FermeL'�t� dernier, je devais partir en vacances avec un ami. Nous avions rep�r� un coin sympa du c�t� de Bordeaux, et trouv� une chambre d'h�te libre dans une ferme. �a nous semblait id�al : nous pourrions sortir en ville puis dormir au calme, loin du bruit. Mais au dernier moment, mon ami m'appelle : il ne pourra pas venir, il est coinc� � Paris pour des histoires de famille. D��u, je d�cide de partir quand m�me ; apr�s tout, je ferai s�rement des rencontres sympas, et je ne passerai certainement pas ces deux semaines tout seul ! Je prends donc le train, arriv� � Bordeaux je me renseigne pour savoir si des cars desservent le village o� se trouve la ferme. J'apprends alors que c'est � peine un village, que la ferme est tr�s isol�e, et qu'elle est beaucoup plus loin de Bordeaux que ce que je pensais ! Heureusement, je trouve un taxi pour m'y emmener, mais j'imagine d�j� les gal�res pour sortir le soir : c'est mon ami qui devait venir avec sa voiture ; seul je suis beaucoup moins libre de mes d�placements. Apr�s une heure de route, le taxi me d�pose � la ferme. C'est vrai qu'elle est tr�s isol�e, mais il s'en d�gage un charme fou. C'est une veille b�tisse entour�e de champs, avec des vaches, des canards, une rivi�re, plusieurs d�pendances... Une ferme tr�s ferme, en somme. Le taxi s'�loigne, je rentre dans la cour avec mes valises, appelle : " Il y a quelqu'un ? " � c�t� de lui, je me sens nettement moins masculin, avec mon corps mince et ma peau imberbe. Je m'approche un peu, il me remarque enfin, et, laissant son marteau en l'air : Il avait mis deux couverts sur une table en bois, et pr�par� une omelette de pommes de terre. Je n'osais pas trop lui parler, parce que lui-m�me restait silencieux. Pour d�tendre un peu l'atmosph�re, je lui tendis une bouteille de vin que j'avais apport�e pour mes h�tes (tant pis, je leur en ach�terai une autre !). Il a enfin eu un sourire, a grommel� un " merci ", et l'a ouverte. Nous nous sommes mis � table, je lui ai pos� des questions sur sa ferme, son m�tier... Il s'appelle Martin, m'a expliqu� qu'il avait achet� cette ferme avec sa femme, il y a 10 ans, mais qu'il y travaillait presque seul depuis leur divorce. Il engageait des aides quelques fois pendant les p�riodes o� il y avait beaucoup de travail, et le copain de sa fille venait �galement lui donner un coup de main de temps en temps pendant les vacances. Je lui ai �galement un peu parl� de moi, mais sans lui dire clairement que j'�tais gay. Je lui explique que j'ai 24 ans, que je suis �tudiant, que je voulais passer des vacances sympa avec mon pote, et que l� je flippe un peu de passer deux semaines dans une ferme isol�e, si l'autre l'est autant que celle-ci. �a fait rire mon fermier, qui me confirme que l'autre ferme est loin de tout ! Devant ma t�te d�pit�e, il me ressert un peu de vin. Nous parlons chacun plus facilement, il sourit et rit de plus en plus, et je me raconte plus, laissant sous-entendre que j'aime les mecs mais sans le dire explicitement. Vers minuit, nous d�cidons d'aller nous coucher. Le lendemain, je me r�veille aux alentours de 9 heures. Ouvrant la fen�tre, je le vois qui s'active � c�t� d'une �table, toujours torse nu. Je vais dans la salle de bain prendre une douche, sous laquelle je reste une bonne vingtaine de minutes, jusqu'�... ce qu'il n'y ait plus d'eau chaude. Quand je sens un jet d'eau froide sur ma peau, je pousse un cri et me rue hors de la douche. Martin ne tarde pas � frapper � la porte : " Quelque chose ne va pas ? ". J'enfile ma serviette autour de ma taille et lui ouvre : " Il n'y a plus d'eau chaude apparemment. J'ai �t� surpris par le froid. ". Martin s'est mis � rire, a ouvert l'eau. Sur cette derni�re phrase, Martin m'a fait un clin d'oeil. Il y avait �videmment une allusion tr�s lourde, et je me suis senti tr�s g�n�. J'ai d� rougir, parce qu'il a ajout� : Martin est ressorti, et j'en ai profit� pour faire un tour dans les champs. Les jours suivants, nous avons encore bien discut�, je lui en ai dit un peu plus long sur moi, sur le fait que j'aimais les mecs ; il �tait tr�s ouvert l�-dessus. Je lui ai racont� que j'aurais bien �t� un peu plus en ville, y faire des rencontres, mais que finalement ces quelques jours de repos total �taient agr�ables. Il faut dire que je dormais comme une masse ici, et le bruit de son travail le matin ne me r�veillait m�me pas ! Il s'est �galement confi� de fa�on plus intime, disant que cette solitude �tait dure � g�rer, que ma pr�sence lui faisait du bien. Un soir, je sortais de la salle de bain, ma serviette gliss�e autour de la taille, quand j'ai crois� Martin qui s'y rendait. Il ne portait qu'une serviette �galement, et le couloir �tant �troit, nous avons d� nous serrer pour passer. J'ai senti la forme de sa bite contre mes hanches. Il ne bandait pas, mais la taille semblait cons�quente ! J'ai �t� troubl�, j'ai tr�buch�, et en tombant j'ai fait glisser sa serviette. Il s'est retrouv� � poil devant moi. J'�tais terriblement g�n�, mais je n'ai pas pu m'emp�cher de mater sa bite, tr�s belle, et ses couilles, lourdes. Il a souri, puis est rentr� dans la salle de bain. Je me suis couch� en fantasmant sur sa queue. La journ�e s'est pass�e normalement, Martin �tait assez absent. Le lendemain matin, � nouveau, mon visage �tait couvert de sperme. Je me suis demand� s'il �tait venu se branler au-dessus de mon lit pendant la nuit, mais l'id�e �tait vraiment incroyable ! J'�tais maintenant certain que Martin �tait attir� par moi. J'ai alors d�cid� de tout faire pour qu'il ait envie d'aller plus loin, et je ne me suis pas g�n� la journ�e suivante pour sortir de ma douche enti�rement nu, pour m'allonger au soleil de fa�on provocante juste � c�t� de lui dans le jardin, et pour lui lancer des allusions. D'autant plus qu'il m'avait forc�ment entendu dire son nom pendant qu'il se branlait ! En me couchant ce soir-l�, je suis rest� � poil et j'ai d�fait mes draps pour �tre enti�rement d�couvert. Quand la porte s'est ouverte et que Martin est entr�, j'�tais allong� sur le ventre, le cul cambr�, le visage tourn� vers lui, les yeux ferm�s �videmment. Comme la nuit pr�c�dente, il s'est caress� juste au-dessus de mon visage. J'ai senti sa main gauche sur mes reins, puis sur mes fesses, j'ai l�g�rement �cart� les cuisses, et ai repris mes murmures de plaisirs et mes " Martin... Oui... Encore... ". Il a alors �t� jusqu'� enfoncer un doigt entre mes fesses, puis deux, je sentais son gland qui approchait de mes l�vres, j'ai doucement sorti ma langue et il s'est branl� dessus, tout en me doigtant avec deux, puis trois doigts, il a l�g�rement enfonc� sa bite dans ma bouche et a soudain joui, me remplissant la bouche de son jus. Il est parti le plus silencieusement possible. Pierre 24 ans.La suite iciR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |