Cyrillo

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Garde � vous

Cela s'est pass� il y a quelques ann�es.
A l'�poque, le conflit faisait la une des m�dias et mon unit� y avait �t� envoy�e pour tenter de s'interposer entre les bellig�rants.
J'�tais jeune lieutenant et c'�tait ma premi�re op�ration ext�rieure.

J'�tais heureux et fier de prendre part � cette mission de paix, et m'imaginait pouvoir mettre en application ces heures de cours sur le terrain, face � de vrais civils � prot�ger, en liaison avec d'autres unit�s venues d'autres pays, tous sous couleur unique, le bleu.

La r�alit� sur le terrain fut tout autre : je me retrouvais officier de liaison avec une unit� �trang�re.
En clair, je passais le plus clair de mon temps � faire la navette entre ma base et la leur, pour �changer les missives, coordonner les missions...
J'avais droit � un chauffeur : un jeune sergent au physique banal avec qui j'�changeais des conversations tout aussi banales pendant les trajets.
Le temps, nos copines rest�es en m�tropole, la vie de militaire qu'elles ne comprenaient pas... pas de grand int�r�t mais cela rompait la monotonie du trajet.

Depuis mon arriv�e, je n'avais jamais aper�u m�me de loin ceux entre qui nous devions nous interposer. Les copains de l'unit� avaient eu quelques escarmouches avec eux, mais moi, avec mon sergent pilote, tels des planqu�s � l'arri�re, rien. Une route d�fonc�e, de la boue, de la neige, un vent glacial, parfois un paysan qui prenait peur en voyant un v�hicule militaire, voil� notre quotidien.

Un matin cependant, il n'en fut pas de m�me. Le brouillard avait envahi la vall�e et on n'y voyait pas � 5m. Nous devrions �tre � mi-parcours, moi le nez dans la sacoche � la recherche d'un papier, quand un bruit sourd tapa sur le v�hicule provoquant de la part de mon sergent l'arr�t aussi imm�diat que brutal du v�hicule. Nous nous sommes alors retrouv�s encercl�s par 5 ombres hurlantes.
Il ne nous fallu pas longtemps pour comprendre qu'il s'agissait d'un d�tachement de ces " ennemis " que nous n'avions pas encore rencontr�s. Rapidement, ils ouvrirent les portes, leur mitrailleuse arm�e, nous faisant comprendre qu'ils voulaient que nous descendions.
Je ne me souviens d�s lors que d'un choc violent sur la nuque.

Je repris connaissance quelques temps plus tard, les mains attach�es dans le dos, les pieds entrav�s, couch�s sur un sol de b�ton glac�.
Je fis le tour de la pi�ce d'un coup d'oeil, et aper�u � mes cot�s le corps de mon sergent. Je l'appelais, plusieurs fois, et il reprit connaissance �galement. A part une migraine, nous n'avions rien. Nous sommes rest�s un long moment ainsi, dans une quasi p�nombre, persuad�s que notre unit� avait du se rendre compte de notre disparition, et que les copains allaient rapidement nous retrouver et nous tirer de l�.

La lumi�re jaillit violement, et 3 gars en treillis entr�rent dans la pi�ce. Un grad�, un gringalet, et une armoire � glace. Le gringalet prit la parole en anglais nous accusant d'�tre des espions et que nous devions lui dire ce que nous savions. Je tentais de r�tablir la v�rit� mais sans r�sultat. Le grad� fit un signe dans ma direction et l'armoire � glace me souleva de terre pour me jeter sur une chaise.
J'allais en prendre pour mon grade...

Cela commen�a par des claques de plus en plus violentes, puis des coups dans le ventre, entrecoup�s � chaque fois de cette question " vous espions, vous dire tout ".
Je commen�ais � perdre conscience, les baffes s'arr�t�rent, un seau d'eau glac�e me fut jet� � la t�te pour me faire redescendre sur terre. L'armoire � glace me souleva de la chaise me jeta � genoux face � mon sergent qui lui avait �t� attach� � 2 chaines pendues au plafond. " Vous offici�s toujours command�, maintenant donner plaisir au soldat " dit alors le gringalet dans son mauvais anglais.

Je l'insultais, me d�battis faisant comprendre mon refus.
Je sentis alors le contact froid d'un pistolet sur ma nuque.
Je n'imaginais pas ces soldats d'op�rette capables de mettre leur menace � ex�cution : les repr�sailles auraient �t� terribles.
Je continuais � me d�battre et � protester. Un coup sec et une violente douleur me traversa la cuisse. Il m'avait tir� dessus, et le canon repris sa place sur ma nuque.

R�sign�, j'approchais la t�te de l'entre cuisse du sergent.
L'armoire � glace lui fit tomber son treillis sur les rangers, le laissant quelques instants en cale�on. Je levais les yeux, mon sergent (Steff) d�tournait la t�te, pour ne pas voir ce qui allait se passer et ne pas en rajouter par un contact visuel � mon humiliation.
Le cale�on ne tarda pas � rejoindre les chevilles de Steff, faisant appara�tre son sexe mou, pendant sous une l�g�re toison qu'il devait raser r�guli�rement.
Je commen�ais � lui l�cher le bout du gland mais cela n'eu pas beaucoup d'effet.
L'armoire � glace se mit � cracher dans sa main, lui �carta les fesses et lui enfon�a un doigt dans sa rondelle, Steff poussa un cri, l'insulta longuement, mais le doigt resta en place et cela eut pour effet de lui faire naitre une �rection.

Je continuais � lui l�cher le gland, puis la hampe.
Ma premi�re fellation, les mains attach�es dans le dos, un pistolet sur la nuque... J'avoue que les premiers instants me d�gout�rent mais peu � peu, cela me choquait moins et j'y prenais presque plaisir, faisant une pipe de la fa�on dont j'aurai tellement voulu que ma copine le fasse.
Je lui l�chais les couilles, qui commen�aient � se blottir dans sa bourse, r�v�lant un plaisir partag�. Steff bien que se contr�lant, poussait de petits g�missements de plaisir. J'avalais sa queue gonfl�e, passait ma langue sur son gland �carlate d'o� perlaient des gouttes de mouille.

Derri�re, les 3 pervers nous regardaient en riant.
Steff eu juste le temps de crier " je viens mon Lieutenant " et je sentis dans ma bouche son premier spasme.
Je lib�rais sa tige de ma bouche � la 2e saccade qui s'�crasa sur mon visage. Je crachais par terre son �jaculation pendant que Steff finit de se vider sur le sol, sa tige au garde � vous.

A suivre

french_soldier

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