Le fils du patron- 2Nous venions de prendre nos douches, Thibault, Patrick, J�r�me et moi et avons pris la voiture de Patrick pour nous diriger vers le resto. En voiture, les trois larrons en ont profit� pour me poser quelques questions : ils voulaient savoir comment j'avais fait mon apprentissage sexuel et si le plan m'avait plu. Je leur ai donc expliqu� ce que je raconte dans mon histoire sur le voisin de mes parents (je pense qu'elle a �t� publi�e en m�me temps que celle-ci) et �videmment, je leur confirme que ce genre de baise me pla�t carr�ment ! J'ai pu remarqu� que pendant que je racontais tout �a, Thibault, qui est assis � c�t� de moi � l'arri�re n'a pas arr�t� de se toucher et que ses caresses ont eu de l'effet. Patrick me demande si j'aime manger libanais puis s'arr�te 10 minutes plus tard sur le parking d'un restaurant en p�riph�rie de la ville, apr�s que je lui ai confirm� que j'aimais �tre bais� par plusieurs mecs virils et bien mont�s. Le cuisinier et proprio, Kamal (brun, peau mate, carr� lui aussi et charmant, la quarantaine) est un pote du patron. On mange super bien mais pas trop car Patrick lui a demand� de nous faire un repas l�ger pour rester en forme. Il dit qu'il a envie d'aller p�cher en �changeant un sourire avec Kamal et les autres. Je comprends qu'une autre partie fine se pr�cise... � la fin du repas, Patrick me demande si j'ai envie de les accompagner. J'accepte car je ne voudrais pas laisser passer d'autres bons moments avec eux ! On arrive au fond d'un chemin dans un lieu paum�. On descend de voiture et on est au bord de l'�tang apr�s quelques minutes de marche qui m'ont permis de constater encore � quel point mes accompagnateurs sont quand m�me bien foutus dans leurs jeans assez moulants. On se dirige vers la cabane de l'�tang : une assez grande cabane tout de m�me pourvue de l'eau, l'�lectricit�, du minimum pour cuisiner, se laver, de tables et bancs ainsi que d'un grand canap� d'angle. On boit tous une bi�re et j'entends des voix qui s'approchent. Kamal entre dans la pi�ce avec 3 autres mecs : ils sont tous les 4 en jeans, d�bardeurs et tongs (c'est l'�t�). Lini est black, super grand et baraqu� puisqu'il atteint le m�tre 90 pour une centaine de kilos de muscles, Karim est rebeu, plut�t grand aussi mais plus fin et Mat (pour Mathieu sans doute) blond aux yeux bleus, 1m80 environ muscl� sec lui aussi. Ils ont tous d'assez belles gueules. Kamal va chercher un petit sac dans le tiroir d'un buffet, le tend � J�r�me et lui dit de m'expliquer. J�r�me m'entra�ne dans la salle d'eau, ferme la porte et m'explique que ce sac contient des jockstraps qu'on doit porter sous nos jeans. Ni une ni deux, on se d�sappe et enfile nos tenues. Pendant ce temps, J�r�me me dit qu'il a bien envie de profiter de mon p'tit cul mais qu'il devra attendre qu'on soit seuls au garage car tant que le patron et son fils sont pr�sents, nous sommes passifs tous les deux : c'est la r�gle. Il me dit de ne pas m'inqui�ter, que leurs copains sont relativement doux si on ob�it � Patrick (le "relativement" commence � m'angoisser). Il vaut mieux d'apr�s lui parce qu'ils ont des sacr�s zobs (je comprends mieux l'allusion de Thibault dans le garage) ! On ressort. Inutile de pr�ciser que je suis tout excit�, surtout quand je vois que nos 6 actifs matent une vid�o depuis le canap�. On s'asseoit entre eux s�par�ment. On peut se toucher sans se d�shabiller d'abord. Eux sont d�j� en calebute et toutes les bosses sont impressionnantes. J'ai commenc� le travail sur sa queue sortie par la braguette de son cale�on. Il r�le d�j� le coquin ! Karim a la bite sortie aussi : pas trop longue mais assez �paisse. Il me couche sur le c�t� gauche et s'occupe de ma rondelle. Pendant ce temps, Thibault le suce ! J�r�me, ce chanceux, s'occupe de l'�norme membre de notre black pendant que Kamal le lubrifie et que le blond, bien membr� aussi, suce J�r�me. Apr�s quelques minutes de nos premi�res pipes, les limages en r�gle commencent. Karim me saute pendant que Kamal s'occupe de J�r�me. Nos bouches continuent de servir : la mienne � Thibault qui suce Lini en m�me temps, celle de J�r�me � Mat qui suce lui-m�me Patrick. La sueur commence � perler et les g�missements s'amplifient. L�, je suis stup�fait : Patrick ordonne qu'on s'arr�te pour faire durer le plaisir. On va p�cher entre temps !!!!! Tout le monde pose donc les capotes et se rhabille. Au bord de l'�tang, Lini me regarde de temps en temps et se touche le paquet. Quand il se rel�ve, je d�cide de le suivre. Il va dans la cabane et ferme la porte. Je rentre � sa suite laissant la porte ouverte et ne le vois pas. Je m'approche de la porte des chiottes entrouverte mais la porte d'entr�e se referme : il �tait derri�re, la braguette ouverte et sa teub sortie. Il me dit : Il s'approche, me demande de baisser mon jean et le sucer. Il est contre la porte des WC. J'allais enlever mon jean quand il a rappel� : "j'ai dit baisser !". J'ai l�ch� son gland, descendu ma langue le long de sa queue qui n'a pas tard� � durcir prenant de tr�s g�n�reuses proportions. L� je l'ai pomp� de mon mieux. Au bout de cinq minutes, Patrick a fait irruption dans la pi�ce et nous a demand� ce que nous faisions. Lini a dit qu'en sortant des toilettes je l'avais accueilli � genoux et qu'il n'avait pas eu la force de dire non. Pourtant, il �tait d'accord, je devais �tre puni. Le salop ! Faut dire que si j'avais �t� moins cho... Apr�s avoir enfil� une capote XXXXXL sans doute, Lini s'est introduit assez m�thodiquement quand m�me. "Je ne m�ritais qu'une demi punition selon lui vu que c'�tait la premi�re fois". Aurait-il regrett� sa trahison ? Voulait-il se rettrapper ? Il m'a lim� pendant 1/4 d'heure sans doute, tandis que je su�ais mon patron qui n'avait m�me pas baiss� son jean. Il n'avait pas non plus sorti ses couilles. L� je peux dire que j'avais le cul en feu ! Si cette histoire vous a plu (vous pouvez toujours m'�crire), la suite au prochain �pisode. tybhotLa suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |