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formation -9
Au matin, Monsieur Aim� vient m'apporter mon petit d�jeuner. Assis au bord du lit, je le suce avec d�termination. Une fois tout aval�, je le remercie doucement, il et me caresse l�g�re la joue, dos � la cam�ra.
Je passe la journ�e seul avec Youssouf.
Toujours � voix basse je lui demande s'il aime Monsieur Jean.
Sur le m�me ton il me r�pond qu'il lui est tr�s attach�. Il m'explique qu'il a fait connaissance, au Maroc, de Monsieur Jean qui lui a fait des promesses et l'a ramen� en France.
Monsieur Jean est puissant m'explique-t-il, fortun� et il a beaucoup de relations.
Tr�s vite Monsieur Jean l'a domin�, �duqu� et lui, seul, loin de son pays s'est soumis.
Comme moi, il se dit que pour le moment il est bien soign� et tant que cela dure, mais qu'il sait qu'un jour il sera vendu.
" Vendu ? " " Un jour ? " lui dis-je.
Oui me r�pond-il, ici de toutes les lopes, soumis, ou souffres douleurs, etc..., personne n'a plus de 30 ans, sauf Monsieur Aim� qui en a 40 mais ne les fait pas.
Et ajoute que, d'ailleurs je crains que ce ne soit ce qui est arriv� au petit Paul.
Monsieur Jean l'a emmen� et nous verrons bien s'il revient avec lui.
Je demande � Youssouf s'il conna�t Paul et il me dit qu'il a parfois particip� � son dressage. Ses rondeurs excitaient Monsieur Jean et ses pleurs et ses supplications ne faisaient que le rendre plus dur. Aujourd'hui Paul est bris� mentalement et pr�t � tout accepter. C'est pourquoi, il int�resse moins Monsieur Jean, et que Youssouf pense que ce dernier va s'en d�barrasser.
Je lui demande s'il pense que moi aussi je serai vendu un jour et Youssouf me r�pond : " sans aucun doute ! ".
Il ajoute ensuite : " ne lui en dite rien, il serait fou furieux ! ".
" Rassure toi Youssouf, jamais je n'oserai poser une question � Monsieur Jean ! ".
La journ�e s'est pass�e tr�s calmement.
A 20 heures Monsieur Aim� est venu m'enlever mon plug et � 22 heures Youssouf, m'a couch� et � regagner sa couche dans l'antichambre.
Je dors profond�ment. Dans la nuit, je me r�veille subitement. Quelqu'un se glisse dans mon lit. Je suis pr�t � en sortir quand une voix me chuchote : " c'est moi Aim� ! ". Je sens son corps chaud et doux se frotter � moi. Il me passe un bras autour du cou et de l'autre main il me caresse doucement. Sa bouche chaude et humide s'approche de la mienne que j'entrouvre. Sa langue douce et soyeuse envahit ma bouche.
Sa queue band�e se presse contre ma cuisse.
Un long, tr�s baiser langoureux, s'ensuit.
Il me l�che le lobe de l'oreille, tout en caressant mon cr�ne nu.
" Je t'aime, Marc, depuis le premier instant o� je t'ai vu ! ". Je lui r�ponds : " Moi aussi je t'aime Aim�, mon Aim� ", et je sanglote tant notre situation est d�sesp�r�e.
" Je te promets, que je te sortirai de l� un jour ou l'autre et, nous ferons notre vie ensemble ! ".
Monsieur Aim� me l�che mes larmes et me serre dans ses bras. Je lui caresse un t�ton et lui mordille l'autre. Ma langue descend, jusqu'au son nombril et ma bouche enfin, gobe son gland et je t�te goul�ment.
Monsieur Aim�, me fait passer au dessus de lui la t�te entre mes jambes et tandis que je continue � le sucer tout en caressant les grosses couilles, de ses deux mains puissantes, il �carte mes fesses et me caresse doucement mon anus, puis le l�che, le suce et y introduit sa langue le plus loin qu'il peut. Au bout d'un long moment, Monsieur Aim�, se d�gage et vient s'allonger � c�t� de moi. Il me bascule sur le c�t�, me soul�ve l� jambe et je sens ;sa queue qui entre en moi. " Surtout pas un cris, sinon, Monsieur Jean nous tue ! ", me dit-t-il � l'oreille.
Apr�s un long moment � aller et venir dans mon cul, je sens qu'il me largue sa pur�e.
Monsieur Aim�, ne se retire pas et je m'endors avec sa queue en moi.
Nous avons fait l'amour plusieurs fois dans la nuit et ainsi toutes les nuits de la semaine.
Le matin Monsieur Aim� venait me poser mon plug qui me retirerait le soir.
Chaque matin Monsieur Aim� vient se faire sucer et simule l'�jaculation.
Chaque matin Youssouf apr�s m'avoir �t� ma cage de chastet� me baignait et me la reposait. ;Ensuite, il m'appliquait un lavement.
Chaque soir il me faisait un autre lavement puis me douchait.
J'�tais tout au bonheur de l'amour de Monsieur Aim� et la semaine s'est �coul�e paisiblement.
La nuit de dimanche � lundi Monsieur Aim�, n'est pas venu me voir.
Le lundi matin, Monsieur Jean, de retour, l'air joyeux entre dans ma chambre.
" Bonjour mon petit Marc, je suis heureux de te retrouver, je t'apporte ton petit d�jeuner ! ".
Une chape de plomb me tombe dessus.
Je m'assieds sur le bord du lit et ouvre grand la bouche sans conviction.
Il enfourne sa queue d�j� band�e et me demande de le sucer goulument. Je m'applique pourtant. Monsieur Jean me prend par les oreilles et me lime la bouche violemment. J'ai des hauts de coeur, mais il n'arr�te pas. Ma bouche est inond�e par sa mouille abondante.
Il hurle : " Youssouf en position !!! "
Youssouf se met � quatre pattes � c�t� de moi, sur mon lit.
Il se retire de ma bouche et encule Youssouf d'un coup, qui ne bronche pas.
Monsieur Jean me dit : " toi aussi en position ! ". Je me mets � c�t� de Youssouf, dans la m�me position.
Monsieur Jean se retire brusquement du cul de Youssouf et plonge dans le mien. Une plainte s'�chappe de ma bouche, malgr� moi.
Monsieur Jean commence ses va et vient avec ardeur, il me baise hard.
" Youssouf, roule des pelles � Marc ! ".
Youssouf s'ex�cute et pour la premi�re fois ses l�vres sensuelles entre en contacte avec les miennes.
" Mieux que ca Youssouf !!!!!!! " Hurle Monsieur Jean.
Sa langue parfum�e p�n�tre ma bouche. Je lui rends ses baisers avec plaisir. C'est si bon que j'en oublie la pine de Monsieur Jean.
Ce dernier commence � rugir et � me remplir le cul de son jus.
" C'est trop bon, quel cul, mais quel cul !!! " dit Monsieur Jean tout en continuant ses va et vient.
Puis il s'arr�te tout en laissant sa queue dans mon fondement.
" Je vais la laisser d�gonfler dedans ! " dit-il.
Puis il se retire doucement ;et remet aussi sec mon plug en place.
" Ainsi ton petit d�jeuner d�j� dig�r�, restera en place jusqu'� ce soir ! " dit Monsieur Jean.
En partant il me dit : " je vais aller voir les vid�os. J'esp�re que tu as �t� bien sage en mon absence, mon petit Marc, sinon, tu vas morfler ! ".
Rolex59
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