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Entretien d'embauche (Suite et fin)

�pisode 1 ici

Eh oui ! C'est bien lui le bel Antillais qui comme moi �tait convoqu� pour l'entretien d'embauche.
Je ne suis pas tout � fait remis de mon "entretien" avec le patron, mon futal est encore gonfl�.
- Alors, �a a march� ? Tu es rest� longtemps !
Ah ! Ce sourire ! Ses belles dents blanches ! Sa d�licieuse petite langue rose qui pointe entre ses l�vres quand il parle !
Je d�cide de ne pas lui dire ce qui c'est pass�.
- Oui, c'�tait long, il y a eu plusieurs coups de t�l�phone pendant que j'�tais dans son bureau.
Je ne sais pas s'il me croit mais je vois bien son regard bifurquer en direction de mon sexe.
- Que fais-tu maintenant ? On va prendre un verre pour faire connaissance ?
- Oui, mais o� ?
- Viens chez moi si tu veux, c'est pas loin et j'ai du rhum vieux ramen� directement des �les.
- O K , D'accord, je te suis.

Chacun reprend sa tire et quelques minutes plus tard, on arrive devant une jolie r�sidence.
On se parque, on descend, il me fait signe de le suivre discr�tement, il compose son digicode et nous entrons dans le hall, puis dans son appart situ� au premier. C'est clair, meubl� avec go�t, on s'y sent bien.
Il me propose de m'intaller sur le canap� pendant qu'il nous pr�pare des punchs planteurs.

Il revient avec ses ap�ros, s'assoit tout pr�s de moi, on d�guste ses d�licieux punchs, il entoure mes �paules de son bras, m'attire � lui, pose ses jolies l�vres sur les miennes.
Enfin ! Je go�te � sa petite langue rose framboise qui me faisait tant envie, elle a encore le go�t du rhum, qu'est-ce que c'est bon ! Notre baiser se prolonge, je voudrais qu'il ne s'arr�te pas mais je sens ma bite se durcir de plus en plus. Je risque ma main sur son gros paquet, lui aussi, il bande dur.
On se caresse maintenant avec fr�n�sie tout en continuant � nous rouler des pelles voraces.

Un moment apr�s, il m'entraine dans sa chambre, nous tombons dans les bras l'un de l'autre sur son grand lit. Nos v�tements volent dans la pi�ce l'un apr�s l'autre, je me retrouve avec seulement mon string et lui en boxer blanc qui lui moule admirablement la queue et les couilles.
Bient�t, on est tous les deux � poil, on se caresse nos corps, on s'embrasse partout fougueusement, on se p�trit, on malaxe nos sexes qui n'en peuvent plus de bander. On passe aux choses s�rieuses, on se fait un soixante neuf super chouette, j'en ai plein la bouche de sa grosse queue bien ferme et rien que de sentir sa petite langue rose me titiller le gland, je me sens pr�t � �clater.
On y prend tous les deux du plaisir, �a dure, �a dure ! Je me retiens au maximum pour ne pas �jaculer tout de suite et je crois que pour lui c'est pareil. On arr�te provisoirement notre soixante neuf pour se refaire un gros c�lin.

Maintenant on passe au jeu des doigts, chacun caresse la rondelle de l'autre, je mouille du cul, lui aussi. Quand nos culs sont bien ouverts, il prend des pr�servatifs ( normaux ) et habille nos bites avec.
Il commence � m'enculer doucement, malgr� l'�normit� de sa bite, je ne ressent que du plaisir, je voudrais que �a ne s'arr�te jamais, je mouille du cul comme pas possible et je bande � en faire p�ter mon pr�so, heureusement c'est du solide !

Voulant lui aussi profiter de mon goupillon, il se retire de moi, me tend ses fesses et je m'introduit lentement en prenant soin de ne pas lui faire mal et de le faire jouir le plus possible. Tout en l'enculant, je joue avec ses grosses couilles et sa grosse queue qui garde encore des dimensions impressionnantes. Mes va et viens se font de plus en plus rapides , il jouit du cul et je sens que �a va venir.

Je me retire brusquement, l'un comme l'autre on est pr�ts � jouir en m�me temps. On crache la pur�e qui s'�crase sur nos corps enamour�s, on se presse l'un contre l'autre pour m�langer nos spermes chauds, que du bonheur ! On reste longtemps enlac�s, c'est comme si le monde s'�tait arr�t� tellement on est heureux ! Je ne sais plus combien de temps on est rest�s ainsi ( faut dire aussi qu'on a remis le couvert plusieurs fois ).

Depuis, nous sommes devenus amis, on se voit souvent avec toujours le m�me plaisir, je me demande m�me si je ne suis pas en train de devenir amoureux . . .

Au fait : ni lui, ni moi avons eu l'emploi, on a su plus tard que c'est la nana qui l'a eu !

Zicom

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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