqu'au vacances scolaires. Il avait quand m�me le don de faire faire au gens ce qu'il voulait. Aujourd'hui je n'ai plus de contact avec S�bastien.
S�bastien, si un jour tu lis cette histoire, contacte moi. J'ai toujours gard� pr�cieusement tes deux slibards sans jamais les laver. Je les portes de temps en temps. Je suis m�me devenu f�tichiste et �change souvent mes slibards avec d'autre mec.

Je t'embrasse,

Morgan

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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