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la f�te des rois!

Le Dimanche de la f�te des rois est aussi propice � des c�l�brations plus pa�ennes donnant libre cours � l'imagination et m�me � des activit�s plus charnelles . Quelques jours auparavant, j'invitai plusieurs de mes copains exclusivement m�les, et m�me tr�s beaux m�les, � nous retrouver dans une f�te costum�e sur le th�me des rois. Place � l'imagination, au d�lire et s�rement � plus .

D�s le dimanche matin, je chauffai mon appartement un peu plus que d'habitude, car je savais bien que des corps nus finiraient par s'�battre en couples ou en tas plus nombreux, alors que le froid r�gne au dehors. Je pr�parai un buffet de boissons l�g�res et non alcoolis�es pour que chacun garde conscience et souvenir de la journ�e. J'ajoutai les classiques chips, cacahu�tes, pistaches, fruits secs, ainsi que diverses pi�ces de charcuterie et de volaille froide: saucissons et saucisses de diam�tres et longueurs divers, p�t�, rillettes, poulet, pintade. Des fromages vari�s, des fruits frais, des yaourts et de la mousse au chocolat compl�taient le buffet destin� � nourrir mes invit�s.

En tant qu'h�te, je m'attribuai le titre de rois des cuisiniers. Je me coiffai donc d'une toque de chef et d'un seul tablier de cuisine qui m'arrivait � mi-genoux et cachait le c�t� pile de mon corps nu tandis que le c�t� face resterait accessible � toute main baladeuse ou � tout autre �l�ment naturel ou objet que des fesses rondes et muscl�es tenteraient.

La porte d'entr�e de l'appartement subit alors de multiples coups qui annoncent l'arriv�e de plusieurs copains. Le couloir retentit d�j� de leurs voix, et les voisins vont encore r�ler. J'imagine d�j� leurs t�tes s'ils sortent sur le palier et tombent face � des mecs dont la tenue doit �tre pour le moins originale !
A l'ouverture de la porte, plusieurs t�tes apparaissent. La jungle est tr�s repr�sent�e. Comment sont-ils arriv�s jusqu'ici dans cette tenue ? Je n'ose pas y penser : toute personne qu'ils ont pu croiser a d� �tre choqu�e et certains doivent encore �tre �bahis et raides d'�tonnement apr�s la vision qu 'ils ont pu avoir.

Le roi des animaux se pr�sente d'abord. C'est John qui n'est affubl� que d'une fausse peau de lion qui lui recouvre le dos : nu sous cette peau de b�te, et bien plant� sur ses 2 pieds tel un lion trop apprivois�, son sexe et ses boules s'exhibent sans pudeur. " Wrrrrr " rugit le lion qui, au lieu de me tendre une patte, s'affale sur moi comme s'il voulait d�j� me d�vorer. La gueule du lion se pose sur mes l�vres tandis qu'une de ses pattes cherche d�j� sous mon tablier. C'est alors que surgit Tarzan qui �carte le lion de sa proie. Tarzan, le roi de la jungle, est un beau mec bronz� et muscl� aux cheveux bruns et longs : il ne porte que son pagne de l�opard qui ne laisse habituellement ni Jane ni Chita voir ses attributs de m�le. Et oui, il me faudra attendre un peu pour en savoir plus l�-dessus : l'entr�e en mati�re du lion �tait chaude, mais il ne faut pas tout vouloir d'un seul coup ! Apr�s le lion et Tarzan, arrive Souma le roi des Masai. C'est un copain noir qui s'est coiff� d'un bandana tr�s color� et s'est uniquement habill� de peintures rituelles qui courent sur son corps nu. Il est �quip� de 2 lances : l'une, m�tallique, fait un m�tre et demi et est clairement destin�e � la chasse dans la savane africaine. L'autre est recourb�e et fait seulement quelques centim�tres de long : mais sa longueur est s�rement variable ! Je ne sais pas s'il est venu comme �a de chez lui ou s'il s'est grim� ainsi au chaud dans sa voiture, mais le guerrier roi des Masai ne doit pas avoir chaud : la longueur de sa lance de chair et de sang traduit d'ailleurs la faible temp�rature ext�rieure, mais j'anticipe que le r�chauffement de l'atmosph�re va aider � mieux se rendre compte � quel point une lance africaine est efficace. Tout ce petit monde a maintenant p�n�tr� mon antre. Pas besoin de vestiaire, droit au buffet.

Le roi des animaux, John, se dirige naturellement vers les morceaux de poulet et de pintade ; il saisit un os qu'il met en travers de sa bouche. Tarzan tient � montrer que c'est lui le roi de la jungle : il attrape d�j� le roi des animaux par le bassin pour le mettre � quatre pattes. Le combat simul� entre le lion et Tarzan est plein d'�nergie et le guerrier Masai participe par ses cris r�p�t�s : " Ouh ! Wah ! Ouh ! Wah ! " qui rythment le combat. Lorsque Tarzan soumet enfin le lion, il le met � quatre pattes et demande le concours de Souma pour retenir les cris du lion John. Tarzan derri�re John a pris un saucisson pour frotter le cul de ce lion auquel il a arrach� sa peau de b�te. Pour l'emp�cher de rugir, le guerrier Masai enfourne sa lance de chair maintenant raide et de taille plus que respectable dans la gueule du lion. Je profite du spectacle de ces trois beaux mecs et me caresse d�j� sous le tablier. Le saucisson passe dans la raie du lion : son diam�tre est imposant.
Tarzan lui compare son sexe de 20 cm : il d�cide que le lion ne m�rite pas l'humiliation du saucisson et s'appr�te � l'enfiler avec son chibre turgescent. Je lui propose du yaourt et de la cr�me au chocolat pour lubrifier la rondelle du lion : il en enduit fesses et raie abondamment avec ses doigts et sa langue et me fait signe de l�cher tout �a � mon tour.

Me voil� maintenant dans l'action, tandis que de l'autre c�t�, des " slurppp " , des d�glutissements et des g�missements t�moignent que Souma prend du plaisir � la fellation que lui imprime le lion John. Le yaourt et le chocolat ont la saveur du cul de John dont les fesses sont maintenant bien ouvertes. Le roi des animaux va conna�tre le plaisir : Tarzan enfourne d'un seul coup son chibre volumineux entre les fesses du lion qui crie et l�che la bite de Souma le Masai. Les coups de boutoir de Tarzan se font de plus en plus rapides et son souffle devient de plus en plus rauque et saccad� : c'est bien lui le roi de la jungle ! Souma ne peut plus mettre sa queue dans la bouche de John qui g�mit de plaisir : il choisit de se tourner alors vers son h�te le cuisinier. Ce cuisinier qui n'est autre que moi et dont le cul est laiss� � l'air par le tablier ! Le guerrier Masai n'a que faire de ce tablier qui lui g�ne l'acc�s � tous les attributs de sa proie : il s'en d�barasse en l'arrachant ; le guerrier est maintenant pr�t � montrer sa force et me plaque contre le sol en s'�tendant sur moi. Il me tra�ne sur le sol pour me mettre devant le nez du lion ; ma queue raide tra�ne sur le carrelage dont le contact me fait frissonner ; Souma me rel�ve et m'oblige � me mettre � quatre pattes : il a envie d'une levrette. Me voil� face au lion qui subit encore les assauts de Tarzan tandis que je sens le sexe de Souma frotter ma rondelle. Je serai bient�t dans le m�me �tat que le lion ! Mais non, car Tarzan pousse un cri de jouissance et inonde le cul de John de son sperme chaud. En sueur, Tarzan se s�pare du lion et se rel�ve pour reprendre des forces au buffet. Je croyais que le lion John allait faire de m�me, mais il rugit et vient se placer derri�re moi � cot� de Souma le Masai. Un lion humili� peut �tre terrible ! Alors que Souma a d�j� pr�par� mon trou, je comprends que je vais subir l'assaut de deux bites simultan�ment. Et, en effet, Souma r�unit sa queue et celle du lion dans sa main ; apr�s quelques mouvements de branle qui font g�mir le lion, Souma fourre le tout dans mon trou qui a du mal � laisser passer cette double p�n�tration . Apr�s quelques secondes de douleur, c'est le plaisir qui m'envahit : que c'est bon de sentir ces deux chibres qui se touchent et se frottent dans mon cul. Bien vite, la chaleur est mont�e dans le corps des deux mecs qui se roulent des pelles au-dessus de moi en se pin�ant les pectoraux, et qui vont bient�t se servir de moi comme d'une r�serve de sperme chaud.

Apr�s des coups de boutoir implacables, tous deux jouissent en m�me temps dans mon trou, m�langeant leurs liquides. Tarzan qui a d�j� joui dans le lion nous regarde avec envie. " A moi, � moi " nous lance-t-il. Mais ce n'est pas mon cul qu'il aura. Nous le saisissons tous les 3 et le maintenons fermement sur le dos. Je lui saisis la queue et commence � le branler vigoureusement, tandis que Souma masse son torse et passe sa queue encore baveuse sur le visage et les l�vres de l'homme au pagne. La queue de Souma doit sentir l'odeur de mon cul et celle de la bite de John ; elle doit aussi �tre assaisonn�e de la mouille de mon cul et du sperme de John : Tarzan s'en r�gale manifestement. De son c�t�, John, le roi des animaux, voit sa revanche arriver. Un concombre un peu dur fera office de gode ! Il s'assoit sur le ventre de Tarzan en m'�cartant de son sexe, puis lui empoigne la queue d'une main forte et se pr�pare � enfoncer le concombre dans le cul du roi de la jungle. Souma et moi-m�me nous mettons � genoux et commen�ons � nous branler sur Tarzan. John introduit enfin le l�gume dans l'orifice �troit de Tarzan qui serre des dents et grimace sans g�mir. Deux sexes vont bient�t livrer leur jus sur le torse et le visage de Tarzan, tandis que John laisse le gode naturel d�passer du post�rieur de Tarzan et enferme dans chacune de ses mains son sexe et celui du roi de la jungle. Quatre membres bien raides vont d�verser leur jus sur le corps de Tarzan qui se cambre lorsque les flots de sperme s'�coulent sur lui. Le foutre enduit tout son corps, et plut�t que d'aller nous d�salt�rer au buffet, nous d�cidons de l�cher le torse, le visage et la queue de Tarzan pour �tancher notre soif avec un liquide non pr�vu au menu initial. Le concombre d�passe toujours des fesses de Tarzan et l'un de nous s'arr�te de l�cher pour saisir le gode pour le faire coulisser comme un chibre. Tarzan se tord de plaisir : il n'en peut plus. John enl�ve alors le gode d'un cul qui
a mouill� comme jamais et le remplace imm�diatement par deux doigts qui vont fouiller des fesses si bandantes. Nous voil� tous �puis�s par le plaisir, et chacun s'�tend maintenant par terre hors d'haleine, bite pendante et couilles vides.

Il ne reste plus qu'� faire honneur au buffet pour reconstituer les forces qui nous ont momentan�ment abandonn�es. Contrairement � l'habitude, la galette des rois d�signera le perdant qui devra s'acquitter du prochain gage : une branlette nu sur le balcon et qui devra �tre ex�cut�e jusqu'� jouissance compl�te ! Tant pis si des voisins ou des passants ont le regard attir� par le spectacle, et puis il n'y a pas beaucoup de risque : il est d�j� tard et la nuit est bien noire.

Je ne sais plus qui a eu la f�ve mais ce que je sais, c'est que la solidarit� a �t� la plus forte. Plut�t que de laisser un seul d'entre nous s'exhiber au balcon, nous sommes sortis tous les quatre et nous nous sommes branl�s tous en rond laissant s'�chapper les uns sur les autres des jets de sperme chaud que nous avons chacun bien �tal�s sur nos corps nus piqu�s par le froid. Des douches multiples, jamais en solo, se sont succ�d�es pour r�chauffer nos corps et parfois nos ardeurs. Mon grand lit a accueilli quatre mecs dans une nuit que je ne vous raconterai pas cette fois, mais d'o� le sommeil n'a pas �t� le principal acteur.

Difficile d'imaginer le nombre de capotes utilis�es ce jour et cette nuit-l�. Car, nous avions tous envie de pouvoir recommencer � une autre occasion ; et chacun de nous a toujours �t� par� d'un tout petit v�tement de latex souvent remplac� tout au long de la soir�e et de la nuit.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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