Cyrillo

Page pr�c�dente

Le gendarme.

Cette histoire m'est arriv�e au mois de janvier 2003.

Cet apr�s-midi-l�, il faisait gris et froid, tr�s froid. Le thermom�tre indiquait des temp�ratures n�gatives. Mais dans mon boxer, �a p�tait le feu. Je me suis donc connect� sur internet, histoire de mater quelques beaux mecs dans telle ou telle galerie, puis je me suis rendu sur un chat, histoire de faire une �ventuelle rencontre.

Mais rien, d�finitivement personne dans ma r�gion ! Apr�s plusieurs essais infructueux sur le web, je me suis rabattu, en d�pit de cause, sur un service audiotel. Je n'y croyais pas vraiment (cette m�thode est tr�s co�teuse pour des r�sultats tr�s infimes !!!) mais j'ai quand m�me saisi le combin�, fait ce num�ro, enregistr� mon pseudo et me voil� pr�t � rencontrer mon futur partenaire.

Apr�s un bon quart d'heure sans r�el succ�s (peu de mecs de mon coin et les deux ou trois pr�sents ne daignaient pas me r�pondre), je me suis dit que c'�tait normal, qu'il fallait s'en douter, que c'est toujours comme �a et que la meilleure chose � faire �tait de raccrocher. " Bon allez, encore trois annonces et tu raccroches " me suis-je dit. La deuxi�me annonce a retenu mon attention. Elle disait un truc du genre : " Militaire, ville X, cherche passif pour tout de suite, plan direct ". Et � ce moment-l�, j'ai recommenc� � y croire. Mon boxer se remettait � bouillonner. Je d�cide de lui envoyer un message.

" Salut mec ! Tu es comment, svp ? Tu cherches quoi ? "
Sa r�ponse m'a chauff� � mort : " 1 m�tre 96, 92 kilos, blond, cheveux tr�s courts, baraqu�,
19 x 5, actif, cherche un mec passif pour plan direct tout de suite ".

Super ! Je voulais en savoir plus sur ce type et surtout ne pas l�cher le " morceau ".
Il pr�cise : " Et toi, tu es comment ? "
Je lui r�ponds de suite et me d�cris : " 34/192/80, brun, yeux verts, poilu torse/jambes/fesses, petit cul cambr�/rond, couilles ras�es, 18 x 5.5, passif ".

Il ajoute : " J'ai envie d'un plan direct, tout de suite. Je suis super chaud. J'ai une trique d'enfer et je cherche quelqu'un pour me vider les couilles. Je n'en peux plus ".
" Ne cherche plus ! Tu as trouv� le mec qu'il te faut ! Je me ferais un plaisir de te vider les couilles ! Comment on peut se voir ? " Lui ai-je r�pondu.
Il ne pouvait pas recevoir et moi non plus. Nous avons d�cid� de nous retrouver pour un plan nature.

Rendez-vous �tait pris sur le parking d'un Mc Do dans une zone commerciale. Il me dit qu'il y sera dans 15 minutes et qu'il a une Clio anthracite. Moi, je n'avais pas de voiture (because elle �tait en panne) ; je le pr�viens donc que je viendrai � pinces et me d�crit � nouveau ainsi que mes fringues.

J'arrive un quart d'heure plus tard sur le lieu de rendez-vous et je vois effectivement une Clio anthracite avec un grand mec blond � l'int�rieur en train de se griller une clope. Je m'approche de la caisse pour voir le num�ro. Bingo ! Il colle avec celui qu'il m'a donn�. Je m'approche de sa porte. Il baisse la vitre. Je lui souris et le salue.
" Salut ! " Me r�pond-il. " C'est toi que j'avais avant sur le r�seau ? ".
" Oui ! Tu n'as pas attendu trop longtemps ? "
" Non, je suis arriv� il y a deux ou trois minutes. Mais entres, il fait trop froid dehors. Tu vas chopper la cr�ve si tu restes ici ".

Je fais le tour et je m'enfouis dans son antre. A l'int�rieur, le climat �tait chaleureux, tout aussi chaleureux que cet h�te qui m'accueillait.
Nous avons �chang� deux ou trois phrases puis il m'a demand� si je connaissais un endroit tranquille. Nous sommes partis illico � cinq kilom�tres de l�, dans une for�t, au bord d'une rivi�re.

Il gare la voiture, coupe le moteur et me caresse la jambe en partant du genou et en remontant jusqu'au haut de la cuisse. Je lui fais de m�me et nous nous roulons une pelle. Mais dans cette caisse, nous ne pouvions pas bien bouger (je vous rappelle qu'il mesure 1,96 m et moi 1,92 m). Nous d�cidons donc de sortir pour laisser �clater nos pulsions.
Une fois dehors, il vient se positionner de mon c�t� de la voiture. Je l'agrippe vers moi, lui roule une profonde pelle tout en caressant son paquet � travers son jean.
Pendant que nos langues se cherchent, je sens sa queue qui prend vie, malgr� ce froid glacial. Je sens ce chibre gonfler, s'allonger au contact de mes doigts. Je le d�boutonne, d�braguette et je laisse enfin sortir cette tige presque toute raide.

Elle est magnifique : 19 centim�tres de chair br�lante, bien large, bien droite. Je l'engloutis tout de suite dans ma bouche et j'en gobe le maximum. Tout ce que j'ai pu y entrer est entr�. Puis je la laisse ressortir. Je la l�che un moment, je descends jusqu'� ses couilles que j'embrasse et que je l�che. Puis je lui l�che toute la surface de la queue en partant des burnes jusqu'au gland. Je prends son gland en bouche et j'en titille le dessous avec ma langue.
Je l'entends g�mir, je sens son corps se raidir. Apr�s une minute, je m'occupe � nouveau de sa queue en entier : je le pompe comme un malade en enfon�ant ce chibre au maximum jusqu'au fond de ma gorge, puis je remonte jusqu'au gland et je la replonge au fond de ma gorge.
Il g�mit. Je m'applique, j'astique sa tige avec mes l�vres et ma langue. Apr�s cinq bonnes minutes � ce r�gime, il me demande de me m'arr�ter. Il ne veut pas encore jouir.
" Arr�tes ! S'il te pla�t, arr�te ! Si tu continues comme �a, tu vas me faire cracher ! Rel�ves-toi et d�froques-toi ! Montre-moi ta queue et ton cul ! ".

Je m'ex�cute. Je me l�ve. Je d�fais le bouton de mon fut, descends ma braguette, baisse mon futal et mon boxer. Ma queue mi-raide s'en d�gage. Il se plaque contre moi. De sa main gauche, il me branle �nergiquement. Sa main droite parcourt mes fesses, les malaxe. Puis elle va caresser mes couilles en passant entre mes jambes. Elle retourne vers mon cul. Il me roule une longue pelle. Pendant ce temps, sa main gauche astique toujours mon zob qui est devenu bien dur. Sa main droite est � nouveau sur mon cul.
Alors que sa langue cherche la mienne, un de ses doigts s'aventure dans ma raie et la caresse tendrement puis s'attarde au niveau de ma rondelle. Sa queue, raide et dure comme un bout de bois, s'�carte de ma cuisse. Sa bouche s'�loigne de la mienne. Il se met � genou, faisant face � ma queue. Il ouvre la bouche et laisse entrer mon zob dans cet antre chaud et humide. Je suis aux anges. Ses l�vres et sa langue caressent chaque centim�tre de ma queue et me font fr�mir de plaisir. Ce mec n'en est pas � sa premi�re pipe ! J'en savoure chaque moment.
Je suis adoss� � la porti�re de sa voiture, la t�te en arri�re. Face � moi, dans le ciel, les �toiles scintillent et nous envoie leur lumi�re. Je baisse la t�te et me dis que je ne r�ve pas. Je suis bien l�, dans cette nature glaciale, le pantalon aux chevilles, avec un magnifique apollon en train de me bouffer le chibre comme personne.

Apr�s cinq bonnes minutes d'une pipe baveuse, profonde et soutenue, il se rel�ve, me roule une pelle en me pelotant et me retourne. Il se plaque contre moi, me mordille l'oreille et frotte sa tige toujours aussi raide dans la raie. Sa respiration s'acc�l�re. Je le sens de plus en plus excit�. Sa queue va et vient contre ma raie. Puis il s'�loigne, comme s'il sentait que la jouissance est trop proche et que c'est trop t�t. Il va se placer devant sa voiture et apr�s quelques secondes, me demande de le rejoindre.
" Suces-moi de nouveau, s'il te pla�t ! T�tes mon zob ! ".
Avec le plus grand plaisir (j'adore �a !), je m'agenouille et recommence � le pomper. Apr�s deux ou trois minutes, il me rel�ve, me roule une pelle en me caressant le cul.
" T'as une capote ? " me demande t-il.
" Non, j'en n'ai pas sur moi ".
" Dommage, tu as un beau petit cul. J'en ai vachement envie ".
" Ouais, mais sans capote, c'est pas raisonnable. Je pr�f�re pas ".
Il acquiesce puis me retourne et pose sa queue contre ma raie. Il bouge ainsi en faisant glisser sa queue dans ma raie. Il se met � genou et commence � l�cher une fesse, puis l'autre pour finir par l�cher ma raie.
Tr�s vite, il s'attarde sur ma rondelle. Il bouffe ma chatte avec fr�n�sie. Je suis couch� � plat ventre sur le capot encore chaud de sa voiture, les pieds � terre, et je profite des bienfaits de sa langue impudique qui fouille mes entrailles.
Cette langue experte et d�licieuse titille l'entr�e de mon orifice, le parcours d�licatement, l'humidifie sous ses caresses. De temps en temps, il �carte mes fesses pour y go�ter plus en profondeur.

Quel bonheur. Je n'arr�te plus de g�mir sous ses coups de langue. La chaleur qui se d�gage du capot, combin�e � celle qu'il me procure en me bouffant la rondelle comme �a, me fait tout oublier. Au bout d'un moment, il se redresse et s'allonge sur moi. Je sens son torse qui se pose sur mon dos et sa langue qui parcours ma nuque. Il plaque ensuite son chibre contre ma raie et le fait glisser. Je suis dans le m�me �tat que lui : super chaud et super excit�. Il me caresse, me l�che la nuque et simule un co�t en laissant sa queue parcourir ma raie.

Entre deux respirations saccad�es, il me dit :
" S'il te pla�t, donnes-moi ton petit cul. J'ai trop envie de baiser ta petite chatte ! "
Je pensais toujours la m�me chose qu'auparavant, mais je me surprends � lui r�pondre " Oui ! ". Il me roule une pelle, crache sur ma rondelle et pointe le bout de son gland. Sa queue fait face � ma rondelle et force l'entr�e. Il enfonce son gros chibre lentement en faisant attention de ne pas me faire mal. Une fois la totalit� de sa queue engloutie, il se recouche sur moi. Je suis allong� sur le capot de sa Clio, un pied � terre, l'autre sur le pare-chocs. Derri�re moi se trouve un apollon, grand, muscl�, viril, qui honore ma rondelle.

Je sens ce gros zob bien dur aller et venir en moi. Le plaisir qu'il me procure est �norme. Il passe de mouvements tendres et lents � des mouvements secs et rapides. J'ai la sensation qu'� certains moments, il me fait l'amour et � d'autres, il me baise comme une chienne. D'une main, je me tiens au haut du capot et de l'autre, je me branle, excit� par ses coups de butoir. Au bout de cinq minutes, il acc�l�re le mouvement. Il me baise tr�s hard. Je sens ses couilles finir leur course contre mon cul. La tension est � son comble. Nous sommes tous deux pr�ts � jouir. Alors qu'il est en train de me bourrer avec fr�n�sie, il me demande s'il peut cracher dans mon cul. Une fois de plus, je me surprends � acquiescer. Il continue � me bourriner le fion comme une b�te et au bout d'une trentaine de secondes, je le sens se contracter, puis je l'entends g�mir. Il sent sa semence monter le long de sa queue. Son plaisir est imminent. Il ralentit la cadence et se met � pousser des cris. Il hurle litt�ralement son plaisir et d�charge tout son foutre au fond de mon cul.

N'y tenant plus, face � ce spectacle, je sens la s�ve monter en moi et me queue lib�re sa jute me procurant la jouissance tant recherch�e. Il est toujours en moi, sa queue glissant lentement et tendrement en moi comme si elle ne voulait plus en sortir. Nous sommes rest�s comme �a un petit moment. Comme sa queue tardait � d�bander, il en a profit� pour continuer � me baiser, lentement et tendrement, tout en m'embrassant. Mais au bout de deux minutes, le froid a eu raison de nous et nous a ramen�s � la r�alit�. Un dernier baiser et nous nous sommes rhabill�s. Nous nous sommes ru�s dans sa voiture et il m'a ramen� au point de rendez-vous. L�, nous avons discut� un petit quart d'heure. J'ai appris qu'il �tait gendarme et qu'il �tait en mission dans le coin pour dix jours. Je ne le reverrai malheureusement plus.
Nous nous sommes quitt�s en nous disant que peut-�tre, un jour...

Apr�s �tre arriv� chez moi, je ne pouvais m'emp�cher de repenser � ce moment unique que je venais de vivre. Apr�s m'�tre repass� le film de nos �bats avec d�lice, je me suis rendu compte que ce que je venais de faire n'�tait franchement pas tr�s malin. J'ai brav� les r�gles sanitaires �l�mentaires : aucun contact avec le sperme d'un inconnu (et de certains connus �galement, d'ailleurs !). Et moi, j'avais accept� de me faire mettre sans capote et, en plus, que mon partenaire d�charge en moi. J'ai, � ce moment-l�, mesur� l'ampleur de la boulette.

Inutile de vous dire que les trois mois qui ont suivi �taient des plus flippants.
Une fois le d�lai de trois mois �coul�, je suis all� dans un centre de d�pistage avec la peur au ventre. J'�tais tr�s tendu, j'avais franchement les boules et je regrettais profond�ment ma faiblesse pass�e tout en me rappelant combien ce moment avait �t� agr�able.
Les quelques jours qui marqu�rent l'attente des r�sultats �taient interminables. Finalement, la sanction est tomb�e : N�gatif ! A ce moment-l�, mes yeux se sont inond�s de bonheur et j'ai repris une vie plus tranquille. Mais une chose est s�re : je suis pleinement conscient que j'ai eu une chance �norme sur ce coup-l� et que, en aucun cas, je ne recommencerai une deuxi�me fois. Les quatorze ou quinze semaines qui ont suivi cette rencontre fort agr�able ont �t� les pires de toute ma vie. On peut avoir les m�mes sensations en se prot�geant ! C'est ce que j'ai fait avant cette rencontre et c'est ce que je fais depuis avec plus de convictions.

Hanky Spanky

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :

ob.ob5.ru site gay gratuit. Textes et histoires gay.



"tournante dans une cave""recit cyrillo""cirillo gay""histoires x gay""recit gode ceinture""cyrillo rebeu""zoophilie cheval gay""sex club gay paris""ma mère me suce""histoire gay cirillo""histoire gay grosse bite""histoires gay""gay gangbang""gay cyrillo""x story histoires""histoire gay vestiaire""branle entre mecs""branlette collective""histoire gay soumis""elle suce en boite""cyrillo histoire gay""histoire gay x"cyrillloaperobranle"1ere sodomie gay""baise au resto""gay ero""boomer banks""action ou verite chaud""j'ai vu mon fils bander""gay wc""gay sex gratuit""premiere sodomie gay""n'appréciait pas du tout le rouquin""cité rebeu""cyrillo gay""ma soeur me baise""gay esclave sexuel"bondagemoi"amateurs gay""histoires cyrillo""cyrillo gay""partouze sur la plage""gay touzeur""soumission extreme""masseur gay""histoires gay cyrillo""baise entre amis""action chiche ou vérité""histoire gay internat""gay plage"aperobranle"histoire gay gratuites""histoire gay piscine""photo cul homme"actifsoumis"partouze a la plage""hds histoire de sexe""grosse bite veineuse""histoires cyrillo"cyrrillo"premiere fois gay""baise dans un sauna""histoire gay sexe""histoire porn""gay slip""photo x gay""histoire gay gratuites""hetero curieux""cyrillo histoire gay""recit gay soumis""sauna soho lille""1er sodomie""depucelage violent""histoire esclave gay""histoires gays cyrillo""je suis une vraie salope""histoire gay pompier""photo amateur gratuit""cyrillo photo"