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formation -15
" Vous y allez un peu fort David. La petite pute de Marc est pour le moment mes orifices pr�f�r�s ! Je dis bien pour le moment ! Ah ah ah !!!! ;Allez � genoux ! ", dit-il en me pr�sentant sa pine d�j� band�e que je gobe.
Apr�s avoir suc� et nettoy� la queue de Ma�tre Jean, Monsieur David me pr�sente la sienne pour �tre nettoy�e.
Puis on me fait allonger par terre et Ma�tre Jean me couvre le visage de son si�ge perc� et s'assied dessus. J'ai son anus � port�e de langue et je la lui enfonce le plus loin possible, aspirant la rosette, la l�chant.
Ma�tre Jean se rel�ve et Monsieur David prend sa place. Son anus n'est pas tr�s net et j'ai un moment d'h�sitation.
" Alors salope ! Qu'est ce que tu attends ? ", hurle-t-il.
Je m'ex�cute donc en fermant les yeux. Un go�t aigre m'envahit la bouche, le salop n'a pas d� se laver ce matin. Je l�che cet anus boursoufl� en essayant d'y mettre le plus de conviction possible.
Au bout d'un moment Monsieur David se rel�ve. Monsieur Jean me fait signe d'en faire autant et me demande de me mettre � genoux. Il me pr�sente sa queue d�j� band�e et je la prends en bouche.
" Tu vois David ma petite pute, non seulement elle suce bien mais avec elle, nous n'avons pas besoin de courir aux toilettes ! ". Disant cela il m'inonde la bouche de sa pisse tandis qu'il soupire d'aise.
Bien �videmment je ne peux que boire. Quand il a termin�, Ma�tre Jean se retire de ma bouche et dit : " A toi David ! ". Il me tend sa queue au gland rouge vif et la plonge dans ma bouche. Je suce avec application. Ma�tre Jean dit alors : " surtout David soulage toi avant d'aller au lit, tu n'auras plus � le faire ensuite ! ". Monsieur David ne ce fait pas prier. Je me r�volte dans ma t�te, mais ne dis rien de peur de me faire battre. Un jet puissant me frappe la glotte. Une forte odeur ;d'urine rance me monte aux narines. Le go�t de cette urine est �coeurant, mais je bois le tout. Quand il a fini de pisser, il ne se retire pas de ma bouche : " allez t�te et suce jusque la derni�re goutte salope ! ", me dit-il. Le Ma�tre dit : " allez passons aux choses s�rieuses, au lit maintenant ! ".
Sur le lit, Ma�tre Jean dit � Monsieur David qui bande d�j� comme un �ne : " ;� toi l'honneur David, puisque tu bandes dur ! ". David sans m�nagement me retourne sur le dos, l�ve mes jambes et pointe son gros gland sur mon anus. " Du gel David ? " dit Ma�tre Jean.
" Non, non Monsieur s'il vous plait. A pr�sent sa chatte toi �tre bien large et je voudrai le prendre � sec ! ".
" Comme tu veux David, apr�s tout, tu es mon invit� ! " r�pond Ma�tre Jean, en m�me temps qu'il me pr�sente sa queue que je gobe. Monsieur David, pousse son gland dans mon anus qui s'ouvre. Je ne peux pas crier, mais je g�mis tr�s fort et Ma�tre Jean me maintien les �paules. Je suis compl�tement offert et ne peux me soustraire. Monsieur David s'enfonce inexorablement en moi comme un fer rouge. J'ai l'impression qu'il me d�chire les entrailles. Une fois compl�tement en moi il ne bouge plus pendant un moment. Pour ma part, j'ai la queue de Ma�tre Jean en bouche mais je ne lui fais rien. Apr�s un certain temps, Monsieur David ;commence ses vas et vient. Ma langue tourne autour du gland de Ma�tre Jean. La baise de Monsieur David devient fr�n�tique. Apr�s un long moment il commence � g�mir. Ma�tre Jean lui rugit et tous les deux en m�me temps, se vident en moi.
Toute la nuit, j'ai eu soit la queue de Ma�tre Jean, soit celle de Monsieur David en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul quand ce n'�tait pas les deux, m�me lorsque Ma�tre Jean avait ordonn� � Monsieur David de lui donner son cul.
Ce dernier avait protest� : " ce n'en sera que meilleurs David ! ". Monsieur David avait beaucoup souffert mais moi, qu'il en souffre, me faisait plaisir. Toujours est-il que lorsque l'un s'endormait, l'autre s'activait. Je n'ai pas ferm� l'oeil de la nuit.
Au matin apr�s avoir fait leur toilette une derni�re fois, avec ma langue, Monsieur Aim� est venu pour me raccompagner � mes appartements.
Il avait l'air pr�occup� et soucieux.
" Nous avons de la chance ! ", dit-il, c'est moi qui doit te donner ton petit d�jeuner ce matin.
Une fois dans ma chambre je me suis assis sur le bord de mon lit. Monsieur Aim� a sorti sa queue encore molle. Je l'ai prise avec d�licatesse et je l'ai port�e � mes l�vres. L� je l'ai embrass� amoureusement, b�cotant le bout de son gland, caressant doucement la hampe, que de d�calottai d�licatement. Je lui donnais de petits coups de langue avant de la prendre en bouche goul�ment.
" Ne sois pas trop press�, je pense que nous n'allons plus pouvoir en profiter longtemps, les occasions sont d�j� si rares ! ".
Deux larmes perlaient au coin de mes yeux.
Je l'ai suc� avidement un bon moment, jusqu'� ce qu'il se lib�re au fond de ma gorge. Les jets sont nombreux et copieux. Un vrai r�gal !
Monsieur Aim� parti, je me couche.
En fin de semaine Monsieur Aim� vient nous chercher Youssouf et moi. Nous regagnions la camionnette o� nous attend d�j� Mustafa et Monsieur David. Monsieur Aim� nous fait monter et s'assied sur la place du chauffeur. Ma�tre Jean arrive, monte et dit en route.
Au bout d'un moment, nous entrons dans un garage. Youssouf dit : nous sommes chez Monsieur Antoine ! ". Ma�tre Jean et Monsieur Aim� descendent. Monsieur David, n'a pas dit un mot.
La porte s'ouvre et Ma�tre Jean nous ordonne de descendre. Effectivement Monsieur Antoine vient accueillir Ma�tre Jean. Ils s'embrassent. Monsieur Antoine est nu sous son jockstrap et son gros sexe pendouille entre ses jambes laissant couler un long filet de mouille. Son gland est luisant. " Excuse moi Jean, j'�tais dans le cul de Gatien ! ". " Mais je t'en pris termine mon ami ! " dit Ma�tre Jean.
" Non, non vas y toi, je t'en prie ! ", r�pond Monsieur Antoine. Ma�tre Jean sort de la pi�ce et tandis qu'il nous installe dans sa salle de tatouage, nous entendons Gatien crier : " aie, aie, non s'il vous plait ! ".
" Ta gueule ! " lui r�pond Ma�tre Jean, suivi du bruit d'une claque. Monsieur Antoine rigole. Peu de temps apr�s, nous entendons Ma�tre Jean rugir. Il sort de la pi�ce, la bite encore band�e de laquelle du sperme termine de couler. " Allez pute, nettoie ! ". Je me mets � genoux et commence � le sucer. " Et toi mon ami tu t'ais fait nettoyer ? ".
" Non ! ", r�pond Monsieur Antoine.
" Aim� ! " dit Ma�tre Jean. Monsieur Aim� s'ex�cute et suce Monsieur Antoine.
Tout � notre ouvrage Monsieur Aim� et moi, nous nous regardons, le coeur chavir�.
" Je vais veniiiirrr !!!!! " gueule Monsieur Antoine qui jute dans la bouche de Monsieur Aim�.
Ma�tre Jean et Monsieur Antoine se retirent en m�me temps.
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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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