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Entretien d'embauche (1)

La journ�e d�marre mal, je me suis r�veill� � la bourre, je me suis ras�, douch�, coiff�, v�tu en 4�me vitesse, j'ai escamot� mon p'tit d�j, saut� dans ma voiture et me voil� parti pour un entretien d'embauche. J'ai juste le temps pour arriver � l'heure et en plus, il pleut.

J'arrive � un stop, il faut que je tourne � droite, rien � droite, � gauche il y a une voiture qui arrive, elle est assez loin, je suis press�, je tourne.
Merde ! Je cale ! La voiture arrive en trombe, freine � mort. Heureusement, pas de mal, mais le conducteur klaxonne, me double, roule un moment pr�s de moi, m'engueule. Je lui fais un bras d'honneur, il me fait une queue de poisson, se met devant moi et m'emp�che d'avancer, il acc�l�re pour que je ne puisse pas le doubler, il ralentit quand il y a des voitures en face. On arrive � un feu, il s'arrange pour passer � l'orange bien m�r et le suis oblig� de patienter au rouge. La voiture dispara�t.

Je fonce ensuite le plus vite possible pour arriver � l'heure � mon rendez vous, je me gare dans le parking de l'entreprise, je vais � l'accueil et on me dit d'attendre dans une pi�ce � c�t�.
Dans cette pi�ce, il y a deux personnes : une super nana en tailleur beige avec des jambes sublimes et un Antillais v�tu d'un jean blanc, d'une chemise bleu dur ouverte sur sa poitrine o� brille un cha�ne en or.

Je salue, je m'assois. Chacun mate l'autre � la d�rob�e, pas un mot �chang�, c'est stressant.
On vient chercher la nana, je me retrouve donc seul avec le bel Antillais.
Lui au moins est sympa, on �change quelques banalit�s et quand il parle, je suis en extase devant son accent cr�ole, ses l�vres sensuelles, ses dents blanches et sa petite langue rose framboise. Je n'arr�te pas non plus de lorgner sur le paquet volumineux qu'il porte entre ses cuisses que je devine muscl�es. Il continue de parler et semble s'amuser de l'int�r�t que je lui porte, je le vois dans son oeil.

Une dizaine de minutes plus tard, avec un sourire craquant, il me dit :
- Je vois bien que tu regarde mon sexe ! Tu voudrais en profiter ?
Je deviens tout g�n�, je m'appr�te � lui bredouiller une r�ponse quand la porte s'ouvre. C'est l'h�tesse d'accueil qui vient le chercher.

En partant, il m'adresse un clin d'oeil et un sourire prometteur.
J'en suis encore � r�vasser � ce beau mec quand on m'appelle pour mon entretien. Je suis l'h�tesse d'accueil dans des couloirs et elle m'introduit dans le bureau du directeur.
A peine entr�, je panique ! Qui je vois ? Le mec de ce matin � qui j'ai fait un bras d'honneur !

- Tiens, c'est vous ? Le monde est petit ! Alors, On br�le un stop et en plus, on se permet des obsc�nit�s ?
- Bon, je venais pour l'emploi, mais je pense que c'est inutile, je m'en vais.
- Qui vous autorise � partir ? Ici, c'est moi qui d�cide ! Il y a peut-�tre un moyen de s'arranger ! Asseyez-vous, je vous prie !

Le directeur, 45 ans environ, coiff� � la Sarkozy, se l�ve de son bureau, va fermer la porte � clef, met la clef dans sa poche, vient vers moi, sort sa bite d�j� en semi �rection et me dit :
- Suce moi �a !

Compl�tement interloqu�, je me dis en une fraction de seconde :
" Il est givr� ce mec, c'est un malade ! Mais bof, c'est la premi�re fois que je vais sucer un patron et en plus dans son bureau, c'est quand m�me assez rare comme situation"
A peine j'ai eu le temps de r�agir qu'il plaque sa main sur ma nuque et me pousse la t�te vers sa bite que j'engouffre imm�diatement.

Son sexe sent l'eau de toilette de luxe, � petits coups de langue, je lui titille le gland qui se met � durcir tr�s vite. Il bande bien le dirlo. Je commence donc ma fellation en douceur d'abord. Puis il donne des coups de reins puissants enfon�ant sa queue le plus profond possible, je lui l�che le gland, la tige, les couilles l'une apr�s l'autre. Il r�le de plaisir. Avec ma langue, je fais le tour de la base de son gland tout en lui malaxant les roupettes. M'enhardissant, je d�fais son futal qui tombe sur ses chevilles, il porte comme sous v�tement un calcif rose orn� de petits coeurs rouges. Je d�boutonne le bouton du haut et son calcif rejoint le futal sur les chevilles. Pendant que je le suce, je lui doigte le cul. Apparemment, il a d�j� servi.
En tout cas, �a lui fait de l'effet car il se retire brusquement et d�charge des jets de sperme qui s'�crasent le long de son bureau.

Il essuie les d�g�ts, me prend par les �paules, baisse mon froc et mon string (inutile de dire que je bande comme un cochon), ouvre un tiroir, en tire un pr�servatif, d�chire l'enveloppe et me le pose sur la bite.

Seulement . . . Ce n'est pas un pr�servatif commun, celui-ci comporte des petites asp�rit�s rigolotes, �a me fait tout dr�le d'avoir �a sur le sexe, (encore une premi�re fois) mais c'est tr�s agr�able.

Il s'accoude sur son bureau, me pr�sente son cul et me dit :
- Vas-y, encule moi fort ! Je veux �tre ta pute ! N'aie pas peur de me d�foncer !
J'approche ma bite contre sa rondelle, j'appuie, �a rentre comme une fleur.
Je commence par des va et vient tranquilles pour bien pr�parer son cul. Je passe � la vitesse sup�rieure, les petites asp�rit�s du pr�so me procurent une merveilleuse sensation ainsi qu'a lui. Il aime, il en demande plus, plus fort ce que je m'empresse de faire.
Tout en le besognant, je me dis que je ne m'attendais pas � �a et �a d�cuple des ardeurs. Pensez donc, baiser un patron, mais c'est inesp�r� ! Je redouble mes coups de queue, je pousse le vice jusqu'� me retirer compl�tement et lui p�ter le trou aussit�t et plusieurs fois d'affil�e.

Qu'est ce que je lui mets dans le cul ! Et il aime �a la salope !
A un moment sublime, il pousse un cri de plaisir en m�me temps que je crache mon venin. Je reste encore en lui quelques minutes, tellement �a �t� intense. Mais brusquement, il se retire de ma queue encore bandante, remonte ses fringues, se rend dans une pi�ce � c�t� que je pense �tre des toilettes car j'entends un bruit de chasse d'eau et un lavabo couler.
Entre temps j'ai fait le m�nage sur ma personne, remball� mon mat�riel et je me suis rhabill�.
Il revient comme si rien ne s'est pass�, se rassoit � son bureau, me regarde dans les yeux et me dit :
- Laissez-moi votre C V, je vais l'�tudier et vous aurez la r�ponse sous huit jours.
(Marrant comme il passe du tutoiement au vouvoiement)
L� dessus, il me cong�die.

Je sors de son bureau un peu inquiet, avec le bruit qu'il a fait, si quelqu'un a entendu . . . Mais non ! Je sors tranquillement. La pluie a cess�, je regagne le parking pour r�cup�rer ma voiture et l� . . . Surprise !
Le bel Antillais m'attend . . .

Zicom

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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