Cyrillo

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Ferme -2-

Apr�s que Martin s'est branl� jusqu'� jouir dans ma bouche pendant que je simulais plus ou moins le sommeil, j'ai dormi jusque tr�s tard le matin. Je me suis r�veill� � onze heures pass�es, un go�t de sperme sur la langue. En me levant, j'ai pris une douche puis suis descendu en boxer � la cuisine.
Martin �tait en train d'y boire un caf�, il fit � peine attention � moi. Je lui dis bonjour nonchalamment, m'assois � c�t� de lui. J'�tais s�r de mon coup : il avait envie de moi.
- " Vous avez bien dormi ?
- Mm.
- Non ?
- Si.
- �a n'a pas l'air d'aller.
- Si.
- Moi j'ai tr�s bien dormi. En fait j'ai fait des r�ves �rotiques toute la nuit.
- Ah.
- Vous n'en faites jamais ?
- Si.
- Les miens �taient tr�s chauds. Surtout un dont je me souviens particuli�rement.
- Ah.
- Mais je n'ose pas vous le raconter.
- Bon.
- Vous ne voulez pas savoir ? Pourtant il vous concernait. "
Martin n'a rien dit. Il a gard� la t�te plong�e dans sa tasse. J'ai alors pos� une main sur sa cuisse, sans rien ajouter, et j'ai laiss� mes doigts remonter jusqu'� son sexe, doucement. Il a soudain pris ma main, s'est tourn� vers moi brutalement :
- " Qu'est-ce que tu veux ?
- La m�me chose que vous. "

Tout s'est alors pass� tr�s vite. Martin s'est jet� sur moi, m'a fait basculer par terre, a arrach� mon boxer et m'a malax� les fesses avec fureur en m'embrassant sauvagement. De sa main libre il maintenait mon poignet qu'il avait saisi sur sa cuisse. Je sentais sa langue sur la mienne, qui allait profond�ment dans ma bouche, de fa�on rude et brutale. Son �rection se devinait � travers le pantalon rugueux qu'il portait souvent pour travailler.

J'ai pass� une main sous son t-shirt pour caresser son torse, muscl�, plut�t poilu, viril. Il a pris cette main pour la faire descendre vers son sexe, je l'ai rapidement pass�e sous son pantalon, ai saisi sa bite qui me semblait encore plus longue et large que quand je l'avais entraper�ue la nuit. Je l'ai branl� comme je pouvais, puis il s'est redress� pour venir pr�senter cette queue � mes l�vres, la sortant de son fut et la mettant brutalement dans ma bouche. Je ne pouvais m�me pas le sucer, coinc� entre le sol et lui, alors il s'est mis de lui-m�me � me niquer la bouche en faisant entrer sa grosse bite bien profond�ment dans ma gorge ; son gland venait cogner contre ma glotte, il la ressortait presque enti�rement pour mieux la remettre toute enti�re dans ma bouche, de temps en temps il la laissait quelques secondes cal�e dans ma gorge et je sentais ses grosses couilles contre mon menton. Je g�missais comme une salope, subissant la fellation que je lui faisais.

Soudain, il s'est retir�, m'a retourn� violemment, m'a plaqu� sur le ventre contre le sol, et j'ai, comme la nuit pr�c�dente, senti ses doigts venir chatouiller ma raie, et s'enfoncer d'un coup en moi. Il en avait mis deux d'un coup, sans se soucier de savoir si j'avais mal, press� de m'ouvrir. Apr�s les avoir fait tourner tout au plus quinze secondes dans mon trou, il est venu caler son gland contre mon cul et a commenc� � forcer le passage. J'�tais excit� mais pas pr�par�, et il n'a pas r�ussi � entrer. Il a alors accentu� la pression pour faire entrer son sexe en moi, j'ai senti chaque centim�tre passer douloureusement, g�missant toujours mais moins de plaisir cette fois. Il est entr� comme �a, en for�ant, m'�cartant le cul de fa�on lente et r�guli�re, jusqu'� ce que sa queue soit toute enti�re en moi.

Il s'est arr�t� quelques secondes, puis a ressorti toute sa bite avant de revenir la mettre d'un coup sec. J'ai cri�, mais rien ne pouvait plus l'emp�cher de me niquer, et il m'a bais� comme une b�te, allant et venant brutalement, violemment dans mon petit cul. Il me maintient la t�te contre le sol d'une main ferme, tout en tenant une de mes fesses dans son autre main pour bien la maintenir �cart�e de l'autre et laisser son �norme pieu me p�n�trer de toute sa longueur. J'ai l'impression d'avoir le cul rempli par cette bite aux proportions d�lirantes, je g�mis comme une pute, il m'excite avec sa grosse queue qui me d�monte ; ce m�le en rut me baise en �go�ste, sans un mot, sans une caresse, comme s'il n'�tait l� que pour se vider les couilles.

Et il ne tarde en effet pas � jouir, il acc�l�re ses coups de reins en respirant plus fort, et enfin son sperme gicle dans mes entrailles, en longs jets puissants et chauds. Il reste quelques instants en moi, sans bouger, sa queue enfonc�e profond�ment entre mes fesses. Puis, aussi soudainement qu'il m'a p�n�tr�, il se retire, remonte son pantalon, et s'�loigne rapidement vers l'ext�rieur de la maison. Pendant une ou deux minutes, je ne peux pas bouger, encore sous le choc et comme �cras� par cette masse de muscles et de virilit�. Je me rel�ve p�niblement, et remonte prendre une douche.

Un peu plus tard, je retourne � la cuisine. Martin n'y est pas. Je d�jeune tranquillement sans le chercher : il doit regretter ce qui s'est pass�, inutile d'aller chercher des complications en lui parlant. Je sors dans le jardin bronzer un peu en maillot de bain, m'allonge dans l'herbe, ferme les yeux. Une ombre passe sur moi. J'ouvre les paupi�res, Martin est l�, debout, face � moi, l'air sombre.
- " Je voudrais te parler.
- Je vous �coute.
- Excuse-moi pour tout � l'heure. Je ne sais pas ce qui m'a pris.
- ...
- Je sais pas si t'en avais envie, j'ai l'impression de t'avoir un peu forc�. Et je suis d�sol� d'�tre parti comme �a. J'avais honte.
- Il n'y a pas de probl�me, j'en avais envie aussi, donc... Et puis c'est moi qui ai... Et puis je ne vous en veux pas d'�tre parti, je comprends.
- Tu n'es pas f�ch� alors ?
- Non, non, pas du tout !
- Bon, tant mieux ! "
Il avait retrouv� sa bonne humeur et son sourire. Il s'est assis � c�t� de moi.
- Tu vas commencer � me tutoyer alors !
- D'accord !
- Tu as aim� ?
- Carr�ment !
- Tu voudras qu'on recommence ?
- C'est clair !
- Alors je serai un peu plus tendre !
- Rassure-toi, j'ai ador� !
- T'es une vraie salope en fait ! Je vais encore te baiser comme une pute alors !
- Tout ce que tu veux... "

Martin s'est rapproch�, a pris mon visage entre ses mains, et m'a embrass�, tr�s doucement, tr�s tendrement. Sa langue caressait mes l�vres, s'immis�ait dans ma bouche, jouait avec la mienne, et je lui r�pondais tout aussi tendrement. Il a gliss� une main dans mon dos, je l'ai sentie descendre sur mes reins et passer sous mon maillot de bain. J'ai laiss� tomber mon visage sur son torse nu, je l�che ses t�tons et les petits poils qui les entourent, je descends progressivement vers sa bite que je vois d�j� raide � travers le m�me pantalon qu'il portait tout � l'heure. Il pousse ma t�te vers son sexe, je d�fais rapidement son fut et prends sa queue dans ma bouche, elle a toujours le go�t du sperme dont il m'a rempli il y a deux heures � peine, je la l�che, la suce, la pompe, il tient ma t�te pour diriger les vas et viens de ma bouche sur sa bite qu'il fait entrer jusque dans le fond de ma gorge, de son autre main il commence � me doigter, faisant � nouveau p�n�trer deux doigts directement, puis il les retire et me claque les fesses en m'insultant, me traitant de chienne, de pute, de petite salope suceuse de bites, il me frappe le cul plus violemment encore et me fait pomper pendant au moins dix minutes jusqu'� enfoncer une derni�re fois son gland bien profond�ment dans ma bouche pour y cracher son jus que j'avale goul�ment.

Il se vide dans ma bouche, puis me lance " L�che ". Je l�che alors toute sa bite qui perd de sa vigueur mais reste large, je l�che tant qu'il y reste du sperme, et m�me apr�s je continue � l�cher doucement, tendrement. Il a cess� de me frapper et me caresse � pr�sent, puis attire mon visage vers le sien et m'embrasse encore. Nous restons quelques instants, moi dans ses bras, la t�te sur son torse, et je m'endors ainsi.

Quand je me r�veille, le soleil a d�j� commenc� � baisser. Martin n'est plus l�. Je me l�ve, regarde l'heure dans le salon : il est dix-huit heures. Je vais chercher Martin dans le jardin, finis par le trouver dans son atelier, o� il mart�le encore un de ses innombrables morceaux de t�le.

Je vais vers lui, l'enlace, il l�che son marteau, me prend dans ses bras, m'embrasse, caresse mon corps ; d�j� je sens contre moi son sexe qui bande � nouveau, il me retourne, je m'appuie contre un plan de travail, me cambre, il fait glisser mes boxer � mes pieds, enl�ve son pantalon, et fait coulisser sa verge contre mes fesses. J'�carte les cuisses, il mouille ses doigts avec sa salive puis me doigte un peu mais je suis si excit� que ce n'est pas n�cessaire. Il prend sa bite dans sa main et place son gland contre mon trou qui est serr� comme toujours mais sa grosse queue me p�n�tre d�j�, il rentre sans vraiment de difficult�s tant je suis chaud, bient�t je sens qu'il est tout entier en moi, il me tient fermement par les hanches et d�j� effectue des vas et viens brutaux, aussi bestiaux que le matin m�me, enfon�ant toute sa queue dans mon cul qui ne demande que �a, je g�mis de plus en plus fort, ses couilles claquent conte mon cul, il me d�fonce violemment, me faisant crier de plaisir sous ses coups de queue puissants.

Apr�s cinq minutes de ce traitement il �jacule en moi, me remplissant encore de son sperme chaud, puis maintient sa bite enfonc�e entre mes fesses pour emp�cher son jus de couler. Il embrasse mon cou, mes �paules, je tourne la t�te vers lui pour lui tendre ma bouche qu'il embrasse aussi...
A nouveau, nous ne bougeons plus, coll�s l'un contre l'autre, ses bras puissants m'enserrent, son torse sur mon dos, je sens sa sueur couler sur ma peau, sa t�te s'enfouit dans mon cou, immobile.

Nous avons pass� la soir�e � parler encore, � nous raconter encore, � nous embrasser encore aussi ; cette nuit-l� il a dormi avec moi dans ma chambre, nous avons encore fait l'amour avant de nous endormir et il m'a r�veill� t�t le matin avant d'aller travailler pour que je le suce jusqu'� ce qu'il se vide les couilles dans ma gorge. Je me suis rendormi la bouche pleine de sperme.

Les jours suivants, tout allait bien. Nous �tions tr�s complices, il �tait plus pr�sent qu'avant, mais je le laissais aussi travailler. Nous baisions sans cesse, le matin, � midi, l'apr�s-midi, le soir, la nuit ; et partout, dans la maison, dehors, dans son atelier, dans l'�table, dans l'�curie... Il �tait parfois tendre, parfois brutal, souvent les deux en m�me temps. Il alliait ce m�lange de gentillesse et de domination, d'attentions et de vulgarit� quand il me prenait.

Il �tait insatiable, toujours en rut, les couilles toujours pleines. Il me caressait plus �galement, et souvent, une fois qu'il avait jouit, il me branlait, ou me doigtait pour que je me branle jusqu'� jouir � mon tour.

Un soir, cela faisait dix jours que j'�tais chez lui, il m'a dit que les quelques jours restants allaient �tre diff�rents. Le copain de sa fille arrivait le lendemain pour l'aider dans son travail, et il dormirait dans la maison, serait sans cesse l� ; donc, �videmment, il allait devoir �tre plus discret. Je comprenais, m�me si j'�tais frustr�. Son sexe allait me manquer, mais aussi lui dans son ensemble, avec l'excitation et la pr�sence, la douceur qu'il m'apportait. Cette nuit-l�, il m'a bais� encore plus sauvagement que d'habitude. Il m'a pris si brutalement, sans me pr�parer du tout, que j'ai eu mal au point de hurler, mais �a ne l'a pas arr�t�. Il a continu� jusqu'� avoir d�vers� tout son sperme au fond de moi, puis est rest� en moi toute la nuit.

Le lendemain, je me suis r�veill� seul. En descendant dans la cuisine, j'ai vu par la fen�tre Martin avec un type de vingt-cinq ans environ, grand, mince, typ� rebeu. Ce devait �tre le copain de sa fille. Il m'a plu tout de suite, avec son air de racaille de campagne. Alors que je les regardais tous les deux, mon excitation est revenue.
Plus tard dans la journ�e, j'ai fait la connaissance de Karim, le " gendre ". Il �tait tr�s sympa, parlait beaucoup, ne connaissait rien � Paris et m'a �cout� lui raconter ma vie. Je n'ai rien dit de mes relations avec Martin, �videmment, mais j'ai ouvertement affich� que j'�tais gay. Il s'en foutait, il m'a m�me dit qu'il avait un pote bi et qu'il connaissait plus ou moins un gay � Bordeaux. Nous avons d�n� tous les trois, puis je suis all� me coucher. Pendant la nuit, Martin est venu se vider dans mon cul, rapidement, en m'appuyant la t�te dans mon oreiller pour �touffer mes g�missements. Il est parti tr�s vite. Apr�s quelques minutes, je suis descendu me servir un verre d'eau, nu, s�r que tout le monde dormait. Dans l'escalier, j'ai crois� Karim. J'ai aussit�t cach� mon sexe, mais il a sourit et m'a dit : " T'inqui�te, si je veux te mater c'est pas �a que je vais regarder, c'est l'autre c�t�. ". J'ai rougi et suis remont� pr�cipitamment dans ma chambre. Karim a ouvert la porte, et m'a lanc� : " Faut pas t'enfuir la prochaine fois ! " puis il est reparti.

Pierre 24 ans.

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