Cyrillo

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L'h�ritage

Le lev� a �t� dur car j'ai discut� avec Sam sur MSN et je me suis couch� tr�s tard car on est devenu de bons amis apr�s notre rencontre et j'ai h�te de le revoir car son stage finit au mois de septembre prochain et on est qu'au d�but de juillet.
Un bon caf� pour que mon cerveau fonctionne normalement, je me dirige vers l'entr�e pour chercher mon courrier, encore de la publicit�, mais qu'est-ce que cette enveloppe un �tude de notaire ? Poitras et fils notaire.
Je l'ouvre et commence � lire

Monsieur Alexandre Tremblay,
Suite � certains �v�nements qui se sont produits via Monsieur Alexis Tremblay, vous serait-il possible de nous contacter pour un rendez-vous selon votre convenance au num�ro ou par courriel. Veillez, Monsieur, agr�er nos condol�ances et par le fait m�me, nous demeurons vos oblig�s pour le r�glement juridique de la succession de Monsieur Alexis Tremblay, votre parrain.
Georges Alexandre Poitras, Notaire et conseiller fiscal
J'attrape le t�l�phone et appelle chez mes parents.

- Bonjour papa, je viens de recevoir un lettre du notaire d'Alex mon parrain, qu'est-ce qui s'est pass�?
- Ton parrain est d�c�d� et suite aux volont�s, qu'il avait demand�es et prescrites dans son testament, tout s'est pass� entre lui et moi dans la plus simple intimit�. Je n'ai pas r�ussi � te rejoindre � temps car tout devait se faire rapidement.
Le rendez-vous est pour mercredi 14h. J'arrive � l'�tude de notaire et un jeune homme vient me chercher � la r�ception et me fait entrer dans un bureau style tr�s conventionnel. Un monsieur d'un �ge certain entre :
- Bonjour monsieur, je vais vous lire le testament de votre parrain Alexis Tremblay.
- Si je r�sume ce que vous m'avez dit : je viens d'h�riter d'une entreprise d'�lectronique sp�cialis�e en surveillance, d'une tr�s grande maison avec 4 studios et de plus de 300 000 dollars ?
- C'est bien cela. Si vous voulez bien signer en bas, mon fils qui est le gestionnaire de votre parrain, va aller vous montrer tous cela et de plus il fera le bilan financier avec vous.
Il prit le t�l�phone :
- Pourrais-tu venir, j'ai avec moi le successeur de monsieur Alexis Tremblay.
On frappe � la porte, le jeune en question que j'avais rencontr� � la r�ception p�n�tre dans la pi�ce.
- Bonjour monsieur, mes condol�ances.
- Monsieur Tremblay, je vous pr�sente mon fils Georges Alexandre, votre conseiller financier si vous voulez, il continuera de faire le suivi des dossiers comme votre parrain l'avait mandat�.
- Bonjour. Si vous permettez, j'aimerais que vous m'appeliez Alex, ce sera plus facile car je crois que nous avons le m�me �ge.
- Pas de probl�me pour moi, cela va faciliter le travail d'�quipe.
On se retire dans son bureau et il m'explique tous les �tats financiers et les avoirs que je poss�de.
- Qu'est-ce que vous penseriez si j'allais vous chercher chez vous pour la suite de la visite de la r�sidence et de l'entreprise demain apr�s-midi vers les 14h ?
- Parfait mais vous oubliez une chose.
- Mais quoi monsieur je ne vois pas ?
- Je t'ai demand� de m'appeler Alex et de se tutoyer, je me sentirais beaucoup mieux.
- Je te dis � demain Alex.

Rendu � la maison, je t�l�phone � mon p�re pour lui raconter tout ce qui venait d'arriver. Mon p�re me dit qu'il se doutait de tout car son fr�re lui avait d�j� fait part de ses intentions mais lui avait demand� de garder le secret. Et il me raconta pourquoi son fr�re m'avait pris sous sa protection.
La sonnette d'entr�e retentit dans l'appartement et c'�tait mon jeune notaire qui �tait arriv�.

Pendant le trajet, il m'a expliqu� qu'une somme avait �t� vers�e au compte de l'administrateur de l'entreprise et des forfaitaires aux employ�s pour services rendus � mon parrain suite au testament et ne touchait en aucun moment la somme de mon h�ritage. Il avait �t� per�u avant le r�glement de ma part.
- Mais oui, c'est bien toi le jeune au complet, je te reconnais maintenant.
Il me regarde surpris.
- Tu veux dire quoi.
- Je ne me suis rappel� ton nom, Georges Alexandre, "G" pour les intimes, tu n'as pas un tr�s bon copain Samuel, plut�t Sam ?
- Mais oui.
- Tu ne me reconnais pas, tu nous avais crois� � l'entr�e de l'appartement de Sam et tu lui avais t�l�phon� pour savoir qui j'�tais. Le motard qui l'accompagnait ce jour l�.
- C'�tait toi ? Il faut dire que ton casque cachait ton visage. �a va �tre encore plus agr�able de travailler pour toi Alex.
Arriv�s sur place, on fait le tour des propri�t�s : la r�sidence avec les studios et l'entreprise; un b�timent juste � c�t� de la r�sidence. Il me pr�senta aux employ�s comme leur nouveau patron. Je remarquais que certains me regardaient d'une fa�on tr�s particuli�re. Il me fit comprendre que la majorit� �tait des gens qui �taient mes locataires et il leur avait envoy� une lettre pour leur expliquer ma prise de possession. Je remarquais que je connaissais de vue la plupart des employ�s pour les avoir crois�s � un moment ou l'autre dans le quartier gays et je me demandais quelle �tait la relation qu'entretenait mon parrain avec ces gars.

Il me pr�senta � Patrick l'administrateur de l'entreprise qui m'expliqua que mon parrain lui laissait carte blanche pour la gestion et il lui rendait compte tous les lundi apr�s-midi pour le suivi des op�rations.
- Puis-je me permettre monsieur Tremblay, j'aurais une faveur � vous demander. C'est qu'avec Alex, on se tutoyait et il m'appelait Pat; �a rendait notre relation plus facile.
- Je ne vois aucun probl�me et de plus vous allez avoir un avantage sur moi car moi aussi c'est Alex, pour Alexandre.
- On se revoit lundi, comme d'habitude je ferai un compte rendu des op�rations faites et � venir, tout sur la mise en march� des nouveaux produits et les pr�visions budg�taires futures.
- C'est parfait.
- On se retrouve lundi chez vous dans la maison comme avec votre parrain ?
"G" m'expliqua que mon parrain sortait rarement suite � son accident de voiture car il avait perdu une jambe et qu'il avait �t� d�figur�, mais qu'il �tait un homme d'affaire tr�s appr�ci� de son entourage et le c�t� tr�s humain avec ses employ�s lui avait valu leur d�vouement inconditionnel.
Le temps a tellement pass� vite que je propose � "G" de souper avec moi pour mieux se conna�tre et faciliter notre coop�ration future.
- J'accepte avec joie.
Je lui indique le restaurant.
- On a bon go�t ! Me dit-il.
- La bonne chaire est toujours agr�able � se mettre sous la dent. Il a tant de plaisirs dans la vie qu'il ne faut pas laisser passer, toute jouissance � port�e de main ou de la bouche.
Au restaurant on parle de chose et d'autres et � un moment "G" me demande si Sam lui avait parl� de lui, ce que je savais de lui exactement.
- Sam m'a tout dit de toi.
Il est devenu blanc comme un drap.
- Ne t'inqui�te pas, ce n'est rien de m�chant au contraire. Je trouve qu'il avait raison et j'esp�re que je pourrai devenir un ami plus qu'un dossier � suivre pour toi.
La couleur du visage passa du blanc au rouge.
- Tu me mets un peu dans l'embarras. Je peux �tre franc avec toi ?
- Je l'esp�re bien.
- Avant que je te parle, qu'est-ce que tu dirais de venir prendre le digestif � la maison.
- Avec plaisir "G".
Je r�gle l'addition et nous voil� partis. Il poss�dait un tr�s grand loft au centre-ville, tr�s bien d�cor� avec chambre et bureau en mezzanine.
- C'est vraiment super chez-toi.
- Tu vas voir que la maison de ton parrain est 100 fois mieux que ce loft et tu auras beaucoup � d�couvrir car il l'a fait modifier � ses besoins et il �tait tr�s ing�nieux. Je ne t'en dis pas plus, tu verras bien en cherchant un peu.
Il piqua ma curiosit�, petit d�faut que je n'ai jamais r�ussi � me d�faire. Il arrive avec deux verres de scotch de tr�s bonne qualit�.
- On conna�t mes go�ts. Qui t'a dit que le scotch �tait ma boisson pr�f�r�e ?
- Mais je sais beaucoup de choses de toi car c'est moi qui tiens les dossiers personnels de ton oncle et comme tu sais, c'�tait un sp�cial en surveille de toute sorte et ton dossier est tr�s complet car il savait tout de toi et m�me tes pr�f�rences particuli�res pour les jeunes hommes, car lui aussi il les aimait pour ne pas dire qu'il les adorait. Je t'expliquerai �a une autre fois.
Je ne savais pas ce c�t� cach� de mon oncle. Il faut dire qu'il �tait des plus discret vu sa situation et l'entreprise qu'il avait. Seulement au d�but son nom apparaissait dans les contrats, mais la venue de Pat et de moi a fait que tr�s peu de gens le connaissaient vraiment.
- Si tu veux bien, j'ai quelques papiers � te faire signer que j'ai termin� ce matin. Ils sont dans mon bureau en haut.
- Je te suis.
- Et on pourra relaxer apr�s...

Nous montons au deuxi�me et en quelques minutes, tout �tait r�gl�. On se pr�parait � descendre quand "G" se retourne et me prend dans ses bras pour m'embrasser avec passion. Je reste l�, fig�. Il recule et s'excuse d'avoir os�.
- J'en avais tellement le go�t. C'est depuis hier quand je t'ai vu au bureau de mon p�re, je te trouvais super. Je me suis retenu, je t'aurais viol� mais vu les circonstances de ta visite, j'esp�rais avoir une autre occasion pour te le dire et avoir ton consentement.
- Tu me plais aussi mais tu m'as pris par surprise.
� ces mots, je me mets � l'embrasser et � lui enlever son veston et d�fais sa cravate.
- Qu'est-ce que tu dirais si on passait dans ma chambre ?
- Je te suis, je me demandais quand tu allais me le proposer.
En quelques minutes, notre linge vole dans toutes les directions. On se retrouve tout nu dans son lit � s'embrasser et � se caresser. Que son corps �tait agr�able; sa peau �tait douce et elle d�gageait un doux parfum. Ses cheveux �taient d'un noir charbon, ses yeux noisette et il a un sourire � faire craquer un vrai petit diable. Je me suis mis � le l�cher partout et quand je lui mordillais les mamelons, un petit cri de jouissance se fit entendre. Et plus je le l�chais, plus il se tortillait dans tous les sens.
- Arr�te, je suis tr�s chatouilleux, c'est l'enfer.
Je me suis dirig� sur sa queue. Elle est de taille tout � fait normale, 6 pouces, mais ce qui me frappe, c'est la grosseur de sa poche : ses gosses sont �normes, je dirais plus, encombrantes !
- Je sais. Mais on s'habitue � marcher avec �a entre les deux jambes mais le frottement me fait bander tr�s facilement.
Je commence � lui gober sa bite et je vois qu'il est tr�s sensible. Je monte, je descends dans un mouvement de va-et-vient tr�s lent. Je vois bien dans son regard, il aime la technique de la douceur et de la r�gularit� car sa respiration devient tr�s rapide et ses lamentations se font entendre de plus en plus fort. Je dirige une main vers ses gosses et au moment que je commence � lui masser, il crie et se lamente tout en me giclant une quantit� de foutre. Il y en a tellement que je dois expulser son p�nis. J'avais la bouche pleine, j'ai l'impression de me noyer et m�me � l'ext�rieur, il continue � gicler et j'ai la face pleine, mais pleine, de son jus de jeune homme. On dirait qu'il n'est pas venu depuis un si�cle. Je reviens � moi et le regarde tout abasourdi.
- Oui c'est toujours comme �a Alex. Et je suis capable de recommencer au moins 5 fois. Je suis d�j� venu 8 fois mais j'�tais vid� et je me suis endormi comme un b�b� cette fois-l�.
- J'avais remarqu� que tu avais tout un entrep�t mais la tu pourrais fournir � toi seul une banque de sperme sans probl�me. Excuse-moi de te dire cela mais je ne suis pas le premier � te faire cette remarque je pense ?
- Non mais �a ne me d�range plus maintenant. Au d�but, quand j'ai commenc� � sortir et � rencontrer des gars, j'�tais g�n� car je croyais que tout le monde venait comme moi. Aujourd'hui, je sais que la nature m'a avantag�. Je suis une usine � foutre mais �a ne pla�t pas � tout le monde car il y a des gens qui frustrent facilement. Alex... j'aimerais que tu m'encules.

Un regard et il comprit que j'�tais d'accord. Il sortit un condom et me l'enfila, ce qui me fit bander au max. Il s'est assis tranquillement, il s'empala centim�tre par centim�tre et il commen�a � monter et descendre tout en se branlant au rythme de son va-et-vient. Que c'�tait bon de le voir se promener sur ma tige. Je voyais que �a le travaillait car sa respiration �tait plus rapide et plus il se masturbait avec vigueur, plus il se p�n�trait avec force. Il me chevauchait avec passion et je sentais sa poche frapper sur mon ventre.

Je me suis mis � le caresser et � lui pincer les mamelons. Il aimait vraiment �a, on percevait le plaisir qu'il avait au sourire et aux g�missements que j'entendais. Tout son �tre vibrait, il �tait en transpiration par effort, il d�gouttait et mes mains glissaient sur son corps avec encore plus de facilit� et il devenait encore plus excit� de sentir mes caresses sur sa peau. Sans que je puisse deviner, il s'est mit � gicler. Je n'avais jamais vu tant de sperme sortir d'une queue. Il m'arrosait partout, pas une parcelle de mon corps n'�tait �pargn�e, m�me ma figure. Mes cheveux en avaient re�u. Il s'arr�ta et il demeura empal� car ma queue lui permettait et il s'est mit � �tendre son sperme sur tout mon corps comme si c'�tait de l'huile � massage. C'�tait agr�able de sentir ses mains se balader sur ma poitrine. Il me regarde et me dit :
- Tu n'es pas venu, je vais m'occuper de �a.
Il sortit ma queue de son cul et enleva le condom tout en restant assis sur mes cuisses et prit mon sexe et le colla au sien. Il prit un nouveau condom, le d�roula sur nos deux queues. Il se mit � nous branler comme si nos deux p�nis n'en faisaient qu'un. C'�tait tr�s agr�able de sentir sa queue et de voir en m�me temps le mouvement et l'ardeur qu'il prenait � nous masturber. L'effet �tait terriblement bon, de sentir aussi ses gosses se ballotter sur les miennes. C'�tait trop de sensations et je me suis mit � d�charger avec vigueur. Il sentait mon sperme couler, ce qui le fit jouir � son tour pour la troisi�me fois. Il a commenc� � d�verser encore une fois une quantit� monstre de foutre et avec le mouvement de va-et-vient qu'il faisait, j'avais impression d'�tre recouvert de g�latine et la sensation �tait �lectrisante. Je suis venu encore une fois. Je me demandais quand il arr�terait de d�verser son jus qui continuait � se vider sur nos deux queues.

- Super cette technique de nous branler tous les deux en m�me temps.
- J'aime tellement faire l'amour avec toi. Te sens-tu encore capable pour une autre fois ?
Il me donne un condom et je devine facilement ce qu'il attendait de moi. Il se couche sur le dos et rel�ve ses jambes pour faire appara�tre son joli petit trou. Je me positionne et commence � le p�n�trer.
- Vas-y, laisse-toi aller au plus profond de mon corps. Je veux te sentir en moi.
Mais l�, comme j'�tais venu, j'ai �t� capable de faire durer le plaisir plus longtemps et il appr�ciait de me sentir entrer et sortir avec �nergie et il g�missait quand ma queue lui touchait la prostate, ce qui lui donnait une sorte de d�charge �lectrique. Apr�s une demi-heure de ce va-et-vient, j'ai joui et l'effet se r�percuta en lui, ce qui le fit d�charger de nouveau. Mais ce n'est pas vrai, on dirait qu'il venait pour la premi�re fois � voir la quantit� qui sortait de sa queue. Je suis tomb� sur lui, �puis�, et vraiment coll� par son jus entre nous deux.
- Ouf ! �a faisait longtemps que je n'�tais pas venu comme �a Alex. Tu es d� pour une douche mais une vraie cette fois !
On s'est dirig� � la salle de bain le sourire aux l�vres et on a prit une douche ensemble.
- Tu restes coucher avec moi ?
- Avec plaisir. Avec tous ce qui s'est pass� depuis deux jours, je dois r�fl�chir � mon avenir et me reposer.
- Je vais prendre cong� demain et on explorera ta nouvelle maison.
- Bonne id�e
J'esp�re vous faire conna�tre la nouvelle vie d'Alex et ses nouvelles aventures. J'esp�re que vous avez appr�ci�. Si oui, dites-le moi en me donnant votre opinion et peut-�tre deviner ce qui va lui arriver.

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