Cyrillo

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Fr�re & Soeur

C'�tait lors de mes ann�es au lyc�e, en classe de terminale. En travaux pratiques de chimie, je formais un "bin�me" avec un pote de la classe avec qui je faisais scolarit� commune depuis 8ans.

Les comptes-rendus d'exp�rience devaient se faire le soir, chez soi. Nous avions pris l'habitude de r�diger ces putains de comptes-rendus chez mon "bin�me". Ce dernier �tait de parents portugais, assez costaud, imberbe (comme moi � l'�poque!) timide avec les filles.

Deus fois par mois, je mangeais chez ses parents et nous attaquions le TP apr�s le repas. Sa m�re (la "mama" typique) avait la main lourde sur la goutte portugaise dans nos verre en fin de repas. Ca nous tournait un peu la t�te et nous mettait en forme pour la soir�e. Lorsque ses parents �taient couch�s, mon pote sortait une bouteille de porto et nous nous la siffliont apr�s avoir travaill�. Il �tait convenu avec mes parents que je couche chez lui.

Et un soir, (je couchais dans son lit 2 places), j'ai attendu qu'il dorme(me semblais-je) et le porto aidant, j'ai commencer � me branler discr�tement en prenant le soin de ne pas faire bouger le matelas.

En r�alit�, un peu ivre, je ne me rendais pas compte que je remuais le lit quand m�me! J'�tais en pleine mont�e d'excitation � l'id�e de me branler dans le lit de mon pote � son insu.

Soudain, j'ai sentis une main qui caressait ma cuisse: il s'�tait rendu compte que je me masturbais. Je m'arr�te brusquement et je l'entends chuchoter:" continue! Je bandes aussi!". J'ai pos� ma main sur la sienne pour la guider de ma cuisse vers ma queue. J'ai entour� sa main autour de mon sexe et il a commenc� ses va-et-viens. Maintenant que j'�tais en "pilotage automatique", j'aventurais ma main vers son sexe. Il avait d�j� baiss� son cale�on! Et sa queue �tait dure, tr�s droite (je suis un peu courbe), assez grosse et il n'avait qu'un duvet de petits poils sur la queue et les couilles! Le toucher doux de cette queue chaude m'excita terriblement!

Puis j'ai tent� le tout pour le tout: "Au point o� nous en sommes, je t'avoue, j'aimerais bien sucer...".

Il a allum� la lumi�re pour r�organiser nos positions: nous avons form�s une sorte de 69 face � face, tout les deux sur le cot�. Lui continuait � me branler d'une main et me massait les couilles de l'autre. Moi, j'attaquais ma premi�re fellation sur une queue qui ne d�bandait pas ! Je commen�ais par sucer son gland, qui avait un gout que je reconnaissais bien: le liquide "pr�-seminal" (que je go�tes toujours en me branlant c'est g�nial) !

Ma main droite carressant ses couilles pos�es sur sa cuisse droite, je plongeais ma main dans son entrejambe pour la placer � plat sur le haut de ses fesses. Je carressais cette paire de fesses douces en me d�cidant � en avaler un peu plus. Mes l�vres arrivaient � mi-hauteur de son sexe, son gland commen�ait � me titiller la glotte. Et nous nous sommes mis � rentrer dans un synchronisme extraordinaire: A chaque aller retour de ma bouche sur sa queue, il faisait un mouvement de bassin pour que je l'avale en entier et, lui me branlant, me d�posait un bisou sur le bout de mon gland. J'ai senti les premiers spasmes de son bas-ventre, il m'a dis "attends!" (certainement pour me prevenir) en voulant retirer ma bouche de sa queue. Excit� comme je l'�tais et ayant r�alis� mon r�ve de su�er, je me d�cidais � allez jusqu'au bout: je goutterais le sperme d'un autre! Surtout lui: un de mes meilleurs pote � l'�poque et qui m'avait avou� qu'il �tait puceau � plusieurs reprises (donc pas de risques).

Ma bouche autour de son gland, je lui fais le signe du "non" de l'index, et pointe mon index vers ma bouche en insistant. Je motive mes mouvements avec de petites claques rapides d'encouragement sur ses fesses (nous sommes face-�-face allong�s sur le cot�). Le premier jet de sperme dans ma bouche est puissant et les suivants se font moins forts mais plus longs. J'ai la bouche un peu anesth�si�e par le porto et l'odeur qui remonte dans mes narines me pla�t. Pas d'�coeurement: j'avale le tout, tout doucement, je sens la semence couler au fond de ma gorge. J'ai alors un retour de go�t sal�/iod� qui emplit mes narines et qui m'aurait bien fait avaler une deuxi�me s�rie de gicl�es! Un peu catho, il ne se branlait qu'une fois par semaine, ce qui explique tout ce sperme �jacul�.

Mon pote est an�anti: il est sur le ventre, la queue propre (je n'ai pas perdu une goutte!) en phase "demi-molle". Sa queue qui se d�gonfle le gland d�couvert est magnifique. Dans cet �tat, je lui propose de se retourner � plat ventre. Je me place au dessus de lui, et je balade ma queue le long de la fente de ses fesses (sans introduire). A partir du bas de son dos, j'�jacules jusqu'� ses omoplates en plusieurs jets puissants. Je l�che alors son dos pour que rien ne vienne couler sur les draps. Il me chuchote "comment tu fais pour avaler?". Je m'allonges alors sur le ventre � cot� de lui et lui dis, en retenant mon sperme dans ma bouche, "go�tes..." et nous nous roulons une pelle si longue que le sperme se dilue dans la salive et dispara�t dans nos bouches respectives.

Par la suite, nous avons d�velopp�s cette esp�ce de sexualit� "entre potes" sympa, sans prise de t�te. C'�tait plut�t des parties de plaisirs sans cons�quences sur nos vies respectives. L�-dessus, nous nous sommes bien rencontr�s!

Puis nous avons essay� la sodomie lorsque personne n'�tais chez lui: j'adorais le prendre, lui allong� sur le ventre, les jambes �cart�es. J'enduisais mon index et mon majeur de vaseline et j'introduisais un doigt puis deux entre ses fesses et, apr�s ce travail, j'introduisais ma queue dans son doux post�rieur en lui l�chant la nuque.

La position que je pr�f�rais pour me faire prendre les fesses �tait assez �labor�e: Il m'enduisait les fesses de vaseline et je me mettais debout face � une vielle armoire �quip�e d'un grand miroir. Je mettais mes mains au dessus de l'armoire, les jambes l�g�rement �cart�es, et le dos cambr�. Il introduisait alors sa queue entre mes fesses. Un miroir pos� au sol me permettait de voir dans le reflet du miroir de l'armoire sa queue et ses couilles presque imberbes s'activer entre mes fesses. Ses bises dans mon coup et ma nuque me faisaient �jaculer sur le miroir de l'armoire et lui se retirait et �jaculait aussi sur le miroir. Nous passions nos langues sur la surface du miroir pour rejoindre nos bouches pour une pelle enduite de nos spermes m�lang�s.

Cel� a dur� un an...avant que nous augmentions nos activit�s h�t�rosexuelles et changions de parcours universitaires...et aussi en raison d'un "incident"...

Mon pote avait une soeur de 2a son a�n�e. Elle �tait � moiti� foldingue, tr�s grosse, m'appelant "mon ch�ri", me mettant la main au paquet, lorsque je venait chez eux (ce qui faisit marrer tout le monde) et qui n'avait d� avoir qu'une seule relation sexuelle jusqu'alors. (pas pucelle, mais qui "recherchait" beaucoup).

Je me pointe un jour chez mon pote, et, comme d'hab, m'appelle "mon ch�ri". Personne n'�tait � la maison et elle me propose de rentrer pour attendre le retour de son fr�re. La voil� qui lance une cassette porno sur le magn�toscope, me passe la main entre les jambes en me disant "Alors! Rougis pas!". Je suis un peu g�n� et elle d�grafe son chemisier et me pr�sente deux seins �normes, ouvre ma braguette, se l�ve, soul�ve sa jupe, enl�ve sa culotte et se rallonge en long, les jambes �cart�es sur le canap�. Et me lance "Alors"? ...Et l�: je bandes: elle est grosse,pas tr�s belle, a de gros seins, des grosses cuisses...Mais sa chatte m'attire... Vu que le film tournait, nous �tions dans l'ambiance, et je me d�cide � y aller. Au moment o� je me d�shabilles, elle me dis "personne ne viendra cet apr�s-midi: les parents sont en famille et X(mon pote) est parti donner un coup de main � notre fr�re pour son d�m�nagement".

Nous baisons ainsi dans cette position (moi sur elle) pendant bien 20mn. Elle �tait en sueur et �a d�goulinait entre ses seins. je l�chais cette sueur entre, et sous les seins. Elle agrippait ses mains sur mes fesses comme pour que je la p�n�tre plus loin encore. Je lui roulais des pelles o� j'avais bien l'impression qu'elle allait m'�touffer avec sa langue tellement elle l'enfon�ais loin dans ma bouche. Nous baisions en jetant un coup d'oeil de temps en tempss au film (une fille qui l�che une autre fille apr�s que la deuxi�me ai piss�...).

Elle avait ce que l'on appelle une "motte grasse"...�a rentrait comme dans du beurre. Et elle me susurrait des "vas-y", "encore" d'une telle voix suave que j'ai �jacul� sur son ventre. Elle, l'air de rien, a go�t� le sperme en passant un doigt sur son ventre en disant "pas mauvais" puis essuya son ventre avec sa culotte. Elle remit sa culotte (!!!) et se rhabill�t, me proposa un caf� devant le film porno qui tournait toujours...Il se disait dans le quartier qu'elle se faisait le chien de la famille tellement elle �tait chaude et que personne n'en voulait!!!

Je suis parti et j'ai su, par la suite, qu'une engueulade entre mon pote et sa soeur, avait fait dire � cette derni�re que je l'avais saut�e... Fr�lant l'incident diplomatique, nos changements d'orientations d'�tudes tombaient pile !

Le temps est pass� et j'ai �t� convi� au mariage (h�t�ro) de mon pote quelques ann�es apr�s. Lors de ce mariage, nous nous sommes retrouv�s � 7H du matin seuls dans la cuisine � tout ranger...Nos regards ce sont dis "tu te rappelles?". ET, pour enterrer ce pass�, nous nous sommes branl�s mutuellement et rapidement suc�s...pour �jaculer dans une tasse dans laquelle nous avons vers� un m�lange de caf�-porto-goutte en trinquant � la future vie de chacun !

PS: je recherche toujours des photos d'hommes m�rs & bedonnants (� poil bien s�r!)...mais aussi de femmes mures amatrices...vous en avez ? alors �crivez-moi.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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