Le fils de mon voisin,J'avais mis en location en janvier 2006 le studio que j'avais r�nov� � cot� de mon appartement. Erik un mec d'une quarantaine d'ann�e mignon, sportif et discret l'avait occup� d�s f�vrier. De temps en temps , dans l'escalier nous nous �tions c�toy� et avions �chang� des banalit�s de voisinage. Le mec �tait sympa et souriant. Vers le 15 juin, alors que nous rentrions vers 22h ma compagne et moi nous croisons Erik notre voisin accompagn� d'un superbe beau gosse d'une vingtaine d'ann�e. Le mec �tait mince � la peau pale, les cheveux ch�tains clair mi long, les yeux gris, le sourire franc. Il �tait v�tu d'un short de street basket, d'un tee shirt deux fois trop large permettant de voir son torse glabre � peine sculpt�. C'�tait le minou type androgyne qui plait aux midinettes de quartier et au quinqua comme moi.. Erik nous gratifi�t d'un sourire et nous pr�sent�t J�r�me son fils de 21 ans. Nous �tions �poustoufl� qu'un mec aussi jeune qu'Erik puisse avoir un gar�on de cet age. " Eh oui, j'ai rencontr� sa m�re lorsque j'avais 18 ans... un an apr�s J�r�me �tait l�... 11 ans apr�s nous nous sommes s�par�s ! " J�r�me vient passer l'�t� avec moi, nous partons en vacances dans 15 jours en attendant nous restons ici pour qu'il visite la ville. Je d�taillais le petit mec avec avidit� d�j� que son p�re me faisait craquer, le minou lui me faisait fantasmer. Comme il faisait d�j� tr�s chaud en juin la mont�e des cinq �tages � pied nous essoufflait tous un peut. ;Arriv�e devant nos porte respectives il me vint une id�e. " nous nous croisons r�guli�rement dans l'escalier et nous ne prenons jamais le temps de discuter deux minutes, si vous voulez je vous invite � prendre un verre. " la r�ponse positive fut imm�diate et c'est tout les quatre que nous rentrions dans mon appartement. Mon invit� ne semblait pas plus g�n� que ��, mais � un moment il me fixa dans les yeux et resserra les jambes. Merde ! me dis je, il m'a vu. Mais la conversation se poursuivit et malgr� mon regard insistant J�r�me reprenait des positions qui ne me faisait rien perdre de son anatomie. Apr�s leur d�part, je fantasmais sur ce bel �ph�be que je voyais bien dans mon lit...mais ne r�vons pas. Cependant quelques jours plus tard un concours de circonstances me permis de transformer mes fantasmes en r�alit�. Ma compagne �tait partie passer une semaine dans sa famille, je me trouvais donc seul. C' �tait vendredi soir 23 h et la sonnette de l'interphone retentie . " salut Pierre, c'est Erik et J�r�me, nous sommes en bas sans cl�s tu peux nous ouvrir , " Quelques instants apr�s c'�tait la sonnette de ma porte qui �tait sollicit�e. J'�tais � poil chez moi, j'enfilais un short et allais ouvrir. Mes deux locataires �taient devant moi, en short court et marcel moulant...putain l'un comme l'autre me faisait craquer !surtout J�r�me. " voil� nous sommes cons comme des hu�tres me dit Erik, nous avons pass� la journ�e � Chalon sur Sa�ne chez des amis et j'ai oubli� ma pochette avec mes cl�s, mon t�l�phone, mon fric...la totale quoi ! " je compris rapidement l'int�r�t que je pouvais tirer de la situation ; Vers 1 h du matin nous d�cid�mes de nous coucher. J�r�me ferma sa porte alors que la mienne restait ouverte. Je m'allongeait nu sur mon lit la fen�tre l�g�rement entrouverte en raison de la forte chaleur de juin. Pas 1/2 heure apr�s l'extinction des lumi�res j'entendis la porte de J�r�me s'ouvrir et vis son hombre se d�placer dans le couloir " J�r�me tu cherches quelque chose ? " je vis sa silhouette se d�tacher devant ma porte et dans la p�nombre il me semblait le deviner � poil. R�alit� ou fantasme ? " Oui les chiottes...j'ai bu de la bi�re je pense que je vais me lever plusieurs fois. " dans l'encadrement de porte il devait me d�tailler, �clair� que j'�tais par la lumi�re ext�rieure. Comme il restait plant� devant la porte je m'enhardi et �claira ma lampe de chevet. " Alors tu trouve la direction ? " et devant moi, dans l'encadrement de porte je vis mon bel �ph�be nu comme un vers. Le corps je le connaissais presque, mais maintenant, je voyais sa bite longue et fine non circoncise avec une couronne de poil clairs que l'on aurait dit taill�. A premi�re vue il �tait en demi �rection et son visage �tait illumin� d'un beau sourire d�gageant sa dentition parfaite. Je tendis la main et toucha la pointe de sa bitte qui mouillait.. Je m'assit dans mon lit, et cette fois ma bouche �tait � la hauteur de sa queue. J�r�me compris imm�diatement et s'approcha pour me poser son gland sur les l�vres. sa queue �tait lisse et douce, longue et fine, un plaisir que je ne pouvais pas rater. " doucement Pierre, me dit il, je suis une �jaculateur pr�coce...prend ton temps si tu veux que �a dure. " Je commen�ais � lui caresser le corps, les bras, les t�tons, le cul...je tentais m�me un doigt vers sa rondelle ...J�r�me pris une position qui facilitait la p�n�tration de mon doigt dans son fion...ce que je fis sans me faire prier .Puis il approcha ses l�vres des miennes et sensuellement me d�posa un tendre bais� qui se transforma vite en une bais� vorace. Sa langue cherchait la mienne, ses mains me parcouraient le corps, s'attardant sur mes burnes et ma hampe qu'il l�chait � grand coup de langue. Puis doucement il engouffrait ma bitte dans sa bouche chaude tout en me caressant les cheveux tendrement. Rapidement je me retrouvais � lui l�cher la rondelle et � le doigtais pour pr�parer un p�n�tration que j'esp�rais. J'ai une queue normale de 18 cm pas trop grosse mais tous mes amants m'on toujours dit qu'elle �tait tr�s active et endurante c'est ce qui leur donnait le plaisir de continuer � me rencontrer. En r�alit� j'ai cinq amants r�guliers avec qui j'aime partager sexe et discutions sans prise de t�te ... de ce fait, il y a une �ternit� que je ne me suis pas rendue dans un sauna ni dragu� en dehors �tant pleinement satisfait sur le plan cul. J'ai deux amants de 26 ans , un de quarante, un de 22 et le dernier 36.J�rome �tait donc maintenant le plus jeune de mes compagnons. J'approchais ma bitte de sa petite rondelle il me laissa frotter et enduire son fion des quelques gouttes de sperme qui s'�chappaient de mon gland . Mais d�s que je voulu forcer le passage, il m'arr�ta. Mon envie de le p�n�trer me faisait chercher des solutions. Tout � coup il me vient une id�e. " Ecoute J�r�me, j'ai dans mon frigo quelques carottes dont certaines sont assez grosses ont tente l'exp�rience avec du gel ? " Sit�t dit sit�t fait je me d�pla�ais dans la cuisine pour chercher quatre l�gumes de diff�rentes tailles sachant que la plus grosse se rapprochait de la dimension de ma bitte, la pr�paration pouvait commencer ! Puis, apr�s avoir enduit de gel ce petit cul et la plus petite carotte, je faisait rentrer doucement l'engin dans ce petit trou adorable. J�r�me se tortillait comme une anguille visiblement non seulement cela ne semblait pas douloureux mais son plaisir se d�clenchait. Je pouvais faire coulisser les 12/15 cm de ce gode improvis� dans les entrailles de mon minou. De temps en temps je lui pin�ais les seins, lui su�ais la bitte toujours tendue comme un morceau de bois. De temps en temps il se d�lectait des gouttes de sperme qui mouillaient ma bitte. Puis enfin tout en le doigtant, j'enfilais de l'autre main un pr�servatif que j'enduisais abondamment de gel. " Allez mon petit amour nous passons au meilleur de la soir�e ! " lui dis et je pressentais ma queue tendue vers le petit fion bien ouvert et lubrifi�. ;Sa r�action �tait celle que j'attendais " oui prend moi je suis pr�t ! " doucement je poussais ma bitte entre les belles fesses rondes de mon minou. Bient�t mon gland avait p�n�tr� son cul, je savais que le plus dur �tait fait que je n'avais plus qu'a continuer doucement. Mais, tout � coup, sans que je ne le sente venir, J�r�me me passa ses mains autour de mes fesses et me tira � lui. Ma bitte p�n�tra d'un coup ses entrailles J�r�me me mordit le bras pour signifier sa douleur. Je ne bougeais plus je sentais que ma queue �tait presque � la garde. Les secondes s'�coulaient lentement mon petit mec commen�ait � se d�tendre et il repris l'initiative de remuer du cul pour sentir ma bitte en lui. Alors je commen�ais mes mouvements de p�n�tration et mon petit mec me caressait les fesses en signe de satisfaction. J'acc�l�rais le mouvement quant soudain il m'avertit " je jouie ! " et cinq fois il resserra son trou autour de ma bitte � chaque gicl� de son foutre qui inondait son torse...je voyais briller � la lueur de la lumi�re ce sperme �tal� jusque sur ses t�tons .Je me d�gageais et apr�s avoir enlev� ma capote je lui d�versais sur le corps de longue gicl�e de sperme �pais. " L�che moi ! " me dit il . Et je n'attendais que �a...� grand coup de langue je buvais tout ce foutre accumul� par l'un et l'autre certainement par plusieurs jours d'abstinence...puis je me couchais sur lui et nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre...il �tait 3 h du matin. J�r�me �tait plaqu� contre moi ses fesses contre ma bitte et ses cheveux sur mon visage ; Vers 5 h je sentais que la gaule du matin me prenait mon minou s'�tait aussi rendu compte de la situation. Sans parole, il passait sa main dans son dos et guida ma bitte vers son trou du cul...il restait encore du gel de la veille. Cette fois ma queue p�n�tra doucement...et en continue...J�r�me �tait d�pucel� et il montrait qu'il aimait le sexe .Cette fois le plaisir �tait trop fort et c'est moi qui apr�s quelques minutes de plaisir sentais monter ma semence. J�r�me avait sentie ma respiration s'acc�l�rer... ;Mon �ph�be me dit fermement, " si tu jouie crache moi dans la bouche je veux aussi go�ter ton jus ! " ce que je fis sans me faire prier plus que �a...mon minet nettoyait avec sa langue la moindre goutte de sperme autour de ma queue...putain, un vrai pro. " Il faut que tu retournes dans ta chambre ton p�re va se lever ! " Je vis ce grand corps mince et imberbe sortir de mon lit la bitte raide, puis apr�s m'avoir embrass� une derni�re fois il partit dans son lit pour terminer la derni�re heure de soit disant sommeil. Au matin, autour du petit d�jeun� les �changes de regard �taient plein de tendresse et de souvenir de ce merveilleux moment. Pendant la semaine suivante avant son d�part en vacance, nous nous sommes � plusieurs reprises tendrement embrass� en cachette, voir touch� la bitte � travers nos v�tements, mais nous n'avons pas renouvel� l'exp�rience qui restera, pour lui, et moi, la magie d'une nuit d'�t�. PierreR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |