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formation -12

A l'heure indiqu�e, c'est Monsieur Aim� qui vient me chercher.
Dans les couloirs, il me caresse furtivement et me glisse � l'oreille : " Courage, sois tr�s fort ! ".
Arriv� devant la porte de Monsieur Jean, ;il frappe.
" Entrez ! " r�pond Monsieur Jean.
Monsieur Aim� ouvre la porte et me donne une pouss�e amicale dans le dos.
La porte se referme. " Viens me rejoindre dans ma chambre ! " me dit Monsieur Jean.
Je cherche la chambre et la trouve enfin.
Monsieur Jean est couch� dans son grand lit 5 m�tres sur 5.
" Fous toi � poil et vient t'occuper de ma queue, petite salope ! ".
Je me suis ex�cut�. Monsieur Jean repousse la couette et me dit de le rejoindre sur le lit.
Son gros sexe repose sur sa cuisse, soulev� par ses grosses couilles.
J'ai voulu le prendre en bouche, ;mais Monsieur m'a dit : " non, je veux que tu joues d'abord avec ma queue qui doit �tre l'objet de ta v�n�ration ! ".

Je commence donc � prendre cette grosse pine entre mes doigts, je la caresse, je tire la peau en arri�re, d�calotte le gland enti�rement, pour de nouveau le capuchonner. Je tire sur le pr�puce qui est extraordinairement �lastique. Monsieur Jean se d�calotte et me dit : " � chaque fois que je te pr�senterai ma queue tu dois l'embrasser ;avec d�votion ! ".
Je m'ex�cute donc.
La verge se gonfle. Le pr�puce remonte, laissant appara�tre le bout du gland.
" Joue avec mes boules ! ".
Je les prends en main, je les soup�se, tire sur la peau, la mordille, les roules entre mes doigts.
Je jette un oeil � la pine qui continue � gonfler inexorablement. A pr�sent le gland est turgescent.
Une goutte de pr�cum pointe du m�at. Monsieur Jean me demande de ne pas la perdre. Je la r�cup�re donc sur ma langue.
La queue et Monsieur Jean est maintenant parfaitement dur. Son �rection est glorieuses, ses boules ont durci et sont remont�s.
" Prend l� en bouche petite pute ! " me dit Monsieur Jean.
Je vais pour porter sa queue dans ma bouche quand il me dit : " non ! Mets-toi en 69 !".
Je me mets � califourchon et je me penche pour prendre sa pine en bouche.
Je sens Monsieur Jean �carter mes fesses. Il me caresse la rosette. La p�n�tre d'un doigt, l'�carte, il l'a l�che, sa langue p�n�tre le plus loin possible.
Monsieur Jean prend un gode qu'il avait pr�s de lui et me l'enfile de plus en plus profond. Je sens des vibrations dans mon ventre et le rythme en change de temps en temps.
C'est tellement excitant que je pompe la pine de Monsieur Jean de plus en plus vite avec fr�n�sie.
N'y tenant plus, Monsieur Jean rugit et se r�pand dans ma bouche. Je m'applique � avaler au fur et � mesure ce foutre abondant et aigre. Monsieur Jean ne serait pas content que j'en perde une goutte.
Monsieur Jean m'enl�ve le gode vibrant, me bascule brusquement sur le c�t� et rapidement il me met sa queue encore dure dans le cul.
Il me serre contre lui et de ses gros doigts il me triture les t�tons.
A voir il est satisfait, mais il me fait mal, de plus en plus mal ce qui le satisfait encore plus.
Je me tortille, je crie : " s'il vous plait Monsieur, ca fait mal, c'est insupportable ! ".
Il me r�pond m�chamment : " ta gueule pute ! ".
Il a tellement du plaisir � me voir souffrir que sa queue reprend du volume dans mon cul.
Pourtant la pression se rel�che.
Mais bien vite il recommence. Je me tortille sous la douleur, je pleure, mais rien n'y fait.
" Quand tu souffres ton anus se contracte sur ma queue et tu me donnes du plaisir sans que je sois oblig� de te limer ! ". me dit-il.

Soudain il grogne et m'inonde de nouveau le boyau.
" Ne bouge surtout pas ! " dit-il et il s'endort sa queue encore en place.
J'arrive � peine � effleurer mes t�tons � vif.
Cette douleur et ma mauvaise posture (l'�norme bite de Monsieur Jean dans le cul) m'emp�chent, un long moment de m'endormir.

Je ne suis pas combien de temps j'ai dormi, mais je suis r�veill� par quelque chose qui s'agite dans mon anus.
Je reviens � la r�alit� des choses et je me rends compte que c'est Monsieur Jean qui s'agite en moi.
Lorsqu'il s'aper�oit que je suis r�veill�, il d�cule.
Voyant que du jus de sa derni�re saillie s'est �chapp� de mon trou, il r�cup�re celui sur mes fesses avec son doigt et me le donne � sucer. Il me demande de l�cher celui sur le drap, puis celui sur son pubis et ses couilles. Puis il nous met en position 69 sur le c�t� et me demande de prendre sa queue en bouche.
Du jus coule encore de son p�nis.
" Tu l�cheras ma queue quand je te le dirai ! ".
Monsieur Jean d�gage une de mes jambes sur laquelle il pose sa t�te.
Je sens son souffle chaud caresser mon bouton de rose.
J'essaie de ne pas m'endormir pour que la queue de Monsieur Jean ne sorte pas de mes l�vres.
Malgr� cela le sommeil est le plus fort. Parfois je me r�veille en sursaut et remet aussit�t la bite dans ma bouche.
Je dors depuis combien de temps ? Je n'en sais rien. Mais je sens mon ventre vibrer. Je reviens doucement � la r�alit�. J'ai toujours la bite de Monsieur Jean dans la bouche. Une mouille abondante s'�coule. Je me rends compte, qu'il y a de nouveau introduit le gode vibrant.
Subitement Monsieur Jean se l�ve et reviens aussit�t avec une cl�. Il m'enl�ve ma cage de chastet� et tout en me godant me l�che la queue et me la suce.
Aussit�t j'ai une �rection tr�s dure. La queue de Monsieur Jean gonfle, elle aussi, dans ma bouche.
Il me soul�ve les jambes et me rabat mes cuisses sur mes �paules. Il �te le gode et s'enfonce en moi.
Il entre, il sort. Parfois me lime juste avec son gland, puis brusquement il replonge dedans et me baise soit en douceur, soit avec violence. Il transpire et je re�ois des gouttes de sueur sur le visage.
Je ne sens plus mon anus, j'ai l'impression de d�f�quer en permanence.
Enfin Monsieur Jean, commence � grogner. Il me prend les pectoraux � pleine mains, il me fait mal mais je ne dit rien. Enfin il rugit et se r�pand en moi, moi qui au m�me moment me jute sur le ventre et le torse de Monsieur Jean.
Depuis combien de temps je n'avais pas �t� purg� ?
Je crains que Monsieur Jean ne me batte, mais au contraire il ramasse mon sperme sur son doigt et me le donne � l�cher.
" Quand je sors de ton cul, tu te mets imm�diatement � quatre pattes me dit-il ! ".
Je lui ob�is.
Je vois qu'il recueille son jus sortant de mon cul.
" Quel trou, il est encore b�ant. Vas y pousse pute, oui c'est bien, le jus sort. Vas-y encore ! Ouiiiiiii !!!! ".
Il essuie de son doigt le tour de mon anus, et y replace le gode.
Effectivement, quand il me pr�sente la paume de sa main, celle-ci est pleine.
" Vas y r�gale toi, avale tout et l�che bien mon doigt, n'en pers surtout pas ! ".
Une fois sa main propre il se laisse tomber sur le dos et ronfle.
Malgr� les vibrations du gode je m'endors.

Rolex59

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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