Fleurs du m�leC'�tait cette nuit, ou la nuit d'avant je ne sais plus. Peut �tre �tait-ce la semaine derni�re ? Depuis cela, je n'ai plus la notion du temps, je n'ai plus la notion d'avant. Je vis le pr�sent, sa pr�sence. Il �tait tard, la nuit avait �t� longue mais tr�s joyeuse. Nous avions fait la f�te avec des amis et je me sentais bien. Comme toutes les apr�s f�tes depuis toujours, il vient finir la soir�e chez moi. On boit un verre, on discute et souvent, on regarde une d�bilit� t�l�visuelle qui nous permet de nous endormir sur les canap�s. Le lien qui nous lie est tr�s fort. Une amiti� sans �quivoque, m�me si pour ma part, j'ai toujours regrett� qu'il soit uniquement attir� par les femmes. Cette soir�e ne fit pas d�rogation � la r�gle. Une fois rentr�, nous avons pris une bi�re, discut� de la soir�e, racont� quelques conneries qui nous font rire et nous nous sommes d�cid� � nous installer sur le canap� pour regarder un DVD. Au bout de quelques minutes, il s'endormit, et je ne tardais pas � le suivre. Un peu plus tard, nous nous r�veill�mes et, en s'�tirant, il me dit : - tu sais quoi ? Je me ferais bien sucer !! et il �clata de rire. Je lui r�pondit, comme cela �tait d�j� arriv�, que je ne pouvais rien faire pour lui, qu'il �tait trop h�t�ro pour que je lui soit d'une quelconque utilit�. Sa r�ponse habituelle est qu'effectivement, il pensait bien � une nana. Mais cette fois d�rogea � la r�gle : - pourquoi tu ne pourrais rien faire ? Je croyais que tu aimais sucer des queues ? Si moi j'ai envie de me faire sucer, et si toi tu aimes le faire, on devrait pouvoir s'arranger entre amis non ? J'�tais effar� et abasourdi. - Bien sur ! Lui r�pondis je. �a me ferait vraiment plaisir de te faire d�couvrir mon savoir faire. Il me sourit, et sans mot dire, commen�a � d�faire sa ceinture. Je l'arr�tai doucement afin de le faire moi m�me, il ferma les yeux en signe d'abandon et me laissa faire. Je savourai chaque instant, chaque geste et chacune de ses respirations. Je d�fis le bouton de son jean si souvent convoit�, et m'attelai � d�faire lentement les boutons de sa braguette. Ce faisant, mes doigts effleur�rent son cale�on et je sentis une r�action imm�diate de son sexe que je n'avais encore jamais vu. Il aimait et cela me rempli de bonheur. Je pouvais enfin lui faire plaisir. J'en terminai avec sa braguette, et il se souleva un peu afin que je puisse descendre son pantalon. Il ne restait que son cale�on entre son sexe et moi. Sa queue d�formait � pr�sent le tissus, et une certaine f�brilit� s'emparait de nous. Je me penchais vers son chibre et posait un d�licat baiser sur sa verge. Le contact du tissu de son cale�on m'excita au plus au point. J'avais envie de lui. Je mordillais son gland et me d�cidais � sortir ce joyau de son �crin. En un geste pr�cis, je lui �tais son cale�on. Sa verge est magnifique. Non pas qu'elle soit grosse, mais si r�guli�re, si fi�rement dress�e et elle sent si bon. Son pr�puce recouvre encore un peu le gland que je venais de mordiller. A sa base, les testicules sont l�g�rement poilus et ne demande qu'� �tre l�ch�s. Sa toison blonde, �paisse et dense, est une invitation � elle seule. Une invitation au voyage aussi belle que celle de Baudelaire. " Aimer � loisir, aimer et mourir, au pays qui te ressemble ". Mon coeur est combl�, je couvre cette verge de baiser pendant que mes doigts parcourir chaque centim�tre carr� de sa peau. Je d�couvre d�licatement son gland et j'entrouvre les l�vres pour laisser passer son gland au travers. Et la je peux enfin passer ma langue sur cette hampe qui me rend fou. Jamais je n'avais suc� comme je l'ai fait cette nuit l�, jamais. Et il a aim�. Le jet de sa semence ne laisse aucun doute � ce sujet, ni les baisers si d�licats qu'il m'a donn�. C'�tait cette nuit, ou la nuit d'avant je ne sais plus. Peut �tre �tait ce la semaine derni�re ? Depuis cela, je n'ai plus la notion du temps, je n'ai plus la notion d'avant. Je vis le pr�sent, sa pr�sence. Borsalino R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |