De fil en aiguille...Cette histoire vraie s'est d�roul�e l'ann�e derni�re. Je suis militaire et je suis parti en d�placement professionnel 4 mois en Guadeloupe. Pendant les deux premiers mois j'ai eu le loisir de faire connaissance avec les mecs avec lesquels j'�tais parti. Je ne vous cache pas que les trois quarts �taient des dieux vivants, c'�taient des troupes de marine, qui, quand ils ne sont pas sur le terrain � s'entra�ner, passe leur temps � faire du sport. Donc en gros a se br�ler les yeux. Mon rang de sous officier ne me permettait pas de vraiment sympathiser avec les militaire du rang, je me devais de garder une contenance, je me voyais mal draguer tout le monde puis passer pour la folle de service. Je me devais de garder des distances, non sans regrets ! Mes coll�gues sous officiers �taient sympas, certains m�me tr�s mignon, mais tous h�t�ro, et c'�tais trop risquer de tenter quoi que ce soit. Et � un moment o� je n'aurais cru que cela puisse se passer, une occasion en or s'est pr�sent�e. Occasion que j'ai bien sur honor�e ! Avec ma compagnie nous sommes partis deux semaines sur des �les d�pendantes de la Guadeloupe afin d'effectuer une mission de souverainet� (acte de pr�sence). En ce qui me concerne, je ne pouvais passer que quelques jours avec ma compagnie, car �tant de service le week-end suivant je me devais d'�tre pr�sent au r�giment. Le vendredi matin, jour de mon d�part, j'apprends que je dois rapatrier un bless� et que donc par cons�quent je serais seul avec lui pendant une semaine. On me dis : " c'est le Caporal X " (je vais l'appeler xavier). Ce mec est une beaut� fatal, 1m75 65kg de muscle brun yeux noirs, la peau claire, un sourire ravageur. J'avais d�j� eu le loisir de le remarquer, et de fantasmer dessus tr�s souvent lors de plaisir solitaire. Donc en avant pour le retour sur l'�le. Je profite de l'heure et demi de bateau que l'on a pour discuter et faire plus ample connaissance. L� j'apprends qu'il a 22ans, que �a fais ;un peu plus de 2ans qu'il est militaire, qu'il a plusieurs " meufs " en m�tropole et qu'il " se tape " une locale qui bosse au r�giment. On arrive donc au port de Trois Rivi�res, et l� une ambulance militaire nous attendait pour nous ramener a point a pitre. De retour, on prends le temps de manger et l� on lui dis que le m�decin va le recevoir mais qu'au pr�alable il dois se doucher. Et l� tilt dans ma t�te, je me dis que je vais en profiter pour le mater � poil sous la douche. Je l'accompagne donc dans le local sanitaire sous pr�texte de discuter. Et l� je le mate a loisir, se d�shabiller tout doucement (a croire qu'il le fais expr�s le bougre !), le v�tement qu'il mit le plus de temps a descendre fut son boxer, un boxer DIM bleu nuit qui lui moulait bien le paquet ! Et l� j'hallucine sur sa queue ! Au repos elle est d�j� impressionnante ! Environ 15cm de long pour 4cm de large ! Il a dus remarquer que je le matais grave car il est rester debout nu face a moi quelques longues minutes qui me parure �tre une �ternit�. De bonheur ! Je ne savais plus o� j'�tais et je ne m'�tais m�me pas rendu compte que ;je bandais comme un tar� ! (Je porte le treillis moulant et quand je bande ma queue fais 17cm de long pour 6cm de large, donc �a se voyait m�chamment !). Mais il n'a rien dis et s'est douch�, moi �a m'a permis de me calmer un peu. Arrive 14h, la consultation du m�decin. J'attends dehors et quand c'est terminer le m�decin m'annonce qu'il doit faire des radios et qu'il a rendez vous dans une heure. Je vais vous passer l'�pisode de la radiologie, mais juste vous dire que comme j'�tais dans un �tat d'excitation intense, je me suis mis a lui faire du rentre dedans, progressivement et que par sous entendu h�t�ro. Durant l'apr�s midi, il m'appris qu'il avais rendez vous avec sa copine le soir m�me, et qu'il avais tr�s envie d'elle ! Et l� il me fais une proposition qui me laisse muet : -�a vous dirait de me mater en train de baiser ma meuf ce soir ? Rendez vous �tait donc pris pour le soir, mais le plus dur �tait de patienter. Tous les plans possibles et inimaginables se d�roulaient dans ma t�te. Je me disais que soit c'�tait un pr�texte pour me faire venir dans sa chambre et baiser avec moi, ou alors qu'il voulait me proposer un plan a trois et qu'elle �tait au courant ou que tout simplement c'�tait juste pour le mater baiser. Je ne savais donc pas quoi penser et je ne vous cache pas que j'en �tais perturb�. Et plus il me regardait, plus je bandais. Xavier l'a remarqu� mais �a la fait sourire. Sa chambre �tait � l'�tage au dessus, donc on ne tarda pas � arriver. J'entrais donc, et la quelle ne fut pas ma surprise de voir qu'il avait r�am�nag� la chambre. Il avait d�placer tous les lits pour installer deux matelas cote a cote au centre de la pi�ce (pour se rendre compte, c'�tait une pi�ce de 8m de large par 20m de long, et d'habitude ils �taient une douzaine a dormi l�). L� je commence a me dire que le coup de la copine est un pr�texte et qu'on va baiser ensemble comme des b�tes ! - elle va arriver dans 5min D'ailleurs il n'arr�tait de la remettre en place, ce qui m'excitait de plus en plus ! Je me mis � l'abri de tous regards � un endroit qu'il avait am�nag� sp�cialement pour moi, je pouvais voir sans �tre vu. Elle alla parler quand il lui mit un doigt sur les l�vres. Doigt qu'elle mis dans sa bouche et qu'elle se mis a sucer. Ca promettait ! �a allait �tre chaud ! Moi j'avais d�j� vir� le pantacourt avant m�me qu'il n'ouvre la porte, et je me branlais doucement en les matant. Puis ils s'embrass�rent. J'�tais dans un �tat incroyable, j'aurais pu jouir sur l'instant tellement j'�tais excit� mais je voulais tenir jusqu'� la fin. Ils s'effeuill�rent doucement, d'abord elle, puis lui. Il �tait beau ! Un cul petit, l�g�rement poilu parfait ! Et sa queue �tait monstrueuse ! Au moins 25cm de long pour 8 cm de large ! De toute ma vie je n'avais vu pareil engin ! J'enviais cette nana que le su�ais, j'aurais tant aim� �tre a sa place... Au d�but je les avais de profil, puis il s'est d�plac� de mani�re a �tre face a moi, et elle de dos. Il me regardais, je suis sur qu'il me voyait en train de me branler. Je le voyait passer sa langue langoureusement sur ses l�vres, ses mains caresser son torse tr�s l�g�rement poilu, ses doigts titiller ses t�tons. J'en pouvais plus ! Pour bien lui montrer que je me branlais je tentais une sortie rapide. Je ne craignais rien vu qu'elle �tait de dos. J'�tais face a lui, la queue a la main en train de me branler, le regardant droit dans les yeux ! On est rest� comme �a quelques minutes quand il m'a fait comprendre de retourner me planquer. L� ils chang�rent de position, c'est lui qui lui l�cha le minou, �a a durer longtemps. Moi je matais son cul qu'il avais fais expr�s de relever. L� je me disais : " sur il est bi et apr�s je me le fais ! ". Enfin vint la p�n�tration, il besogna mademoiselle pendant plus d'une demi-heure, et � une cadence surhumaine. Il changea de position plusieurs fois, et � chaque fois il me lan�ait un petit regard et un petit sourire. Ce qui m'excitais ! D'un coup je le vis se relever, arracher sa capote et se branler fr�n�tiquement sur le visage de sa meuf. Plus la cadence se faisait rapide, plus fort il g�missait. Il a jouis en grognant une quantit� de foutre raisonnable, deux jets forts qui atterrir par terre, puis trois suivant qui finir sur le visage de sa copine. De mon cot� j'ai jouis pratiquement en m�me temps que lui, tout dans la serviette, je n'avais jamais jouis autant, il y en avait plein la serviette. Elle partie se nettoyer le visage dans les sanitaires, lui en profita pour venir me voir tout souriant, fier de lui ! Mon coeur battait la chamade ! - alors ? me demanda t il Ce n'est pas la peine que je vous dise que la nuit fut fort agiter ! - allez r�veillez vous, il est presque 11h30. Je n'osais sortir de mon lit, je dormais nu et je sentais ma queue gonfler de plus en plus. - ; oh ! s'exclama t il. Et sur ce je partis au sanitaire. Ce a quoi je ne m'attendais pas c'est qu'il se mette a me suivre. On parlait de tout et de rien. Les douches de la compagnie n'ayant pas de porte, il me regardait me doucher. Avec un peu d'insistance a mon avis, mais je n'y pr�tais pas trop attention sinon j'allais me remettre � bander. Une fois pr�t, on parti. A pied car on a pas p�t avoir de voiture de location, on s'y �tais pris trop tard. On passa donc toute l'apr�s midi ensemble a faire tout un tas de truc. Et de toute la journ�e, on ne parla pas de ce qui s'�tait passer la veille. Ce fut sur le trajet du retour que l'on aborda le sujet, peut �tre parce que le peu d'alcool consomm� au repas du soir nous avait �chauff� les sens. - au fait je voulais vous demander, �a vous a vraiment plus hier soir ? Au fur et a mesure que l'on parlait cul, sa queue prenait de plus en plus d'ampleur. Il avait finis de pisser depuis plusieurs minutes mais on ne bougeait pas. Je n'en revenais pas, ;sur le coup je n'avais pas pens� qu'il s'en rendrait compte. J'avais toujours les yeux riv�s sur sa queue qui avait pris toute sa pleine mesure. Soudain je le sentis se contracter et m'appuyer plus fort sur la t�te, et son jus vint me taper au fond de la gorge. Il me remplit toute la bouche, j'ai cru qu'il ne s'arr�terait pas de jouir. J'avalais tout son jus par petite gorg�e. Hum. Que c'�tait bon. Il me fis relever, et m'embrassa en me serrant dans ses bras, nos langues se m�lant dans ce qui restait de son sperme. Sans mot dire il se rhabilla et on prit le chemin du retour. A un moment, il me prit par le bras, je me tournais face � lui, le regard interrogatif - j'en peux plus, j'ai trop envie, dit il. Il me sauta dessus et me couvrit de baiser pour finir par me rouler une pelle dont je me souviendrais toute ma vie ! On a du s'embrasser pendant pratiquement plus d'un quart d'heure. - on rentre ? lui dis-je On mis tr�s peu de temps pour rentrer tellement on �tais press� ! Comme je lui l'avais suppos�, il m'a laiss� lui mettre un doigt tout en le su�ant. Ce qu'il avait pr�vu arriva, j'eu le loisir de le d�puceler ! Ce fut royal ! Ce fut la derni�re phrase qu'il me dit. Depuis moi j'ai trouv� quelqu'un d'autre. Et lui fid�le a sa promesse est " redevenu " h�t�ro, il s'est d'ailleurs mari� cette �t�. DougR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |