FELIXJe suis allong� sur le dos, il est couch� sur moi, il m'embrasse avec fougue le cou, la bouche. Je ne vois pas son visage. Il glisse une main dans mon boxer, il prend mon sexe en �rection. Tout en continuant � m'embrasser il me masturbe doucement. Puis de baisers en baisers, dans le cou, sur mes seins, sur mon ventre, sur mon sexe, il engloutit mon p�nis dans sa bouche. Apr�s une courte fellation, il me l�che l'anus, c'est bon, je g�mis. Je suis seul dans mon lit, ma femme s'est d�j� lev�e, mon sexe est en �rection. Malgr� ce quasi cauchemar, mon excitation sexuelle est intacte, je me masturbe. Je me suce un doigt avant de l'introduire dans l'anus et je continue un lent mouvement masturbatoire, je fais durer le plaisir, jusqu'� ce que mon sperme s'�jecte en trois longs jets successifs sur mon ventre. Je n'ai jamais eu d'exp�rience homo sauf une l�g�re � l'�ge de 18 ans avec un copain de lyc�e. Nous avions d�cid�, un jour d'automne, de nous rendre � la piscine municipale. Bizarrement il y avait peu monde, ce jour l�. Je ne tardais pas � voir qu'il �tait dans le m�me �tat que moi. Sans doute m'avait-il observ� quand il d�clara tout en glissant sa main dans le maillot " putain je bande, je me taperais bien une petite branlette " et d'ajouter avec un sourire " et toi ? " tandis qu'il matait sans honte mon entrejambe. D�sormais seuls nous nous sommes assis c�te � c�te sur un banc dans un coin du vestiaire � l'abri d'un possible intrus. C'est mon copain qui �ta le premier son maillot et commen�a � se masturber lentement. G�n�, j'h�sitais un peu, mais il ajouta " allez, ne soit pas g�n�, y a pas de mal � se faire du bien ", et comme pour m'interdire de reculer, il se leva, mit un genou � terre et m'enleva le maillot ; je ne r�sistais pas. En se rasseyant, il se pla�a plus pr�s de moi, nos deux corps maintenant se touchaient, nous commen��mes notre masturbation. Je jetais de temps � autre un regard sur son sexe, lui ne quittait pas le mien des yeux. Il Interrompit sa masturbation,il m'incita � faire de m�me et d�clara " ton sexe est un peu plus gros que le mien, me semble-t-il ", puis comme pour le mesurer il entoura mon p�nis avec le pouce et l'index et annon�a : " effectivement il est plus gros ". Simple pr�texte bien s�r, sa main ne quitta plus mon sexe et il commen�a � me masturber, je me laissais faire, je fermais les yeux. De l'autre main il me caressait les seins, le ventre. J'�tais bien, je me laissais aller, il acc�l�ra la vitesse de son geste sur mon p�nis et je ne tardais pas � jouir. " C'�tait bon ? " me demanda-t-il. "Oui " r�pondis-je timidement incapable de prononcer une seule parole de plus, j'�tais �tonn�, troubl�, honteux. Il comprit sans doute qu'il n'aurait pas droit au m�me traitement de faveurs, aussi d�s ma r�ponse, il s'activa sur son sexe jusqu'� ce qu'un jet de sperme atterrisse sur le sol, � un m�tre de lui. Nous nous sommes ensuite sans un mot habill�. Voil� donc ma seule exp�rience homosexuelle � ce jour. Il est 9 heures du matin quand je me l�ve ce 15 juillet 2001, pour �ter les traces de mon plaisir solitaire par une douche rapide. Je me dirige ensuite vers la cuisine, un mot est pos� sur la table : " Je te souhaite un heureux premier jour de vacances. Il n'est ni beau ni laid, il n'a rien de sexy, il traine ses gu�tres dans des petits boulots successifs depuis qu'il a quitt� pr�matur�ment la facult�. Il ne s'int�resse � rien, n'a aucun p�le d'int�r�t, il ressasse devant ses potes son mal �tre chronique, il est plus ou moins d�pressif. Bref je redoute de devoir l'affronter seul, et je crains fortement de peiner � trouver un sujet de conversation. Il est 11H.30, on sonne. Quand j'ouvre la porte, F�lix appara�t. Je vois de suite qu'il y a quelque chose de chang�e en lui. Il me serre la main avec un franc sourire loin de son triste rictus habituel, sa tenue vestimentaire n'a rien de particulier, un jean moulant une chemise blanche mais loin de ses v�tements habituels et sans �ge que son p�re auraient pu tout aussi bien porter. Son sourire, ses v�tements, son allure g�n�rale me le font, pour la premi�re fois, trouver beau. Je le f�licite aussit�t de son changement, " tu m'a l'air en pleine forme, c'est la premi�re fois que je te vois aussi rayonnant. On se met � table, la conversation continue, mais plus intime, le sexe s'immisce progressivement. Il m'avoue son homosexualit� d�sormais assum�e qui explique son changement. On parle de ses aventures sexuelles, je lui confie mes r�ves �rotiques. On n'a pas vu le temps pass�, il est 17H. Je lui propose de boire un coup dans un bistrot du centre ville. Il acquiesce mais me demande s'il peut prendre d'abord une douche. " Bien s�r " lui dis-je, je lui montre la salle de bain, je vais chercher une serviette, quand je reviens, il est � poil, je bande, il entre dans la cabine de douche, je sors. J'entends l'eau de la douche couler, et quelques minutes s'�coulent quand il m'appelle " Pierre, tu peux venir s'il te plait ". J'entre alors dans la salle de bain, il ouvre le rideau de la douche et me d�voile un beau corps ruisselant, une musculature naturelle assez fine, un sexe de 18 cm environ band� � son maximum. " Nous pourrions prendre la douche ensemble, si tu le veux " me d�clare-t-il. J'avale ma salive, et pour toute r�ponse je me d�shabille, lib�re mon p�nis en �rection et je le rejoins. Il me prend dans ses bras et nous nous embrassons longuement avec fougue. Il quitte ma bouche et descends sur mon sexe qu'il suce avec g�nie. " Oui F�lix, c'est bon ! Continue ! ". Toute pudeur est �vacu�e je hurle litt�ralement mon plaisir. Je couvre de caresses, son visage, son torse, son ventre, son sexe maintenant d�band�. Je le retourne, je poursuis mes caresses sur son dos, ses fesses ses cuisses, son anus. Il se laisse aller, ses muscles sont totalement d�tendus par la jouissance pass�e. Puis j'entreprends de le l�cher, ma langue finit par s'insinuer dans son anus, il recommence � r�agir, � g�mir. Je lui d�pose tant et tant de salive � son orifice que sans peine je lui introduis deux puis trois doigts. Il g�mit encore plus fort et soul�ve son cul comme un appel � la p�n�tration. J'introduis mon p�nis dans son rectum. Je commence un va et viens d'abord doucement puis de plus en plus fort. Il crie son plaisir, moi aussi. Je le bourre ainsi de longues minutes puis je sens mon sexe se tendre encore plus, la jouissance approche, j'acc�l�re encore et j'explose. Compl�tement vid�, Je m'�croule sur lui et l'embrasse dans le cou. Apr�s quelques minutes, on rejoue la m�me sc�ne � r�les invers�s. Excit� par mon enculage, son sexe a retrouv� de sa vigueur, moi je suis combl� mais �puis�, je m'endors presque sous ses caresses et ses baisers. Il m'�carte les cuisses, il me l�che l'anus, c'est une sensation nouvelle pour moi, je ne croyais pas que ce p�t �tre si agr�able. Il m'introduit un doigt. Je lui dis " je ne crois pas que je pourrais, tu sais je suis vierge de ce c�t�-l�. " " Ne t'inqui�tes pas je serais tr�s doux, si tu as mal j'arr�terais. " En m�me temps qu'il prononce ces paroles, il se l�ve prendre quelque chose dans la valise. C'est du gel lubrifiant. Il me d�pose d�licatement et abondamment du gel sur la rondelle, puis il me r�introduit un doigt, puis deux, il travaille mon anus pour le dilater. La sensation est douce agr�able, je me d�tends progressivement. Il finit par poser son gland � l'entr�e de mon anus et commence la p�n�tration, j'ai mal, il arr�te, puis � nouveau d�tendu il poursuit la p�n�tration jusqu'� ce que je sente son pelvis au contact de mes fesses. La douleur du d�but fait place au plaisir qui se fait plus intense quand il acc�l�re le mouvement. Nous nous embrassons, et nous assoupissons dans les bras l'un de l'autre. Trente minutes, une heure plus tard, je ne sais plus, nous sommes r�veill�s par un bruit, nous ouvrons les yeux et voyons ma femme dans l'entreb�illement de la porte... Mais l� c'est une autre histoire... seb30R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |