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House keeper a Fort Lauderdale

Nous sommes dans une guest-house en Floride, gay, et je vois tous les jours un "P'tit house-keeper" comprenez un gar�on de chambre, qui attise ma lubricit�.
Jeune blondinet au yeux bleus, p'tit cul tout rond, joli musculature fine et dessin�e.
J'ai envie d'un plan avec employ�.

Plus que les mecs j'aime collectionn� les situations (garage, plage, porte coch�re) ou les clich�s (pompier, infirmier, l�gionnaire, etc..)

Le probl�me est qu'il �tait vraiment tr�s occup�, qu'au USA, on ne plaisante pas avec le sexe et le travail.
En effet je savais qu'il faudrait �tre malin pour me retrouver seul avec lui dans un petit coin pour tenter ma chance, lancer ma perche... Car ce gar�on attisait, attisait...

Quel d�lice de le voir, les muscles band�s, arracher les vieilles branches de palmier.
Chaud chaud que je le surprenais � quatre pattes faire le sol de ma chambre (quand j'y surgissais par hasard... parce que j'y avais oubli� quelque chose...)
Bref tout au long de la journ�e j'entretenais un petit man�ge.

L'endroit autorisait le naturisme et je n'h�sitais pas � me faire gonfler la queue un peu, prendre telle ou telle pose pour observer ses r�actions. Il m�tait bien mais qu'est ce que cela pouvait bien dire de plus ? Avait il vraiment envie de se la prendre cette queue ?

Il y avait une petite salle avec l'air conditionn�e pour venir boire quelque chose et se rafra�chir. La t�l�, des mag de mecs � poil pour passer un petit moment � l'ombre au frais.
J'avais rep�r� qu'il y passait r�guli�rement pour l'entretenir.

J'y allais donc souvent aussi. Je n'ai jamais autant bu de caf� d�gueux ou plut�t am�ricain de ma vie !
Il rangeait, nettoyait et moi pendant ce temps je matais son p'tit cul, feuilletais les mag, et ma queue gonflait... Tous les jours pendant 2 semaines nous avions nos rendez vous dans cette salle. Je remarquais qu'il n'en manquait pas, qu'il ne faisait jamais mine de ne pas appr�cier mes mises en sc�ne. Nous �tions tr�s joueurs...

Cette salle �tait commune et nous n'�tions jamais vraiment tranquille, cela aussi ajoutait du sel.

Un apr�s midi la guest house �tait calme, heure de la sieste. J'avais " subitement " envie d'un vingti�me caf�... Il vint quelques minutes plus tard pour faire une petite vaisselle dans notre salle.
J'avais d�j� lu tous les mags et je ne pouvais plus me servir de ce support pour donner lieu � mes �rections que je dissimulais de moins en moins, pour l'�nerver...
Et �nerv� il l'�tait ce jour l�. Il m�tait carr�ment et ses gestes �taient d�sordonn�s.
Je su que c'�tait le jour !
Il ouvrit une armoire et en sortit une pile de nouveaux magazines, tout frais et bien plus hard, carr�ment porno.
Il me les tendit avec un petit sourire vicieux et me dit " tu vas aimer "

J'ai senti l� qu'il me donnait l'occasion m�me m'ordonnait de faire mon show...
Affal� sur le sofa, la serviette cette fois ci carr�ment d�tach�e de ma taille je feuilletais d'une main et me branlait de l'autre. Tr�s lentement. Mes yeux allaient du magazine � ma bite et mon regard finissait par s'�craser dans le sien.
Il en oubliait ses taches, et je voyais sa bite soulever son p'tit short bleu.
Son visage �tait tout rouge, son regard en panique.
J'aurais pu lui dire de venir dans ma chambre mais c'�tait cette situation l� qui m'excitait, avec les " dangers " de se faire surprendre (surtout pour lui)

Ma pose �tait carr�ment obsc�ne, je bandais comme un �ne, je me branlais sans aucune g�ne - apparente - ! 2 semaines d'excitation, de jeux, de fantasmes...
J'oubliais toute pudeur, je n'ai pas pens� que je pouvais �tre ridicule, j'avais la bite � la place du cerveau !
Il n'en pouvait plus non plus, il l�cha son torchon & se jeta sur ma bite.

A genoux, il pompait comme un malade, me branlait � une vitesse vertigineuse, l'effet optique faisait qu'on ne distinguait plus ma queue de sa main !
Il tendait la langue, l'�crasait sur le gland, branlait, l�chait, avalait la queue en entier, crachait dessus. Il me semblait qu'il suppliait de voir mon foutre jaillir avant qu'on n'entende des pas se dirigeant vers nous.
Je n'en pouvais plus. Je savais que je ne pourrai en avoir plus, qu'il �tait dans la terreur de se faire choper � genoux avec la bite d'un client dans la bouche.

" Cum cum " me susurrait il. " Je perdais l'�quilibre ", la queue en feu, excit�e par ses grands coup de langue, je sentais la jouissance arriv�e comme un torrent.

J'ai crach� de long jets sur son visage, il haletait de plaisir, branlait toujours sans baisser de r�gime. Ma queue ne m'appartenait plus, j'avais l'impression qu'il allait me faire faire une crise cardiaque.

Crise que nous faill�mes bien faire car alors que je crachai la derni�re goutte... Le son strident du t�l�phone nous fit bondir. Nous �tions tellement dans la crainte de nous faire surprendre que ce pauvre t�l�phone nous terrorisa !

Fin comique, il parti en aveugle, car le visage couvert de foutre, r�pondre au t�l�phone.

Quand je sortis de la pi�ce et fis mon retour � la piscine, j'observais plein de regards amus�s qui m'�taient destin�s...
Je fis le bilan de mon quart d'heure crapuleux � mon mec qui explosa de rire et ne me laissa pas terminer mon r�cit.

J'�tais furieux, je sentais qu'il s'�tait pass� quelque chose que j'ignorais, et qui visiblement amusait tout le monde...

Il avoua que le boss �tait pass� par la salle de repos, qu'il avait surpris discr�tement la sc�ne de la fellation et qu'il en avait fait le r�cit d�monstratif en la mimant, � tous les mecs de la piscine...

J'ai du ressentir la m�me honte que Bill Clinton !
Le boss �tait tr�s cool, il n'y a pas eu d'histoires.

ob.ob5.ru

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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