Cyrillo

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"La f�te au village"

C'�tait lors d'un retour de nuit en pleine campagne. Je roulais depuis bien 4
heures et il devait �tre 11 heures du soir. Je commen�ais � somnoler et je
priais pour trouver un caf� ouvert pour faire une pause, boire un caf�, et pour
tout dire, pisser un coup! Vu le paysage qui d�filait, cela semblait peine
perdue: une succession de champs, de bois...pas une baraque!

Je marmonnais que c'�tait vraiment une r�gion � la con lorsque j'arrivais dans
un village (friqu� sans doutes vu la d�co du bled). Je vois une esp�ce de
restau caf� allum� avec un bordel du diable � l'int�rieur. L�, je me dis que la
pause est arriv�e! Je me pr�sente � la porte d'o� le tenancier m'envoie chier
car c'est une soir�e de mariage priv�e. Pas de bol! Je retourne � ma bagnole,
m'assois sur le capot pour me fumer un clope. C'est alors que je m'aper�ois
qu'il y a des toilettes publiques dans un renfoncement de la place publique.

Machinalement, j'y vais pour pisser et me passer un coup de flotte sur la
tronche pour me r�veiller un peu. Je me pr�sente devant une pissoti�re et je
commence � pisser quand un type en costard d�braill�, brun, assez grand, 35-40a,
genre "cadre dynamique", se place en face de la pissoti�re � cot� de moi. Il
sort sa bite et commence � uriner. On se regarde, au bout d'un moment, il hoche
la t�te en faisant la moue. En se penchant en avant pour voir ma queue et en
arri�re pour voir mon cul dans mon jean moulant, il me dis "pas mal!". J'avais
devin� deux choses: d'une part que je lui plaisais et que d'autre part c'�tait
un des invit�s du restau qui �tait sorti prendre l'air.

J'avais ma queue dans ma main et ce type venait de me complimenter sur mon cul
et je sentais que je n'allais pas tarder � bander. D'un coup, il se retire de la
pissoti�re d'o� il �tait, mais sans refermer son slip ni son pantalon. Intrigu�,
je me retourne et je le vois adoss� au mur derri�re moi, se caressant la bite
de la main droite et le torse sous sa chemise de l'autre main. cela m'a
subitement excit�: "�a te pla�t de t'exciter en regardant mon cul comme �a ?".

Lui:"excuse, cela ne m'arrive pas souvent, mais tu as un beau cul, t'inqui�te
pas, je fais que me branler. Tu pourrais bouger tes fesses ? allez s'il te
plait..."

Moi, je commen�ais r�ellement � bander. je bougeais mes fesses d'un mouvement
circulaire horizontal en passant ma main sur mes fesses et de l'autre main, je
me branlais. Je lui pr�parais un truc pour le faire exploser: doucement, d'une
main, je baissais mon pantalon et mon slip de sorte que je me retrouve les
fesses � l'air. Je le regardais en tournant la t�te, en souriant et en me
passant la langue sur les l�vres.

Lorsque j'avais baiss� mon pantalon, il se pr�cipita � genoux derri�re moi en me
suppliant "je peux toucher ? Je peux toucher ?".

Il prit mes fesses � pleines mains pour les p�trir, passant sa langue sur
chacune d'elle. Doucement, il m'�carta les fesses pour me faire la fente avec sa
langue. Moi, je bandais comme un malade en me branlant, persuad� que personne ne
ferait irruption dans ce bled paum� � cette heure-ci.

Il se releva et prit ma queue d'une main pour accompagner mes mouvements. Il
l�chait mon coup et ma nuque. De l'autre main, il caressait mes fesses et
laissait se balader un doigt dans ma fente.
Sa bite chaude �tait contre ma hanche.

Je me baissais alors pour voir de plus pr�s cette queue. C'�tait une queue
l�g�rement courb�e vers le haut, le gland d�calott� tr�s clair et une veine
bleue qui zigzaguait curieusement. Pour rire j'essayais de la plier en deux:
impossible! "Eh bien dis donc! Je te fais de l'effet!" lui dis je. "Tu n'as pas
envie de savoir quel go�t elle a?" me dit il.

Sur ce, je m'ex�cutais: je prenais en bouche sa verge dure . Il sentait
magnifiquement bon (un parfum pour homme cher je pense) et cela se mariait au
petit go�t sal� de son gland d� � son tout r�cent jet d'urine. je passais mon
nez le long de sa queue pour sentir l'odeur changer: du pubis au gland: du
parfum subtil vers l'odeur de "m�le".
Je renfournait alors sa queue dans ma bouche en lui massant les couilles. Avec
un peu d'exercice, j'arrivais � avaler sa bite jusqu'� ce que mon nez atterrisse
dans ses poils pubiens.

Il semblait pr�t � jouir et se retira en me disant "attends, attends!!!". Il se
posait sur le bord de l'�vier des chiottes et se masturba lentement comme pour
se calmer.

Lui:"Si tu le voulais, je te prendrais bien les fesses tellement tu m'excites!"

Moi:"Si tu as des capotes, mes petites fesses sont � toi" lui dis-je, excit�, en
lui faisant un clin d'oeil.

Lui:"attends! J'en ai dans mon portefeuille!"

Pendant qu'il cherchait dans sa veste pos�e sur l'�vier, j'entretenais la duret�
de sa queue en le branlant, en lui caressant le dos et en lui embrassant la
nuque. A nos deux mains, nous lui mettions la capote sur la queue.

Lui:"comment tu veux...Quelle position tu veux ?"

Moi:"Debout, contre le mur..."

Lui:"attends!"

A ce moment, il se dirige vers le d�versoir de savon liquide de l'�vier (riche
la commune, riche!) et me beurre les fesses d'un doigt, puis deux. C'est
marrant, ce savon liquide ressemble par sa couleur � du sperme.

Je me place debout face au mur, prenant de chaque main les tuyaux de deux
pissoti�res. Il balade verticalement son gland entre mes fesses comme pour
simuler une recherche d'entr�e... J'ai l'entrefesses grasse et la fente
lubrifi�e avec les moyens du bord. J'�cartes comme je peux mes fesses avec mes
deux mains, je veux lui signifier clairement "le chemin � suivre". Son gland
rencontre ma rosette.

Il me p�n�tre doucement, je l�che un r�le de bonheur, j'ai l'impression que sa
queue grossi � mesure qu'il me p�n�tre. Il l�che un souffle et instinctivement,
je me caresse les couilles et je sens les siennes coll�es aux miennes: il est
entr� enti�rement en moi! Pas une douleur, rien! Que du plaisir gr�ce � cette
"lubrification" de fortune! Il commence ses allez retours et je prends plaisir �
poser mon index � la naissance de mes fesses pour sentir son sexe allez et
venir.

Au bout d'un moment, le cul rod�, je lui dis: "sors et rentre! sors et rentre!".
Je veux retrouver la sensation du moment o� il enfourne sa queue dans mes
fesses. Il s'excecute et fait une s�rie rythm�e d'entr�e-sortie" qui m'usent de
plaisir. Un peu provocateur, je lui sors:"Ah mon salaud! Tu les aimes mes
fesses!". Lui:"Ooooh! Ma queue dans ton petit cul!"

Soudain, un homme d'une soixantaine d'ann�e fait irruption et je me braque un
peu. Le propri�taire de la queue qui me pilonne les fesses me chuchote �
l'oreille "t'inqui�te pas, c'est le vieil Henry, un vieil obs�d� insomniaque qui
vient mater les mecs pisser" et gueule au vieux: "dis donc Henry! T'as encore
jamais vu �a ici, hein?".
Je me prends au jeu et je fais des clin d'oeil, des bisous, des passages de ma
langue sur mes l�vres en direction du vieux pendant que je me fais travailler
les fesses. J'augmente l'excitation en faisant aller et venir mes mains sur les
tuyaux des pissoti�res au rythme des allez retours de cette queue dans mes
fesses. En gros, je l'allumais � mort!

Le vieux, hypnotis�, les yeux �carquill�s, sorti sa bite et commen�ait a se
branler. Il bandait dur ce vieux cochon! Il se rapprocha de nous pour caresser
nos dos, nos fesses d'une main, tout en se branlant de l'autre. Je lui pris la
queue d'une main pour le branler, il �jacula vite, se rhabilla et parti
quasiment en courant le pantalon sur les chevilles. D�lire!

Moi, je n'en pouvais plus j'avais la queue dress�e, rouge, turgescente, pr�tre �
cracher cette overdose d'excitation. L'ami derri�re �tait endurant. je sentais
mes jambes flageoler sous le plaisir. Et soudain, j'ai �jacul� tout le contenu de
mes couilles sur le mur sans me toucher la queue!

A ce moment, mon "pilonneur" se retira et retira son pr�servatif. Je lui
proposais de le branler au-dessus de l'�vier et je fus le t�moin d'une belle
s�rie de gicl�es abondantes...

Nos esprits repris, nous avons fum� une cigarette. Et je lui posais la question:
"qu'est-ce que tu fous dans cette soir�e � la con?"

"Je suis le t�moin du mari�!"

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