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Footing chaud

J'ai l'habitude de faire un footing le dimanche matin en for�t de St Germain en Laye.
Il y a quelques semaines, il faisait tr�s chaud ce dimanche l�, je suis all� courir de bonne heure, vers 8h00.
J'avais mis mon short oasics bleu (sans rien dessous !) et un t-shirt blanc.

Quand je suis arriv� en for�t, bizarrement il n'y avait personne.
J'ai donc commenc� mon footing, la fra�cheur � l'ombre des arbres �tait bien agr�able.
Apr�s 40 minutes de course, je me suis senti un peu fatigu� et je commen�ais � avoir mal au genoux droit. J'ai donc arr�t� de courir et j'ai poursuivi en marchant. Je boitais un peu, mais sans plus.

Tout � coup, j'ai vu arriver vers moi un autre jogger. On s'est crois�, �chang� un bonjour, et j'ai continu� ma route. Tout � coup, derri�re moi, j'ai entendu " Ca va ?".
En me retournant, je vois le jogger qui s'est arr�t�, et qui me demande : " Vous boitez, �a va ? Si je peux faire quelque chose, n'h�sitez pas, je suis kin�".
Je ne l'avais pas mat� plus que �a quand il m'avait d�pass�, mais en le regardant mieux, j'ai vu un mec, environ 30-35ans, en collant de running gris (sans slip car on voyait son paquet, sa queue bien dessin�e portant sur la gauche) et en t-shirt rouge. Ch�tain, bronz�, beau mec.
"J'ai un peu mal au genoux droit, mais �a passera" dis-je.
"Faut faire gaffe, tant qu'on est chaud on croit que �a va, mais apr�s �a peut �tre plus grave. Je peux regarder, si tu veux".
Ce tutoiement ma mis en confiance, et en plus un beau mec qui propose de te masser, �a se refuse pas.

Je me suis assis sur un tronc d'arbre, il s'est approch� et m'a regard� le genou. Pendant qu'il m'occultait, j'essayais de mater son paquet, mais �tant accroupi, je voyais plut�t sa chute de reins et je voyais un cul bien moul�.
Ca m'a fait de l'effet et je me suis mis � bander un peu. J'�tais g�n� car je ne savais pas comment il le prendrait. Il a vu mon sexe se dresser et, imm�diatement, il s'est relev�. Je pensais le voir offusqu� : en fait, il souriait et j'ai vu que, de son c�t�, son short de running avait aussi pris du volume.
"Tu veux qu'on aille dans un coin plus discret ?", me dit-il.
Faut pas me le dire deux fois. Ayant bien compris que j'�tais d'accord, je l'ai suivi dans une petite clairi�re bien cach�e, qu'il connaissait visiblement.

Arriv� l�, sans attendre que je sois pr�s de lui, il a enlev� ses chaussures.
"On se fout � poil", m'a t'il dit en continuant d'enlever son t-shirt puis son short.
Une fois nu, j'ai pu me rendre compte a quel point ce mec �tait beau : muscl�, mais pas trop, avec des pectoraux bien dessin�s, bien bronz�, avec la trace du maillot nettement marqu�e, et un sexe de bonne taille, qui commen�ait � prendre un bon volume.

Je me suis d�sap� vite fait et, en arrivant pr�s de lui, je bandais d�j� comme un �ne.
"Suce moi", me dit-il.
Je ne me suis pas fait prier, et, tout en le su�ant, je massais une belle paire de couilles bien pendantes, et r�cemment ras�es.
Apr�s quelques minutes, je suis remont� vers son nombril, ses seins que j'ai m�chouill� un bon moment, puis sa bouche.

Nos deux langues ont jou� longtemps ensemble, nos mains �tant occup�es � se branler. Puis, il a pris nos deux sexes bien raides dans sa main, et nos deux glands se sont frott�s un moment.
Tout � coup, j'ai entendu un r�le et j'ai vu un long jet blanc �tre projet� sur les foug�res se trouvant � c�t� de nous.

A ce moment, j'ai pens� qu'il allait me planter l�, la bite au garde � vous. J'ai risqu� un "j'aurai bien aim� que tu me suce aussi."
"Pas de probl�me", me dit-il en s'agenouillant. Et il m'a fait une pipe d'enfer : visiblement, ce n'�tait pas la premi�re pour lui.
Je n'ai pas tard� � jouir.
On s'est rhabill� puis on est retourn� sur le chemin. On a discut� de tout, sauf de sexe, comme deux vieux potes.

On s'est �chang� nos adresses, et, on s'est revus !

Pascal

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