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formation -7
Je me rends dans la salle de bain et, cass�, je me laisse faire. Peu de temps apr�s Youssouf me donne mon comprim�. Je somnole quand Youssouf me touche l'�paule. " Il est 18 heures Monsieur, nous avons juste le temps de vous pr�parer ! ". Me pr�parer mais � quoi ?
Youssouf me fait couler un bain et vient me d�shabiller. Je m'y plonge et il y verse des parfums. La vue de cette queue en permanence, m'excite, mais d�s je commence � bander ma queue me fait tellement mal que ca ne va pas plus loin.
Je vois que pour Youssouf c'est la m�me chose. D�s que sa queue monte la chainette se tend et tire inexorablement sur son gland, pourtant Monsieur Aim� pensait qu'il ne bandait plus.
Je sors de mon bain, Youssouf me s�che puis il me dit qu'il doit �galement me raser la raie du cul. Je me penche en avant en prenant appui sur le rebord de la baignoire et laisse faire Youssouf.
J'en suis arriv� � un point o� je ne me rebelle plus, tout m'est �gal en attendant la fin de mon stage.
Puis Youssouf me rase le visage.
J'ai envie de pisser et Youssouf me rappelle qu'il vaut mieux m'asseoir. Qu'elle sensation �trange. Je ne peux m�me plus faire couler la derni�re goutte, secouer ma queue, c'est comme si j'en �tais d�poss�d�.
Youssouf me demande d'enfiler un slip bizarre, ferm� devant et laissant appara�tre les fesses appara�tre. Il me dit que cela s'appelle un jockstrap.
Il me fait remarquer qu'il est, maintenant, 19 heures et qu'ils vont bient�t arriver. Qui va donc arriver ?
En effet la porte s'ouvre sur Monsieur Aim�, suivi du Docteur, et d'un autre type basan�, cr�ne ras� �galement, grosse moustache, dans la m�me tenue que Youssouf.
Monsieur Aim� me dit : " Marc je te pr�sente Mustafa, il est turc et il est actuellement au service de Monsieur Jean ! Tu connais le Docteur Alexandre ! ".
Je remarque que le sexe de Mustafa est plus �pais que celui de Youssouf, mais moins long.
Le Docteur me demande de m'allonger. Il prend ma tension, ausculte mon coeur et dit : " tout va bien, nous pouvons poursuivre ! ".
Nous nous dirigeons vers la salle de musculation.
Arriv� dans le fond de la pi�ce, Monsieur Aim� sort une t�l�commande de sa poche et actionne un bouton.
Le panneau coulisse et nous donne acc�s � une vaste pi�ce aux lumi�res tamis�es, dont le mur de droite n'est qu'un vaste miroir.
Sur le mur oppos�, des �tag�res pr�sentes une quantit� de godes de toutes tailles et grosseurs, d'autres instruments, des objets en cuir et en m�tal, ainsi que des cha�nes et des fouets. Une v�ritable chambre de torture.
Le m�decin qui lit mon d�sarroi, pose une main sur mon �paule et me dit : " Rassure-toi, ceci est une chambre des plaisirs ! ".
Au centre il y a une esp�re de gros pouf en cuir noir �quip�, en son centre d'un gros coussin. Dans un coin derri�re � gauche pend un morceau de cuir attach� au plafond par des cha�nes.
Monsieur Aim�, m'am�ne au bord du pouf et me demande de m'y asseoir � genoux, ce que je fais.
Il me demande de baisser la t�te et d'�carter les bras. Youssouf et Mustafa m'attachent les poignets � des sangles. Puis passent derri�re moi, m'�cartent les jambes et font la m�me chose pour mes chevilles. Je ne sais plus bouger.
" Laisse-toi aller Marc ! D�tends-toi un maximum, nous sommes � tes c�t�s, tout ira bien ! ".
;Un petit moteur se met en route et mon derri�re se rel�ve mettant mes fesses plus haut que ma t�te.
Le Docteur dit : " donnez lui du poppers ! ".
Youssouf me met sous le nez un petit flacon � l'odeur tr�s forte que je suis oblig� de respirer. Je re�ois comme un, coup dans la t�te, une grosse bouff�e de chaleur, j'ai l'impression d'avoir le visage �carlate et j'ai subitement envie de sexe.
Une main me met quelque chose de gras sur la raie, des doigts p�n�trent mon anus. C'est trop bon.
Une autre aspiration du flacon et j'ai envie d'�tre une salope.
" Il est pr�t ! " dit le Docteur.
Le panneau du fond coulisse et Monsieur Jean entre, torse nu, sa poitrine muscl�e et poilue bien en �vidence. Il porte un pantalon de cuir ouvert sur le devant. Sa tr�s grosse queue est pr�-band�e et d�j� d�calott�e.
" Youssouf, Mustafa ! ". Les deux s'agenouillent devant Monsieur Jean et commencent � le sucer alternativement.
S'adressant au Docteur Alexandre : " il est pr�t ? ".
Le Docteur r�pond : " oui Monsieur, mais ne pensez vous pas qu'il faudrait l'ouvrir un peu avant de.... ? ".
" Non, certainement pas ! Je le veux vierge, je veux �tre le premier ! ".
Je vois dans le miroir que Monsieur Aim� enduit copieusement la queue de Monsieur Jean, d'un produit blanc, puis pr�sente le gland devant mon trou.
Le Docteur me fait respirer une nouvelle fois le flacon et Monsieur Aim� me caresse la t�te.
Je sens, le gland de Monsieur Jean frotter mon anneau. Il me tient par les hanches et appui � pr�sent et je sens mes l�vres anales s'�carter. Mon anus s'ouvre progressivement.
Je prends peur, je panique. Nouvelle inspiration du flacon. Je transpire, j'ai envie de hurler mais le Docteur me met quelque chose dans la bouche.
" D�tend toi et pousse ! " me dit Monsieur Aim�.
Je me concentre. Je sens la progression et tout � coup une douleur fulgurante comme si on m'arrachait mes chairs, me ferait hurler si je n'�tais pas b�illonn�.
" Le gland est pass� ! " commente Monsieur Jean.
Le M�decin demande s'il ne faudrait pas remettre de la graisse. Monsieur dit qu'il ne le veut pas.
Apr�s une pause, la progression reprend.
Je suis au bord de l'�vanouissement.
" Une pause Monsieur, s'il vous plait ! " demande le M�decin.
" Pas question ! " r�pond Monsieur Jean.
J'ai l'impression que le temps s'est arr�t�. Puis plus rien, ne se passe, j'ai le cul dilat�, d'ailleurs ai-je encore un cul ? Puis cet objet qui envahit mon boyau, se retire et replonge de nouveau, doucement et monte en moi, une sensation de volupt�. Les allers et retours continuent, mais sans brutalit� et tout � coup je me dis que j'aime �a.
Arrive enfin le rugissement caract�ristique de Monsieur Jean. Il se vide en moi. Ne bouge plus un moment puis dit : " Messieurs ca va �tre � vous ! Youssouf et Mustafa, en position ! ".
Rolex59
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