Cyrillo

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Au fournil

Depuis que je travaillais dans cette boulangerie j'avais l'impression qu'il y avait un truc dans mon dos entre le patron et Nicolas, mon coll�gue. C'est surtout parce que le patron se d�brouillait pour que je fasse jamais �quipe seul avec Nicolas, alors que lui oui, et quand je venais prendre mon service apr�s Nicolas, j'avais l'impression que le boss devenait soudain plus froid, alors qu'il y avait une esp�ce de complicit� avec Nicolas, comme s'il lui faisait plus confiance � lui qu'� moi.

C'est pour �a qu'un jour, je me suis d�merd� pour arriver un peu plus t�t et, par le carreau de la porte du fournil, j'ai vu le boss et Nicolas qui travaillaient en rigolant ; ils �taient tous les deux torse nu, Nicolas avait une trace de main farin�e sur l'�paule et le patron avait de la farine jusque dans les cheveux et dans les poils du torse. Je me suis recul� sans me faire voir et j'ai attendu mon heure de boulot, bien convaincu qu'il se passait effectivement un truc : le patron ne rigolait jamais et il ne se mettait jamais torse nu, quand il travaillait avec moi.

Quand c'�tait l'heure de mon service, je suis arriv� en tenue de boulanger, Nicolas s'�tait bien entendu remis en tenue de ville, puisqu'il avait fini son service, et j'ai remarqu� que le patron n'�tait plus torse nu, mais avait remis son marcel habituel : d�cid�ment, ils partageaient quelque chose dont j'�tais exclu, il fallait que j'en aie le coeur net.

Au bout d'une demi-heure de boulot, le patron est all� pisser et j'en ai profit� pour me mettre torse nu, histoire de voir. En rentrant, le patron a marqu� un arr�t mais n'a rien dit, il m'a regard�, a sembl� d�tailler mes bras, les muscles de mes �paules, mes pectoraux et mon ventre.

Je lui ai demand� : " Ca vous d�range pas, patron, que je me sois mis torse nu ? " Il a r�pondu en grognant : " On peut pas dire que c'est hygi�nique, mais il fait chaud dans un fournil. " J'avais l'impression qu'il rougissait et j'ai vu de la sueur perler sur son front, mais je ne savais pas si c'�tait la g�ne ou la chaleur. En fait, je ne sais pas si son marcel �tait super hygi�nique non plus, vu qu'il �tait super �chancr� et qu'il laissait d�border tous les poils du haut de son torse, mais c'est vrai qu'il n'�tait pas torse nu. Moi, j'ai continu� mon boulot torse nu en sentant sur moi le regard du patron et quand j'�tais sur le point de partir, il m'a dit : " on a une grosse commande pour demain ; on ne sera pas trop de trois, j'ai besoin que tu viennes une heure plus t�t pour nous aider avec Nicolas. "
Je lui ai dit que c'�tait bon et il m'a donn� une tape sur l'�paule quand je suis parti.

Le lendemain, quand je suis arriv� dans le fournil, Nicolas et le patron �taient torse nu comme la veille et ils rigolaient, mais se sont tus quand je suis entr�. J'ai pas fait de commentaire, j'ai dit bonjour et pris mon poste � c�t� de Nicolas : il �tait assez baraqu�, Nicolas, on n'aurait pas dit quand on le voyait habill�, mais torse nu il exhibait une carrure avantageuse, des �paules aux muscles ronds, une poitrine charnue avec quelques poils au creux des pectoraux et une ligne qui descendait le long de l'abdomen, qu'il avait plut�t plat et muscl�. Au bout de dix minutes de travail en silence, le patron s'est plant� devant moi : il m'impressionnait un peu avec son physique de colosse, ses �paules carr�es, son torse puissant enti�rement couvert de poils noirs et drus. Il m'a fait : " dis voir, si tu viens bosser avec nous, faudrait peut-�tre te mettre en tenue... surtout que je sais que �a te d�range pas : allez, torse nu ! "

J'�tais assez intimid� et presque choqu� qu'il m'ordonne de me mettre torse nu, mais je voulais partager la m�me chose qu'eux.
Alors je me suis ex�cut�.

j'ai enlev� lentement mon t-shirt en commen�ant par d�couvrir un c�t� de la poitrine, un bras, une �paule, puis l'autre c�t� de la poitrine, l'autre bras, l'autre �paule, et enfin j'ai d�gag� la t�te de l'encolure ; pendant tout ce temps, je sentais le regard approbateur du patron et une fois que j'�tais compl�tement torse nu devant lui, il m'a fait un sourire, m'a donn� une tape sur l'�paule et m'a fait : " c'est mieux comme �a " en se touchant ostensiblement la queue avec la main. J'�tais un peu intimid�, j'avais un peu la chair de poule, alors qu'il faisait une chaleur � crever dans le fournil, mais je ne savais pas trop ce qui m'attendait. Nicolas, lui, avait � peine d�tourn� le regard. Il a continu� � bosser, j'�tais derri�re lui avec le patron, qui le regardait et m'a dit : " Tu vois, Nicolas, il se met toujours torse nu quand il bosse avec moi.

Regarde-moi comme il travaille bien, tu vois chaque muscle de son dos qui est au travail ? a-t-il dit en posant la main dans le dos de Nicolas, o� il a d�pos� une belle trace de farine. Tourne-toi, Nicolas, pour montrer � Karim les muscles de devant qui travaillent. " Nicolas s'est retourn� en gardant � la main la boule de p�te qu'il �tait en train de fa�onner et le patron m'a fait signe d'admirer ; il faut dire que �a travaillait dur, les muscles de Nicolas : chaque centim�tre de ses bras, de ses �paules et de son torse s'agitait, des centaines de muscles jouaient sous la peau, dont la lumi�re du fournil, les poils qui la parsemaient et la farine dont elle �tait finement saupoudr�e soulignaient le velout� et le soyeux.

Le patron n'en pouvait visiblement plus et a fait mine de me faire admirer comment fonctionnait la m�canique, pour passer la main sur les bras et le torse de Nicolas, qui restait impassible. Le patron portait un pantalon de jogging et visiblement sa queue appr�ciait le contact de sa main avec le torse vigoureux de son employ�. Moi, j'�tais un peu mal � l'aise, alors j'ai fait mine de me remettre au travail, mais le patron m'a saisi par l'�paule pour me rattraper : " Non, Karim, reviens, je suis en train de te montrer comment travailler comme il faut, comme Nicolas. Puisque tu es torse nu, tu vas nous montrer comment tu t'y prends. Vas-y prends de la p�te, mets-toi � c�t� de Nicolas et p�tris-la comme lui. "

J'ai ob�i, le regard du patron passait du torse de Nicolas au mien et j'attendais avec appr�hension le moment o� il allait me poser la main le torse, � moi aussi. J'ai remarqu� une trace de farine sur le short de Nicolas : il avait d� se remettre la bitte en place et de fait, il me semblait bien qu'il bandait lui aussi. " Tiens-toi plus droit, m'a fait le patron, rejette les �paules en arri�re, rentre le ventre et bombe le torse : regarde comment il fait, Nicolas. " Il s'est remis � souligner son propos d'une main qui parcourait l'abdomen, la poitrine et les �paules de Nicolas, dont le torse �tait maintenant largement couvert de farine. Puis, il s'est pass� une main dans les cheveux, car il commen�ait � beaucoup transpirer, avant de se la passer dans les poils du torse, tandis que de l'autre il s'est mis � se malaxer ostensiblement la queue, qui �tait maintenant bien tendue sous son jogging.

Je me sentais hyper mal � l'aise et j'h�sitais carr�ment � me barrer, mais d'�tre torse nu avec eux deux, de voir le patron compl�tement parti, le torse tremp� de sueur, les poils coll�s par la transpiration, de sentir les gouttes commencer � couler de mes propres aisselles et au creux de mon propre ventre, je commen�ais presque � �tre excit� et curieux de voir comment �a allait tourner. C'est alors que j'ai vu le patron allonger le bras dans ma direction, mon coeur s'est mis � battre � 100 � l'heure et il a pos� sa main doucement sur mon torse : elle �tait tellement grande qu'elle me couvrait tout un c�t� des pectoraux. " T'arr�te pas, Karim, continue � p�trir ", m'a-t-il fait en me soutenant le galbe du muscle avec la paume de la main, en m'effleurant du bout des doigts les poils du torse et en me caressant le t�ton avec le petit doigt. J'avais envie de lui dire de s'arr�ter, d'enlever sa main, d'aller se faire foutre, mais j'�tais t�tanis�, sa main �tait chaude et douce, et ses caresses me foutaient une gaule d'enfer.

Sans s'arr�ter de me caresser le torse, il a retir� son autre main de sa propre poitrine, s'est mis de c�t� et me l'a pass�e dans le dos : elle �tait tremp�e de sueur, qu'il m'�talait dans le bas du dos, avant de descendre sur mon cul. Il �tait � pr�sent contre moi, je sentais son torse velu qui appuyait contre mon �paule, son souffle chaud et puissant sur mon cou, son odeur de m�le en rut se m�langeait � celle de ma transpiration et aux parfums du fournil, et m'emplissait les narines. J'�tais quasiment d�go�t� de ce qui �tait en train de se passer et, en m�me temps, de sentir la chaleur des mains du patron sur ma peau et la fermet� de ses muscles qui se contractaient contre moi, j'avais envie de conna�tre la suite.

Nicolas avait fini par cesser de p�trir, il regardait la sc�ne le sourire en coin, en se caressant le torse d'une main et la bite de l'autre. Il avait carr�ment pass� la main sous la ceinture du short et se branlait � pleine main. Pendant ce temps, la main droite du patron �tait pass�e sous la ceinture de mon short et me caressait les fesses, tandis que son bras gauche continuait � me parcourir avidement le torse : il avait des biceps �normes et des avant-bras super charnus, ligneux, avec une tonne de muscles qui surgissaient sous la peau, le tout couvert de poils bruns super drus qui prenaient des reflets rouges � la lumi�re du fournil. Ce mec aurait pu me retourner, me coller par terre d'un coup de patte, mais l�, il me caressait avec une douceur tellement incroyable que j'en �tais compl�tement troubl�.

Puis, tout s'est soudain acc�l�r� : il m'a saisi sous les bras, m'a soulev� d'un coup pour me poser sur le bord du plan de travail, a baiss� la ceinture de mon short pour lib�rer ma queue.
Pendant ce temps, Nicolas avait vir� son propre short et exhibait un dard au garde-�-vous, une grosse queue tr�s sombre pour lui qui avait la peau si p�le, parcourue de grosses veines bien gonfl�es, le pr�puce retrouss� sur un gland � la peau tendue � l'extr�me, �carlate et luisante, qui commen�ait � s�rieusement d�gouliner.

Le patron a fait " mets-toi � ta place, Nicolas ", s'est pench� pour prendre ma queue en bouche et Nicolas, qui s'�tait d�j� post� derri�re lui, a enfil� une capote et s'est aussit�t mis � enfourner son pieu dans le derri�re du patron. Je n'en croyais pas mes yeux : le patron, ce mec autoritaire et froid qui m'avait toujours impressionn�, �tait courb� en deux, en train de se faire fourrer par les deux bouts par ses deux jeunes employ�s.
J'avais sous les yeux ma queue qui disparaissait dans bouche charnue du patron, son dos muscl� et tremp� de sueur, puis le torse nu de Nicolas qui enculait le patron par saccades, les muscles contract�s, un bras agripp� � la taille du boss, l'autre qui flattait ses propres t�tons.
Ca avait �t� impressionnant de le voir p�trir la p�te, mais l� c'�tait ahurissant de le voir malaxer � pleines mains et labourer � pleine queue le cul du patron : tout son torse �tait contract�, chaque muscle en action, muscles des bras band�s tandis qu'il empoignait l'arri�re-train du boss, pectoraux et abdos qui saillaient et tressautaient sous la peau ruisselante de sueur � chaque �-coup du bassin pour fourrer plus profond encore le fion du chef.

J'ai ferm� les yeux un instant � cause du plaisir intense que me procurait la pipe du patron, j'oubliais tout. Comme � chaque fois que je me fais sucer, un r�flexe m'a fait tendre la main vers la poitrine de celui qui me pompait et j'ai sursaut� de surprise en sentant sous mes doigts le contact humide, chaud et doux des poils du torse du patron, mais c'�tait excitant, alors j'ai laiss� la main, encourag� par ses g�missements, et l'ai balad�e dans sa toison. J'avais jamais pelot� le torse d'un mec et l�, j'�tais servi parce qu'il y en avait du poil, il y en avait du muscle. Sous le galbe du muscle, au milieu des poils, je sentais ses t�tons hyper durs et, comme il s'est mis � g�mir de plus belle, j'ai commenc� � les titiller, � les pincer, � les caresser. De savoir qu'avec mes mains et ma queue je rendais dingue le patron, j'�tais encore plus excit�.

Je ne m'�tais jamais demand� ce que �a faisait de se caresser les t�tons, pensant que c'�tait un truc pour les meufs, mais �a m'a soudain donn� l'id�e d'essayer sur moi : je continuais � plonger une main dans la fourrure du patron et de l'autre je me suis mis � caresser mon propre torse. Moi qui avais toujours cru que j'�tais plut�t un mec velu, je me rendais bien compte que j'avais un torse de nouveau n� � comparer de la toison de gorille du boss ! N'emp�che que c'�tait excitant de faire la m�me chose en m�me temps sur le torse du patron et sur le mien, et je me suis mis � ressentir sur mes propres seins les sensations que mon autre main lui donnait � lui.

" Changez de place, les mecs ", rugit le chef. M�me en train de se faire mettre par les deux extr�mit�s, il continuait � commander ! Nicolas et moi avons ob�i, et au moment d'�changer on s'est un peu tois�s en rigolant : chacun bombait le torse, genre " c'est qui le plus costaud ? " et je dois bien avouer que c'est Nicolas qui gagnait. Je suis bien muscl�, mais j'ai le muscle sec et fin, alors que Nicolas a un torse � la carrure athl�tique et des muscles vraiment puissants. Au moment o� il m'a fil� une capote, en revanche, on a compar� nos queues et l�, je dois dire que c'est moi qui gagnais : la sienne �tait bien grosse et charnue, mais la mienne - �a surprend toujours quand je me fous � poil, surtout si c'est pour baiser et que je bande - c'est un vrai gourdin et ce qui impressionne, surtout vu que je suis circoncis, c'est la taille du gland qui d�borde pratiquement d'un centim�tre de la taille de la circonf�rence du pieu. En plus, la bite de Nicolas �tait droite, alors qu!
e la mienne est galb�e et je sais que �a rend les filles que je ramone totalement dingues.

Bref, Nicolas s'est juch� sur la plan de travail, le patron l'a bien admir�, lui a encore caress� le torse, puis lui a gob� la queue et moi, je me suis mis en position derri�re, j'ai attrap� le bassin du chef d'une main, j'ai positionn� ma trique devant son fion de l'autre, puis je l'ai chop� en passant le bras en travers de son torse pour lui poser la main sur la poitrine. J'�tais donc pench� sur lui au moment de commencer � pousser mon pieu en lui et je dois dire que de sentir sa peau chaude et ruisselante contre la mienne, d'embrasser sa carrure imposante en entrant en lui, c'�tait compl�tement diff�rent des fois o� j'ai pris une meuf par derri�re. Nicolas �tait entr� d'un coup, mais moi, j'ai eu envie de la lui faire d�sirer, ma queue, au patron. Alors j'y suis all� doucement, centim�tre par centim�tre, et il geignait sur un ton de plus en plus implorant.

Quand j'�tais � fond et que je me suis mis � marteler, il a commenc� � g�mir de plaisir et Nicolas lui faisait �cho : il faut dire que le boss �tait un sacr� pompeur, j'en savais quelque chose. J'ai redress� le buste pour bien faire profiter le boss de toute la longueur de ma queue et quel spectacle !
Mon bassin qui butait et rebondissait contre les fesses muscl�es du boss, les poils de sa raie du cul fris�s et tremp�s par la sueur et les glaires - c'est qu'il mouillait en plus - son dos de colosse, o� courait encore une rang�e de poils au bas des reins et entre les �paules, agit� par les secousses qu'il donnait pour pomper et, au bout, le torse muscl� de Nicolas qui, d'une main, encourageait le patron en lui tenant la t�te et, de l'autre, se caressait les pectoraux et les t�tons en g�missant.

Alors, tout en continuant � bourrer le patron, je me suis mis me caresser le torse moi aussi, parce que �a me faisait je sais pas quoi depuis le d�but d'�tre en miroir avec Nicolas : c'�tait le patron que je baisais, mais toujours avec lui en face de moi, de l'autre c�t�, qui bourrait quand je me faisais sucer, se faisait sucer quand je bourrais, et j'avais l'impression de ressentir ce qu'il ressentait, comme si j'�tais en train de prendre le boss des deux c�t�s � la fois, d'�tre � la place de Nicolas, quoi ; et en m�me temps, j'avais aussi l'impression de baiser Nicolas en m�me temps que je baisais le patron et aussi de me faire prendre par lui. J'avais jamais rien connu d'aussi excitant : fourrer le patron, �tre Nicolas, baiser Nicolas, me faire prendre par lui, tout �a en m�me temps, c'�tait incroyable.

Alors que je continuais mes va-et-vient dans le cul du patron et � me caresser les pectoraux et les t�tons, j'ai fini par passer l'autre main sous son ventre pour lui saisir la queue, qu'il branlait vigoureusement depuis un moment. Elle �tait grosse, bien rigide et bien lisse.
Comme j'�tais dans mon d�lire, j'ai eu un instant l'id�e de me mettre � la sucer pour voir ce que �a faisait, mais je voulais surtout pas quitter ce cul, alors je me suis contenter de le branler � mon tour et l�, c'est all� tr�s vite...

Le patron a acc�l�r� ses mouvement de t�te, les g�missements de Nicolas se sont transform�s en r�le, sa main agrippait les cheveux du boss, puis a tout l�ch� pour rejoindre l'autre sur son torse, o� il se caressait tout : muscles, t�tons, aisselles ; moi, j'ai continu� � astiquer la bitte du chef mais je me suis aussi mis � me caresser tout le torse : d�j� que je n'avais jamais pens� � m'exciter les t�tons, voil� que je d�couvrais combien c'�tait jouissif de me caresser sous les bras.

Le r�le de Nicolas enflait, comme le braquemart du boss dans ma main, je sentais l'afflux de sang dans sa tige, comme celui du sperme dans la mienne ; Nicolas a fini par se cabrer et tout l�cher avec un hurlement dans la bouche du boss ; au m�me instant, j'ai senti dans ma main les secousses et le flot de foutre chaud du patron, dont le cri �tait �touff� par la queue d�goulinante de Nicolas qu'il avait encore en bouche, et enfin j'ai senti tout mon corps se secouer quand ma bitte a pratiquement explos� et que, dans un dernier mouvement du bassin, j'ai vid� tout mon bon jus de couille dans le fion du boss.

Gill


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