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Fallait pas commencer !

Depuis presque deux mois je deviens compl�tement accro � un truc de ouf. En r�alit� j'ai m�ga honte de moi et donc en mettant �a sur ob.ob5.ru je me vais me sentir obliger d'arr�ter mes cochoncet�s.

Bon allez je me lance, Il y a des travaux de r�novation des sanitaires depuis la rentr�e au bahut. Donc ils ont mis des algeco en provisoire. Et je me rendis compte que je pouvais t�ma l'int�rieur de celui qui abrite les cabines douches.
Je ne sais pas le naze qui a command� les algeco mais gr�ce � sa connerie je me rince l'oeil depuis maintenant presque 15 jours. Je connais par coeur les horaires des derni�res ann�es qui ont tous entre 18 et 19 ans. J'ai particuli�rement capt� Yoann et S�bastien. D'abord ils s'arrangent, je ne sais pas encore comment, pour �tre toujours les derniers. Ensuite ils se mettent dans des box qui se font face. Yoann est le plus d�lur� et lorsque qu'il se savonne fr�n�tiquement avec le gel douche style genre je fais dispara�tre la sueur et la crasse, en fait j'ai l'impression vu la fa�on dont il mate le petit popotin de Seb qu'il imagine d�j� des trucs cochons � faire avec lui. En fait il y a des gestes et des regards qui ne trompent pas un " joyeux " comme moi.

Il y a des histoires de bites entre ces deux mecs j'en suis certain ! La semaine suivante j'avais amen� la cam�ra vid�o de mon cousin qui poss�de un zoom vid�o de 700.
J'�tais excit� comme une puce � l'id�e de pouvoir faire chanter Yoann en lui montrant les images compromettantes que je me pr�parais � enregistrer. Ce jour l� je suis venu pour rien un autre �l�ve a tra�n� lui aussi dans les vestiaires. Je le connais de vue, il s'appelle Baptiste et il est assez dou� en techno, mais si j'ai retenu son pr�nom c'est bien �videmment car j'ai rang� son body dans la cat�gorie premium. C'est mon top ten des mecs qui hantent mes r�ves �rotiques.

Bref soyons compl�tement clair c'est en pensant � ce que je voudrais faire avec lui que ma main droite encercle avec talent mon pieu. En ce moment je traverse une phase d'intense activit� branlatoire car je n'ai pas de petit copain. Donc un premier petit coup de �a va �a vient le soir avant de fermer les yeux. Puis de nouveau le matin lorsque je me r�veille avec la bite dure comme un morceau de bois mort.

Le Baptiste en question fait un truc zarbi qu'il ne fait pas lorsque les douches sont pleines de jeunes keum. Il a jet� n�gligemment son cale�on sur le banc avant d'entrer sous la douche, il est dans le box juste � cot� de celui de Yoann, donc il peut reluquer Seb � loisir. Yoann et Seb eux aussi sont � poils mais �a change pas il sont suffisamment sur d'eux pour se mettre nu devant toute la classe. La couche de mousse qui recouvre le zob de Baptiste fait un peu office de camouflage pendant un petit moment mais en sp�cialiste j'avais bien capt� que son zob n'�tait pas vraiment au repos. Au bout de 5 minutes Baptiste s'accroupit et il passe sa main sur son cul en ne quittant pas des yeux Seb. Puis (et � ce moment je suis en position zoom 700) il introduit ou moins 2 doigts de sa main droite dans son trou, ahh le sale obs�d� ! Seb lui aussi je suis certain qu'il ne perdait pas une miette du spectacle.

Seul Yoann ne pouvait rien voir. Bon j'avais de bonne image de Baptiste se touchant un peu la teub et se fourrant la rondelle, mais rien super salace pour tenir les deux loustics. Le soir m�me j'�tais suffisamment cho pour attendre le milieu de la nuit. Donc vers 1h du mat je me suis gliss� hors de la maison en projetant une petite excursion dans le parc de l'h�tel de ville.

Bon inutile de d�grafer votre braguette. Ce n'est pas un lieu de drague pd, je vais l�-bas uniquement pour fantasmer justement sur le fait qu'un jour je pourrais tomber sur un " joyeux " en manque de sexe. J'ai du venir 100 fois d�j� et � chaque fois j'ai fini derri�re le m�me gros ch�ne, en faisant jouir gr�ce aux manipulations de mes doigts sur mon cylindre. De temps en temps j'ai un petit coup de sang car je d�couvre soit une kpot usag�e ou une page d'une revue porno h�t�ro toute d�lav�e par la pluie. Bref des fois il se passe des trucs hots ici. Mais jusqu'� pr�sent je n'�tais pas l� au bon moment.

Ce soir l�, lorsque j'arrive � 20 m�tres du ch�ne en question j'entends distinctement des bruits suspects. Je prends un attitude d�gag� style genre je suis un mec qui passe " par hasard ". Maintenant je suis � 3 m�tres du tronc et je sais (l'instinct pd ?) que derri�re il y a du sexe � l'air libre. Je ne bouge plus et j'�coute attentivement.
- Arr�te de pomper sinon je gicle, l�che moi les burnes pour faire descendre la pression.
- Olivier, toi tu me suces quand ?
- Ohh C�dric la lope, tu redescends sur terre le pd c'est toi OK !

Les deux voix me sont compl�tement inconnues, je pousse � ce moment un gros soupir de soulagement, j'�tais hyper flipp� de trouver des potes de classes derri�re l'arbre. Bon je me pr�pare � appara�tre, je me masse un peu la bite j'ai pas besoin de me tripoter longtemps car je suis d�j� bouillant depuis mon d�part de ma chambre. Maintenant c'est la partie la plus difficile, il faut que le suceur ne me capte pas. En g�n�ral un mec qui est pomp� peut accepter facilement de pr�ter la bouche de son pote. Mais � ce moment rien n'est gagn�. Le mec qui est en train de se faire l�cher les couilles a un look trop mortel. D'abord il ne doit pas avoir plus de 1mm de cheveux sur le cr�ne. Il a remont� son sweat, comme �a j'ai une vue bandante sur les bosses qui apparaissent � chaque contraction de ses abdos. Je remarque aussi le tatouage qu'il a au niveau de sa poitrine, le logo du club de foot de Marseille, trop bien. De son esclave suceur je ne remarque rien sauf que c'est une belle pute car il a enlev� ses frusques et il est nu comme un ver.

Olivier est quand m�me cool car il passe d'une fa�on tendre ses doigts sur le visage de C�dric. Celui-ci est totalement concentr� sur la teub de son pote. Olivier tressaille au moment ou il me remarque, je suis � 2 m�tres et je lui fais un geste de connivence que j'esp�re �loquent. Ouf il esquisse un sourire salace et je comprends que je ne vais pas finir avec un coup de poing dans la gueule. Je vire mon bas de surv�t pour mettre ma queue � disposition de C�dric. Mon chibre est de taille tout � fait honorable par rapport � celui d'Olivier. Maintenant la question c'est : est-ce que C�dric est affam� ou va-t-il faire la fine bouche ? Chouette C�dric fait comme moi lorsqu'il pompe, il ferme les yeux. Donc il est totalement t�tanis� lorsque ma queue caresse sa joue. Mais Olivier dit :
- C�dric, pas de l�zard. En fait tu as deux bites rien que pour toi tout seul !! Profite mon pote cela n'arrivera pas tous les jours.

C�dric est facile � convaincre et il me prend en bouche directe. Pendant ce temps Olivier se masturbe doucement, en mettant r�guli�rement sa main dans sa bouche pour l'enduire de salive. Au bout de 2 minutes je ne pouvais plus regarder la bite d'olivier, c'�tait trop tentant, je lui demande alors si nous pouvons faire un cercle afin de nous sucer mutuellement. Humm, supr�me d�lice, j'ai le bon sexe d'Olivier au fond de ma bouche, Olivier sympa suce C�dric, qui continue sa pipe d'enfer sur moi. Nous avons �chang� les positions afin que chacun puisse profiter du go�t de la bite de l'autre. Puis Olivier et moi nous avons r�ussit � mettre nos deux bites dans la petite bouche de C�dric qui couinait, mais on l'avait adoss� au tronc sa t�te �tait coinc�. Nous avons crach� pratiquement � la m�me seconde et le pov C�dric s'est �trangl� � cause de la trop grande quantit� de jute qu'il a pris dans la gueule en m�me temps. J'ai enregistr� le n° d'Olivier et on pr�voit d�j� un autre plan cho ou je dois amener un keum soumis pour que C�dric ne soit pas toujours la victime.

Dix jours plus tard j'�tais de nouveau � mon poste d'observation, batterie de cam�ra charg� � donf. Et l� putain je n'ai pas regrett� d'avoir mis une cassette de 90mn.

C'�tait le vendredi de veille de vacances et il n'y avait pratiquement plus personne dans le bahut cette Aprem. Yoann est venu retrouv� Seb dans la douche au bout de 2 minutes, ces deux l� il s'�tait test� avant c'est oblig�, Seb s'est tourn� imm�diatement en posant ses deux mains sur le carrelage. Yoann lui �carte les jambes en lui donnant de petit coup avec ses pieds. Et il l'enfonce bien profond d'un seul coup de rein, sans aucun pr�liminaire, pas le moindre petit doigt pour lui ouvrir la rondelle. Dommage je n'ai pas le son, mais on voit bien la grimace de Seb. J'ai pos� la cam�ra pour bouger le moins possible. Yoann d�truit le cul de Seb de toute sa force et de sa vitalit�. Des fois il d�cule compl�tement, il regarde sa bite, il la branle un peu puis en prenant son �lan il reprend son �nergique man�ge. Seb a l'air heureux de satisfaire son pote.

Je pense que Yoann � juter dans sa kapot, mais � cette distance je ne suis sure de rien. Il a pris la m�me position que Seb et il a offert son cul que Seb a profond�ment lim� pendant 20 minutes, oui ce n'est pas une erreur de saisie. Je suis formel car j'ai regard� le compteur de bande. Maintenant je dois la jouer fine, comment faire pour obtenir ce que je veux ?

First il faut que j'arrive � d�terminer qui est le plus fragile, qui flippe que son cot� " je suis une grosse p�dale " soit d�voil� � 900 �l�ves homophobes ?
Second il est n�cessaire qu'il soit solidaire l'un de l'autre. Bref j'ai du pain sur la planche. J'ai bassement profit� que Yoann soit un voisin plus ou moins proche pour lui lancer une invitation en lui envoyant un SMS assez opaque. Je lui fais croire que je n'arrivais plus � lire mes vid�os depuis le disque dur de mon PC. Comme une ordure j'avais copi� sur le r�pertoire " mes vid�os " la fameuse et bandante s�ance de la douche. Avec un montage de mon cru montrant en plan recadr� son visage grima�ant de douleur sous les coups de boutoir de la teub de Seb. Le nom de fichier �tait une tra�trise totale : Deux salopes.wmv

Yoann est tomb� � fond dans le panneau, il m'a regard� en coin et il a fait le double clic fatal pour lui. J'�tais derri�re lui, j'ai pos� mes deux mains sur ses �paules pendant les 4 minutes de la s�quence. Il n'a pas arr�t� de r�p�ter :
- Ah putain, t'es vraiment un salaud de premi�re, putain de merde tu nous filme depuis combien de temps ? Merde � la fin tu veux koi maintenant ?
Puis il se l�ve brusquement il s'avance vers moi avec un regard de tueur, j'ai pas besoin de faire psyco pour comprendre qu'il vraiment hypra furax de chez furax. Je le vois lever son poing et je me dis que ma tronche trop mignonne (selon certaine source digne de foi) va en prendre un coup. Mais ses bras retombent le long de son corps et il se barre sans un mot.

Merde le m�ga fiasco, � la place d'avoir un keum qui aurait du me manger dans le creux de la main j'ai maintenant un ennemi mortel. Le lendemain je rase les murs et par chance (merci sainte Rita) aucune trace de Y et S. Et pas de regards zarbi de la part de mes potes non plus. La journ�e se termine avec son lot de banalit�s. J'aurais du �tre plus m�fiant et rester sur mes gardes. Pour rentrer chez moi je prends un chemin qui passe sous la francilienne. Il s'agit d'un petit tunnel pour le passage de la faune de la for�t toute proche. Evidemment aucun �clairage, des fois je passe devant la carcasse cannibalis�e d'un scooter.

J'�tais pile au milieu du tunnel lorsque j'ai vu appara�tre deux silhouettes, mais avec le contre jour impossible de reconna�tre l'identit� des keums. J'ai capt� de suite l'arnaque et le pi�ge, mais tel un pov moineau en me tournant j'ai vu deux autres mecs qui bloquait l'autre issue du tunnel. Merde je croyais que la vengeance �tait un plat qui se mange froid. Ils m'ont attach� les mains derri�re le dos en me faisant hyper mal j'ai entendu craqu� les os de mon omoplate. Puis Seb que je viens de reconna�tre me couvre la tronche avec un sac en tissu. J'ai de suite du mal pour respirer. Je veux crier au secours mais mauvaise id�e J, je re�ois un genou bien plac� qui me fait me tordre de douleur comme j'ai pas pu du tout esquiver j'ai l'impression que mes couilles ont �clat�. Pour m'achever je re�ois un pain maouss sur l'arri�re de la t�te. Rideau noir total.

J'ai froid, j'ai faim, j'ai mal partout, j'ai de la poussi�re dans la bouche. J'ai envie de pisser. Bref je ne suis pas au mieux de ma forme. J'entends un bruit de roulement caract�ristique, je commence � r�fl�chir (ouf mon cerveau fonctionne) je suis donc pas loin d'une route tr�s fr�quent�e. Mais j'ai beau fouiller la p�nombre du regard je suis incapable de dire dans quoi je me trouve. Pas le moindre filet de lumi�re. J'ai les poign�es attach�es en l'air comme dans les films US ou le gentil h�ros est otage des m�chants vendeurs de drogue. Oui mais ici le pourri c'est moi avec mon plan cam�ra craignos. Maintenant je commence � m�ga flipper.

AArrgghh il y a un truc qui vient de passer sur mon pied. Merde il m'ont attach� nu dans une cave ou quoi ? J'ai senti comme des petites pattes d'une b�te, un rat ? C'est carnivore les rats, non ? J'ai la peau des couilles qui se r�tracte ma bite doit �tre microscopique � ce moment. Putain j'ai d�conn�, comme je regrette mes conneries � ce moment.

Je me demande depuis combien de temps je suis ici. J'ai de frissons r�guli�rement qui parcourent chaque partie de mon corps me laissant encore plus fatigu� � chaque fois. Je ne sens plus les muscles de mes �paules. Et puis le pire c'est cette envie de pisser qui me fait une douleur dans le bas du ventre. J'essaye de me r�p�ter qu'ils vont venir et ils vont te sodomiser avec une batte de base-ball. L'attente, l'incertitude est encore le pire je pr�f�rerai avoir re�ue un bonne branl�e me laissant couvert de sang et de bleus dans un foss�. J'ai du m'assoupir un peu, je suis crev�. Lorsque je me r�veille l'envie de pisser est tellement douloureuse que en pleurnichant comme un b�b� je me sens me pisser dessus. Quel con j'aurais du pisser fort pour que le jet de pisse tombe plus loin. Non comme un con mon urine me coule sur mes cuisses et je sens le liquide chaud me tomber sur les pieds. Je craque un peu et je me laisse aller � chialer, je sens mes larmes couler sur mes joues.

J'�tais � donf dans mon trip " calimero " sans la coquille sur la t�te. Je ne sais pas au bout de combien de temps les hallucinations commencent. Mais j'ai maintenant l'impression qu'un truc avec des pattes duveteuses se ballade dans mon dos. La chose arrive au niveau de mon cou, puis plus rien. Heureusement que j'ai pratiquement rien bouff� au resto car je veux pas imaginer si je devais me chier dessus comme les prisonniers du moyen age qu'ont laisse mourir dans les douves humides des ch�teaux. En parlant d'humidit�, si je ne cr�ve pas de faim je suis d�j� certain de choper le rhume du si�cle. Mon organisme essaye de se r�chauffer en me faisant frissonner de plus en plus souvent. Je d�cide de reprendre du poil de la b�te.

Je fais boug� mes jambes comme ci je faisais un jogging mais en tr�pignant de cette fa�on les liens qui me serrent les poign�es me rentrent encore plus dans la peau, je sens tr�s bien ma peau s'�corcher et la chaleur subite qui atteste que je perds un peu de mon sang. Ca calme ! Je d�cide de tester la m�thode " cou� " je me r�p�te comme un mantra magique " je vais �tre puni mais ils vont me lib�rer dans quelques instants, il ne veulent pas retrouver un cadavre tout froid en revenant trop tard ici " etc etc.

Je suffoque, je viens de recevoir des litres d'eau super froide dans la gueule, je m'�tais endormi apparemment. Je tousse en reprenant maladroitement mon souffle. J'ouvre les yeux sur 2 silhouettes qui ont des cagoules sur la tronche. L'un des deux ricane m�chamment. Il s'adresse � l'autre mec :
- T'as vu � quoi ce merdeux ressemble au bout d'une seule journ�e !
- Oui pitoyable, vu la crasse qu'il a fait � Y je trouve que le ch�timent organiser par Seb est plut�t une r�compense pour cette petite bite.

Je vois le premier type s'approcher de moi et je ferme les yeux car je pense qu'il va me foutre un autre pain. Mais non � la place j'ai de nouveau le sac de tissu sur la tronche. Ils m'ont emmen� dans le vestiaires du stade et j'ai du sucer des bites, l�cher des rondelles pas si propre que cela. J'ai pris du foutre dans la gueule, dans mon trou. Les mecs en question avaient tous entre 45 et 55 ans tous plus laid, gras, bedonnant, mal ras�. Deux fois de suite j'ai vomi de la bile. J'avais plus rien d'autre dans l'estomac. Evidemment il y en a eu un plus con que les autres, il m'a sodomis� avec une �norme carotte (putain elle devait �tre g�n�tiquement modifi� cette carotte) puis il m'a oblig� � la bouffer. En disant " �a te donnera le teint plus rose encore mon lapin ".

Pour faire bonne mesure j'ai re�u aussi pas mal de baffes, et certain mec avaient des mains tellement calleuses que la peau de mes joues a commenc� � saigner. Bref je suis incapable de dire combien de temps cette punition a dur�e. Pendant tout ce temps inutile de vous dire que ma teub est rest� racornie. J'�tais t�tanis� en pensant � ce qu'ils pourraient me faire s'ils pensaient que d�s fois je trouvais cela kiffant. A un moment ils ont du commencer � s'emmerder et je me retrouver, nu, sale, au milieu du vestiaire.

Apr�s une douche, j'ai trouv� un vieux short sous un banc et je suis rentr� en clopinant chez moi.

J'ai utilis� le reste des vacances pour cicatriser. Inutile de vous dire que j'ai d�m�nag� � plus de 300km.

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Jonathan Alias J

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