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Encore un "h�t�ro".

J'ai pris jusqu'� maintenant l'habitude de vous raconter les plans avec mon militaire mais l�, pendant que les souvenirs sont encore tous pr�sents, je me dois de vous raconter ce qui m'est arriv� il y a quelques jours.

Jour de RTT, j'en profite comme beaucoup pour aller faire mes courses au supermarch� habituel.

Entre les oranges et la salade, je vois au loin un couple h�t�ro arrivant dans ma direction. Enfin je remarque surtout le mec qui semble correspondre � mes crit�res...
Entre 35 et 40 ans, 1.80m environ, brun coup� tr�s court, regard bleu magnifique, barbe de 2 ou 3 jours. Tout en choisissant une salade, je ne peux m'emp�cher de le matter alors qu'il s'approche. Arriv� � ma hauteur, j'ai droit un sourire ravageur et un regard de braise de sa part. Je ne peux faire autrement que lui sourire, moi aussi !

Son jean d�lav� et moulant laisse supposer des cuisses puissantes et muscl�es, sa chemise entre ouverte laisse d�passer des poils bruns tondus. Tout ce que j'aime. Commence alors un petit jeu entre-nous... Je le suis dans les rayons, il se retourne en prenant un article, me sourit sans cesse. On se croise, on se matte, mais il ne l�che pas sa femme une seconde. Il est litt�ralement scotch� � elle et � son Caddie.

Comment faire ? Je suis de plus en plus intrigu� et excit� par ce comportement mais ne suis pas assez culott� pour aller le voir ou lui parler. Son petit jeu continue encore et encore, me troublant � chaque fois que nos regards se croisent.
Alors que je saisis un vulgaire paquet de riz, le voil� (avec madame...) qu'il arrive dans le m�me rayon que moi. Alors que nous sommes seuls, il me d�passe tout en me touchant avec son �paule, son bras, sa main... et se retourne avec son plus beau sourire : Je craque mais ne fais rien.

Notre petit jeu continue et je me dis que cela ne m�nera � rien et comme j'ai depuis un moment termin� mes achats, je d�cide d'aller � la caisse en abandonnant d�finitivement mon h�t�ro. En rejoignant les caisses � l'autre bout du supermarch�, je traverse le rayon "beaut�" et, je ne sais pas pourquoi, me retourne une derni�re fois pour v�rifier s'il est encore en train de me regarder. Il est � quelques m�tres derri�re moi : seul !!! Aussit�t je stoppe mon caddie et me voila en train de faire semblant de choisir un gel douche... Le voil� � mon niveau toujours aussi souriant, toujours aussi craquant. Il me tend la main avec un papier en me disant :
"Salut, voil� pour toi : �a peut toujours servir." Et continue sa route � travers le rayon. J'ai juste eu le temps de lui r�pondre "Merci"...

Je regarde le papier : son pr�nom, un num�ro de portable et "Je suis dispo � partir de 14h"...
SUPER c'est d�cid�, � 14h p�tante je l'appelle. Une bonne journ�e de RTT en perspective !
Me voil� au niveau des caisses avec une file d'attente impressionnante. Je ne cesse de penser � lui et essaie en vain de le revoir entre dans le magasin ou a une caisse voisine.
Pendant que j'attends mon tour, je saisis sans trop r�fl�chir mon portable et compose son num�ro...
"Salut, tu viens de me donner ton pr�nom et ton t�l�phone ! Alors comme �a tu es disponible cet apr�s-midi ? Moi aussi !"
"C'est tant mieux, mais rappelle-moi � 14h !"
Je rentre enfin � la maison et attends l'heure fatidique, plus excit� que jamais...
13h50, mon t�l�phone sonne. Je r�ponds : c'est lui... Je n'avais pas masqu� mon num�ro quand je l'ai appel� quelques heures plut t�t... Une chose est s�re, le mec semble au moins aussi motiv� que moi ...

Nous discutons quelques minutes. Il est passif, nous sommes � 2 km l'un de l'autre. Je lui indique la route pour venir � la maison ; Il me dit qu'il sera l� dans 5 minutes.
Pile � l'heure il se gare dans ma cour. Je lui ouvre la porte avec un large sourire qu'il me rend ; il me tend la main et me la serre pour me dire bonjour. Un H�tero coinc� ??? Tout ce que j'aime...

Je lui propose un caf�, il me r�pond : "Non merci, c'est pour toi que je suis venu". J'ai bien saisi le message : Tu es venu pour moi, ne t'inqui�tes pas tu vas repartir satisfait... Je m'approche de lui et lui malaxe direct son petit cul bien ferme avec la main gauche et sa queue encore molle avec la main droite. Il m'emballe rapidement puis enl�ve mon tee-shirt. Avec ses l�vres, il d�couvre mon cou, mes �paules, mon torse, mes t�tons, mon ventre puis s'agenouille enfin et me mordille l'entre-jambes � travers mon jean tout en me caressant les fesses. Je commence � bander et j'esp�re que lui aussi. Voulant v�rifier son �tat d'excitation, je le rel�ve puis m'agenouille � mon tour devant un beau paquet plus que prometteur. Moins timide que lui, plus entreprenant, je d�tache sa ceinture, d�boutonne jean et braguette et descend son pantalon au niveau de ses chevilles. Son boxer de coton blanc bien que de taille classique est trop petit pour cacher enti�rement son membre ... Son gland d�calott� sort largement au niveau de l'�lastique du boxer. Je ne peux pas me retenir, je le l�che goul�ment sans sortir son membre. Rapidement, le voil� en train de retirer son blouson et sa chemise et je d�couvre enfin ce qui m'excite le plus chez un mec : son torse.

Un torse superbe : peu matte, pecs bien dessin�s, ventre plat, le tout recouvert de poils tr�s bruns et tondus.
� mon tour, ma bouche explore enfin ce torse ; il g�mit lorsque ma bouche titille ses t�tons.
Nous sommes tous les deux l� un milieu de l'entr�e, torse nu.
Alors que je me remets � titiller son gland et baisse son boxer. Sa queue bien droite, longue et fine, ses couilles ras�es, pendantes et que j'esp�re pleines s'offrent � moi. Je prends enfin cette bite en bouche et m'applique pour le pomper. Ces belles couilles tapent sur mon menton, ma langue joue avec son gland et sa tige pendant que mes mains caressent ses fesses d'une fermet� rare. Il pose ses mains sur mes �paules et commence � se branler dans ma bouche. Hors de question qu'il jouisse si vite. Je reprends la situation en main : Je me rel�ve et l'invite � monter au premier �tage. Il me remonte alors son boxer et son jean, me prend la main et me dit : "Je te suis".

Nous voil� tors nu dans la chambre. A peine arriv�, il s'agenouille devant moi en me disant : "� mon tour". Il enl�ve d�licatement mon jean et mon boxer de lycra noir. Il commence � donner des coups de langue sur mes couilles, les gobe une � une puis entame une pipe divine. Bonne bouche pour un "h�t�ro". � coup s�r ce n'est pas son coup d'essai. Mon jean me g�ne alors tout en le laissant continuer � jouer avec mes 18 centim�tres, je retire chaussettes, pantalon et boxer. Je suis totalement � poil, lui toujours torse nu seulement. Alors je me m'allonge sur le lit, le matte et lui demande de se dessaper compl�tement. Je le contemple. Il commence par enlever ses chaussures, ses chaussettes, d�tache le bouton de son jean, le retire sans cesser de me regarder, descend enfin son boxer. Il s'approche de moi qui suis allong� sur le dos, se pose sur moi en m'embrassant. Pendant ce baiser, mes mains caressent ses �paules, son dos et descendent sur ces fesses, ses cuisses. Lorsque je fr�le son Q, je le sens se cambrer avec plaisir. Je le mets � son tour allong� sur le dos, lui rel�ve un peu les jambes et commence � l�cher ses couilles. Ma langue, de temps en temps descend au niveau de son fion et c'est maintenant lui qui rel�ve les jambes afin que je puisse plus facilement atteindre ce Q qui me fait tant envie. Ma langue joue avec son fion et c'est clair : il aime �a... Moi aussi !

Il se met soudain � 4 pattes, jambes bien �cart�es. Son Q s'offre � moi. Je recommence � l'exciter avec ma langue tout en le branlant d'une main. Il se cambre de plus en plus. Je luis �carte bien les fesses avec mes deux mains et enduit ce beau petit fion de salive. Mes doigts s'aventurent alors entre ses fesses. Il g�mit de plus en plus et surtout m'excite de plus en plus. Je saisis un flacon de popper's dans la table de nuit et le sniffe. Il en r�clame lui aussi. Il ne doit pas �tre habitu� � �a. En 2 secondes je le sens plus excit� que jamais, le q bien offert, la t�te dans l'oreiller, il hurle : "Putain baise-moi vite, j'ai trop envie de ta queue". Je ne me fais pas prier comme d'habitude. Je saisis gel et capote et pendant que je la d�roule sur mon membre il saisi le popper's et sniffe � plein nez... D'un coup violant mes 18 cm se retrouvent engloutis � l'int�rieur de lui. J'adore prendre un mec en levrette. Mes couilles sur ses fesses, je reste bien profond�ment en lui tout en ondulant le bassin de gauche � droite, de haut en bas. Il agrippe l'oreiller de deux mains et hurlant "d�fonce-moi ! d�fonce-moi".

Je me retire de ce Q si accueillant, pose mon gland sur ce fion et y retourne doucement. J'entame le va-et-vient qu'il r�clame. Mais je veux qu'il prenne son pied . Je me retire, le mets sur le dos, lui rel�ve les jambes, les pose sur mes �paules et le p�n�tre � nouveau en lui disant "branles toi pendant que je te d�fonce !" Il s'ex�cute et le voil� bite en main en train de se faire prendre et en g�missant. Je le d�fonce avec plaisir et application ; Je sens la sauce monter en moi il doit le savoir aussi car il me dit soudain "Jouis moi sur le torse". Je ne suis pas encore pr�t � cracher alors je lui d�fonce violemment le Q pour enfin pouvoir l'inonder comme il le r�clame. Soudainement je n'en peux plus, je me pr�cipite hors de lui, retire cette capote trop �troite et je finis par enduire les poils de son ventre et son torse de ce liquide blanc qu'il voulait tant.

Je m'�croule sur lui en l'embrassant, mon sperme se colle sur mon torse : j'adore cette sensation... � lui de cracher maintenant. Je me mets, il me chevauche et me voila � nouveau en train de le pomper tout en lui mettant un doigt dans ce Q encore tout ouvert... il ne mettra pas longtemps � jouir, lui aussi. Je sens encore son sperme jaillir sur moi et glissant le long de mon cou... Un d�lice.

Nous sommes rest�s un bon moment dans les bras l'un de l'autre, a nous embrasser, nous caresser, a discuter.

Apres une pipe r�ciproque sous la douche, il est reparti rejoindre sa femme en me promettant que nous nous reverrons bient�t...

Flo

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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