Cyrillo

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Ferme

L'�t� dernier, je devais partir en vacances avec un ami. Nous avions rep�r� un coin sympa du c�t� de Bordeaux, et trouv� une chambre d'h�te libre dans une ferme. �a nous semblait id�al : nous pourrions sortir en ville puis dormir au calme, loin du bruit. Mais au dernier moment, mon ami m'appelle : il ne pourra pas venir, il est coinc� � Paris pour des histoires de famille. D��u, je d�cide de partir quand m�me ; apr�s tout, je ferai s�rement des rencontres sympas, et je ne passerai certainement pas ces deux semaines tout seul !

Je prends donc le train, arriv� � Bordeaux je me renseigne pour savoir si des cars desservent le village o� se trouve la ferme. J'apprends alors que c'est � peine un village, que la ferme est tr�s isol�e, et qu'elle est beaucoup plus loin de Bordeaux que ce que je pensais ! Heureusement, je trouve un taxi pour m'y emmener, mais j'imagine d�j� les gal�res pour sortir le soir : c'est mon ami qui devait venir avec sa voiture ; seul je suis beaucoup moins libre de mes d�placements.

Apr�s une heure de route, le taxi me d�pose � la ferme. C'est vrai qu'elle est tr�s isol�e, mais il s'en d�gage un charme fou. C'est une veille b�tisse entour�e de champs, avec des vaches, des canards, une rivi�re, plusieurs d�pendances... Une ferme tr�s ferme, en somme. Le taxi s'�loigne, je rentre dans la cour avec mes valises, appelle : " Il y a quelqu'un ? "
Silence. Je pousse la porte de ce qui semble �tre la maison principale, et p�n�tre dans un salon � l'ancienne, assez poussi�reux. Je laisse l� mes bagages et ressors faire le tour de la maison. � l'arri�re se dresse une sorte de remise dont la porte est ouverte. Des bruits en sortent. Je passe la t�te. Un homme d'une petite quarantaine d'ann�es, peut-�tre 35, est l�, � donner des coups de marteau sur un grand morceau de t�le. Il est torse nu, en jean, luisant de sueur ; il ne fait pas attention � moi. J'en profite pour admirer son corps muscl� et viril, ton torse couvert d'une l�g�re toison pas trop �paisse et bien r�partie.

� c�t� de lui, je me sens nettement moins masculin, avec mon corps mince et ma peau imberbe. Je m'approche un peu, il me remarque enfin, et, laissant son marteau en l'air :
- " Qu'est-ce que vous voulez ?
- Bonjour ! Je m'appelle Pierre, j'ai r�serv� une chambre chez vous sur Internet... Nous devions �tre deux, mais je suis seul finalement...
- Une chambre ? Je n'ai pas de chambre � louer ici. Vous devez vous tromper. "
Je sors alors mes papiers de r�servation et les lui montre. Il les consid�re un instant, puis :
- " C'est pas ici. La ferme s'appelle pareil, mais celle que vous cherchez est au nord de Bordeaux. Vous �tes descendu c�t� Sud l�.
- Mais... Mon taxi est parti, comment je vais retourner l�-bas ? Il est 8 heures sur soir, le temps d'en faire venir un autre, de rejoindre Bordeaux puis d'aller jusqu'� l'autre ferme, il sera presque minuit !
- Ah, vous n'avez pas de voiture ? Bon, pour cette nuit je peux vous trouver une chambre ici, mais ne vous attendez pas � du tout confort. Vous repartirez demain matin.
- Merci beaucoup ! C'est tr�s gentil de votre part ! "
Sans rien dire de plus, il m'accompagne jusqu'� sa maison. Il a l'air de tiquer un peu en voyant mes deux grosses valises, mais en prend une en main puis me pr�c�de dans l'escalier. Arriv� au premier �tage, il ouvre la porte d'une petite chambre.
- " Voil�, c'est l�. Il y a une salle de bain derri�re la porte � c�t�, � droite. Si vous voulez prendre une douche... Je dois retourner travailler. Vous avez d�n� ?
- Non. Si vous avez de quoi faire, je peux m'en occuper tout seul, ne vous inqui�tez pas. Vous me direz combien je vous dois.
- Je d�ne � 21 heures. Vous n'avez qu'� d�ner avec moi. Je vous retrouve dans la cuisine tout � l'heure.
- Entendu ! Encore merci ! "
Il referme la porte. Il est gentil, mais il n'a pas souri une seule fois, et malgr� sa proposition je sens bien qu'il n'est pas enchant� de m'avoir ici. Mais bon, c'est juste pour nuit.... Je sors d'une valise ma serviette et ma trousse de toilette, puis file sous la douche. � 21 heures, je suis lav�, chang�, et je descends � la cuisine.

Il avait mis deux couverts sur une table en bois, et pr�par� une omelette de pommes de terre. Je n'osais pas trop lui parler, parce que lui-m�me restait silencieux. Pour d�tendre un peu l'atmosph�re, je lui tendis une bouteille de vin que j'avais apport�e pour mes h�tes (tant pis, je leur en ach�terai une autre !). Il a enfin eu un sourire, a grommel� un " merci ", et l'a ouverte. Nous nous sommes mis � table, je lui ai pos� des questions sur sa ferme, son m�tier... Il s'appelle Martin, m'a expliqu� qu'il avait achet� cette ferme avec sa femme, il y a 10 ans, mais qu'il y travaillait presque seul depuis leur divorce. Il engageait des aides quelques fois pendant les p�riodes o� il y avait beaucoup de travail, et le copain de sa fille venait �galement lui donner un coup de main de temps en temps pendant les vacances. Je lui ai �galement un peu parl� de moi, mais sans lui dire clairement que j'�tais gay.

Je lui explique que j'ai 24 ans, que je suis �tudiant, que je voulais passer des vacances sympa avec mon pote, et que l� je flippe un peu de passer deux semaines dans une ferme isol�e, si l'autre l'est autant que celle-ci. �a fait rire mon fermier, qui me confirme que l'autre ferme est loin de tout ! Devant ma t�te d�pit�e, il me ressert un peu de vin. Nous parlons chacun plus facilement, il sourit et rit de plus en plus, et je me raconte plus, laissant sous-entendre que j'aime les mecs mais sans le dire explicitement. Vers minuit, nous d�cidons d'aller nous coucher.

Le lendemain, je me r�veille aux alentours de 9 heures. Ouvrant la fen�tre, je le vois qui s'active � c�t� d'une �table, toujours torse nu. Je vais dans la salle de bain prendre une douche, sous laquelle je reste une bonne vingtaine de minutes, jusqu'�... ce qu'il n'y ait plus d'eau chaude. Quand je sens un jet d'eau froide sur ma peau, je pousse un cri et me rue hors de la douche. Martin ne tarde pas � frapper � la porte : " Quelque chose ne va pas ? ". J'enfile ma serviette autour de ma taille et lui ouvre : " Il n'y a plus d'eau chaude apparemment. J'ai �t� surpris par le froid. ". Martin s'est mis � rire, a ouvert l'eau.
- " Tu as vid� le ballon. Il faudra attendre un peu avant d'avoir � nouveau de l'eau chaude.
- J'ai vid� le ballon ? Je suis d�sol�, je ne voulais pas...
- C'est pas grave, �a reviendra vite. Mais t'as d� rester longtemps sous la douche, parce qu'il y a un sacr� r�servoir quand m�me...
- Je ne sais pas, peut-�tre vingt minutes...
- Vingt minutes de jet ? Pas �tonnant que tu l'ai vid�. "

Sur cette derni�re phrase, Martin m'a fait un clin d'oeil. Il y avait �videmment une allusion tr�s lourde, et je me suis senti tr�s g�n�. J'ai d� rougir, parce qu'il a ajout� :
- " Excuse-moi, c'�tait pas tr�s fin. J'ai cru comprendre que tu �tais gay, j'ai juste voulu faire un peu d'humour. Je voulais pas te mettre mal � l'aise.
- Non, pas de souci. Je vais m'habiller, et puis je dois partir apr�s si je veux arriver t�t � l'autre ferme.
- Ah, oui... J'avais oubli�. � plus tard alors. "
Il est sorti, et je me suis rapidement habill�, avant de descendre. Martin �tait dans le salon.
- " Tu sais, si tu as envie tu peux rester. �a me fait de la compagnie, et on a bien discut� hier soir.
- Je ne voudrais pas vous d�ranger. Vous avez du travail.
- Tu ne me d�ranges pas dans mon travail, mais je n'ai pas l'habitude de recevoir, alors peut-�tre que tu pr�f�res le confort d'une vraie chambre d'h�te.
- Non, je suis bien ici. De toute fa�on, l'autre ferme est aussi isol�e. Mais je dois vous d�dommager pour tout �a.
- On verra �a plus tard. �a me fait plaisir que tu restes ! Je dois me remettre au travail pour le moment. "

Martin est ressorti, et j'en ai profit� pour faire un tour dans les champs. Les jours suivants, nous avons encore bien discut�, je lui en ai dit un peu plus long sur moi, sur le fait que j'aimais les mecs ; il �tait tr�s ouvert l�-dessus. Je lui ai racont� que j'aurais bien �t� un peu plus en ville, y faire des rencontres, mais que finalement ces quelques jours de repos total �taient agr�ables. Il faut dire que je dormais comme une masse ici, et le bruit de son travail le matin ne me r�veillait m�me pas ! Il s'est �galement confi� de fa�on plus intime, disant que cette solitude �tait dure � g�rer, que ma pr�sence lui faisait du bien.

Un soir, je sortais de la salle de bain, ma serviette gliss�e autour de la taille, quand j'ai crois� Martin qui s'y rendait. Il ne portait qu'une serviette �galement, et le couloir �tant �troit, nous avons d� nous serrer pour passer. J'ai senti la forme de sa bite contre mes hanches. Il ne bandait pas, mais la taille semblait cons�quente ! J'ai �t� troubl�, j'ai tr�buch�, et en tombant j'ai fait glisser sa serviette. Il s'est retrouv� � poil devant moi. J'�tais terriblement g�n�, mais je n'ai pas pu m'emp�cher de mater sa bite, tr�s belle, et ses couilles, lourdes. Il a souri, puis est rentr� dans la salle de bain. Je me suis couch� en fantasmant sur sa queue.
Le lendemain matin, en me r�veillant, j'ai senti quelque chose de poisseux sur mon visage. J'ai voulu m'essuyer. L'odeur et la consistance �taient celles du sperme, froid et � moiti� s�ch�. J'ai pens� que j'avais d� me branler pendant la nuit, et gicler si fort que �'avait atteint mon visage, sans que je m'en souvienne.

La journ�e s'est pass�e normalement, Martin �tait assez absent. Le lendemain matin, � nouveau, mon visage �tait couvert de sperme. Je me suis demand� s'il �tait venu se branler au-dessus de mon lit pendant la nuit, mais l'id�e �tait vraiment incroyable !
En me couchant la nuit suivante, j'�tais bien d�cid� � ne pas dormir. Et, en effet, en plein milieu de la nuit, la porte s'est ouverte sur Martin. Il s'est approch�, je n'ai pas boug�, faisant semblant de dormir. Je l'ai entendu baisser son cale�on, sortir sa bite et se masturber � quelques centim�tres de ma bouche. Je n'osais rien faire, mais j'�tais terriblement tent� de le sucer ! J'ai alors commenc� � pousser quelques g�missements, comme si je faisais un r�ve �rotique, j'ai entrouvert ma bouche, j'ai m�me �t� jusqu'� murmurer " Martin, c'est bon... Vas-y... Encore... Martin... ". Il ne lui a pas fallu longtemps pour d�charger et m'envoyer une bonne dose de sperme sur la gueule, une partie coulant m�me entre mes l�vres entrouvertes. Il est parti rapidement.

J'�tais maintenant certain que Martin �tait attir� par moi. J'ai alors d�cid� de tout faire pour qu'il ait envie d'aller plus loin, et je ne me suis pas g�n� la journ�e suivante pour sortir de ma douche enti�rement nu, pour m'allonger au soleil de fa�on provocante juste � c�t� de lui dans le jardin, et pour lui lancer des allusions. D'autant plus qu'il m'avait forc�ment entendu dire son nom pendant qu'il se branlait !

En me couchant ce soir-l�, je suis rest� � poil et j'ai d�fait mes draps pour �tre enti�rement d�couvert. Quand la porte s'est ouverte et que Martin est entr�, j'�tais allong� sur le ventre, le cul cambr�, le visage tourn� vers lui, les yeux ferm�s �videmment. Comme la nuit pr�c�dente, il s'est caress� juste au-dessus de mon visage. J'ai senti sa main gauche sur mes reins, puis sur mes fesses, j'ai l�g�rement �cart� les cuisses, et ai repris mes murmures de plaisirs et mes " Martin... Oui... Encore... ". Il a alors �t� jusqu'� enfoncer un doigt entre mes fesses, puis deux, je sentais son gland qui approchait de mes l�vres, j'ai doucement sorti ma langue et il s'est branl� dessus, tout en me doigtant avec deux, puis trois doigts, il a l�g�rement enfonc� sa bite dans ma bouche et a soudain joui, me remplissant la bouche de son jus.

Il est parti le plus silencieusement possible.

Pierre 24 ans.

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