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Premi�re fois en 1982.

Je savais d�j� de quel bord j'�tais. Je n'avais jamais rien fait mais mes d�sirs et mes fantasmes �taient clairement et sans aucun doute dirig�s vers mes petits camarades. Malgr� de discrets " sondages ", il me semblait que j'�tais le seul p�d� de mon entourage.

Dans Mon cours, j'avais un copain, Guy, qui �tait assez chaud. Il parlait cul tout le temps, il se masturbait en classe et il avait constitu� un classeur contenant des images pornographiques. H�t�ro qu'il exhibait � la r�cr� ou en salle d'�tudes. Il n'�tait pas sp�cialement beau mais il �tait dr�le et sympa.

Un matin, il dut aller � l'infirmerie car il avait mal au ventre. Le midi, j'allais le voir. Nous �tions seuls car l'infirmi�re �tait partie d�jeuner. �videmment, la conversation a vir� au cul. On s'est racont� comment on se masturbait (nos techniques diff�raient), et lui il m'a racont� les quelques exp�riences avec les filles. Cela ne d�passait pas le touche pipi. Et puis je dirigeais la conversation pour lui dire que je voulais tout essayer : les femmes et les hommes. Lui m'a racont� que le toucher rectal fait par son toubib ne lui avait pas fait du bien. Il n'avait a priori jamais envisag� de coucher avec des mecs. Je lui racontais que je voulais le faire une fois, pour pouvoir dire, " j'ai essay� ". Je lui demandais de but en blanc si dans ce cadre d'une simple exp�rience, il me laisserait le masturber et le sucer. Il me r�pondit que c'�tait envisageable. Je lui demandais s'il voulait me faire la m�me chose, il me r�pondit alors, un peu h�sitant, " oui, pourquoi pas, tant qu'on s'encule pas ". �videmment, il n'�tait pas question de faire cela � l'infirmerie, l'infirmi�re n'allait pas tarder � venir et lui �tait un peu perturb� par son mal de ventre m�me si celui-ci diminuait.

Il me proposait de venir chez lui , le soir m�me. Sa m�re ne serait pas l� et comme il disait, pour une pipe et une branlette, 2 heures sont largement suffisantes. Je lui demandais s'il s'�tait branl� pendant qu'il �tait ici. Il me r�pondit par la n�gative, il aurait donc les bourses pleines, ce soir. Avant de partir, je mis ma main sur sa couverture et lui caressait � travers la couverture. On se regardait en souriant. Je sentis une grosseur imm�diatement. " Ca promet, dit-il ". J'arr�tai mon man�ge car le bruit de la porte d'entr�e m'informait que l'infirmi�re revenait.

Guy revint en cours et nous pass�mes l'apr�s-midi comme si de rien n'�tait. Le soir, nous part�mes chez lui, il habitait � cot� du lyc�e. J'appelai mes parents d'une cabine publique pour leur dire que je rentrerais plus tard en pr�textant un devoir � faire avec un pote.

Nous p�n�tr�mes dans sa petite maison et nous all�mes dans sa chambre qui se trouvait au dernier �tage. Elle �tait propre et bien rang�e. Il y avait un lit d'une personne, un bureau un peu encombr� de livres de classe, de BD et de revues. Des �tag�res croulaient sous les nounours, les livres, les jouets divers.

On retira nos blousons et je m'assieds sur le bord de son lit. Il alla chercher en dessous, deux classeurs. Je reconnus le premier qui contenait ses photos pornos. Je lui demandais ce que contenait l'autre. Il y avait dedans des photos pornos, mais cette fois avec des photos homos, lesbiens, et avec des pratiques extr�mes (sado, uro.). Je lui dis " Celui-l� tu nous le montres pas ". " Je pr�f�re pas " " et o� tu les as eu ? " " Je les pique chez le marchand de journaux ".

On s'allongeait sur le ventre sur le lit et on commen�a � feuilleter le deuxi�me classeur. Tr�s vite, j'avais une �rection d'enfer. Au bout d'une dizaine de minutes, je lui demandais s'il voulait qu'on commence. Il me r�pondit par l'affirmative. Il se mit sur le dos, d�fit sa ceinture et le bouton de son jean, ouvrit la braguette et sortit sa bite. Elle avait l'air assez petite et sa touffe pubienne �tait fournie. J'en fis de m�me. Nous commen��mes un va et vient sur nos hampes respectives, le classeur entre nous deux.
Alors que ma main gauche allait et venait sur mon chibre, je posais la main droite sur sa verge et rempla�ait la sienne. Il croisa les mains et les pla�a sous sa t�te. Je nous masturbais lentement. Au bout d'un moment, il prit ma bite dans sa main et on se masturbait mutuellement. " Je l'ai d�j� fait avec mon cousin " dit-il. C'�tait divin. Les pages du classeur continuaient � d�filer avec son cort�ge de pipes, de sodos, de cunnilingus et de cuir.

Puis, je me d�cidais et je lui passais une main au-dessus du pubis et je d�gageais son nombril. Je me penchai vers lui et commen�ai � embrasser son nombril tout en caressant son sexe et son bas-ventre. Le jean m'emb�tait un peu. Tr�s vite, je descendais vers sa bite. Je lui jetais un coup d'oeil et il me regardait intens�ment. Je le d�calottai doucement. L'odeur �tait forte, poivr�e et musqu�e mais tr�s agr�able. Je donnais un petit coup de langue sur la base du gland et je sentis son sexe se tendre. Je fis le tour du gland puis je descendais vers les couilles. Je dus m'arr�ter car le jean m'emp�chait de les atteindre. Je remontais et pris sa verge en bouche. Nouveau spasme. Je commen�ai un va-et-vient avec ma main et ma bouche.

A chaque fois que j'acc�l�rais je lui arrachais un r�le de plaisir. J'adorais le go�t de sa bite et je bandais comme jamais. Je lui ouvris compl�tement le jean et le fis glisser pour faire appara�tre compl�tement son bas-ventre. Cela me permit de faire des aller et retour vers ses couilles que je gobais avant de revenir avec la pointe de la langue vers le gland. Je r�alisais enfin ce que j'avais r�v�. Cela lui faisait plaisir car je voyais qu'il fermait les yeux et il se tortillait. Il me caressait les cheveux en accompagnant mes caresses buccales.

Avec une main, je lui massais les testicules tandis que ma bouche et l'autre main s'activaient sur sa bite sur le point d'exploser. J'acc�l�rais le mouvement. Il me dit " je vais jouir ". Je continuais. Je re�us alors son sperme au fond de la gorge ce qui me fit un peu suffoquer. J'avalai toutes les gicl�es et continuai � le sucer. Il poussa un " ah " de contentement et de soulagement. Son sperme �tait plus consistant et plus �pais que le mien. Le go�t �tait diff�rent aussi.

Je repris ma place � ses cot�s ma bite �rig�e. Il la prit dans sa main et me masturba. " Tu veux go�ter ? " lui demandai-je. Pour toute r�ponse, il se releva et enfourna ma bite dans sa bouche. J'eus un hoquet. M�me s'il n'�tait pas expert, je sentais les vagues de plaisir � chaque va-et-vient. Rapidement, j'eus envie de jouir. " Fais gaffe �a monte ! ". Il se retira imm�diatement et continua � me branler. Un long flot de sperme sortit tandis que je poussais en " han " lib�rateur. Il prit le rouleau de sopalin et me le tendit. J'essuyai mon foutre. Heureusement, je n'en avais pas mis sur mes v�tements.

On se recouchait sur le dos, l'un contre l'autre, nos bites molles mais pas compl�tement. Il me dit
- alors ?
- c'�tait super
- ouep, mieux que la grosse Julie, celle qui m'a pomp� dans les toilettes de la piscine
- c'est vrai cela t'a plu ? M�me de me sucer
- te sucer ? Ouais ... pas mal, c'est moins d�geu que ce je croyais. Je pr�f�re �tre suc� tout de m�me.

Je recommen�ai � lui caresser la bite. Elle r�agit imm�diatement et reprit de la vigueur.
- tu veux qu'on recommence ? Lui demandai-je
- Ouep, j'ai encore envie que tu me suces
- pas tout de suite, j'ai envie d'autres choses, on n'a pas tout fait, " lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.
- Par exemple ?
- �a par exemple

J'approchais mes l�vres et l'embrassait. Il se laissa faire et je fis p�n�trer ma langue. Nous �change�mes un long baiser langoureux.

Puis, je me d�v�tis compl�tement et je terminais de le d�shabiller. Nous �tions nus comme des vers, avec nos p�nis dress�s. Je m'allongeais sur le lui et l'embrassait de nouveau. Il me caressa les fesses. Il me mit sur le dos et il �tait au dessus de moi. Nos bites �taient l'une contre l'autre et il fit onduler son corps tout en m'embrassant. Je lui caressai le dos, les fesses et les cuisses. Apr�s un moment, j'�cartais les jambes et je les pla�ais autour de lui. Il acc�l�ra. Je lui glissais � l'oreille dans un souffle, " je voudrais que tu me prennes ". Il arr�ta et me regarda. Il me dit " tu es un vrai p�d�, une vraie salope en fait ". Je ne dis rien.
Il me retourna et je me retrouvais sur le ventre. Je cambrais les reins comme sur une des photos du classeur et lui offrais mes fesses.

Il mit son sexe dans ma raie et allait et venait. Je sentais sa verge tr�s dure qui me caressait l'anus. Apr�s quelques instants, il essaya de rentrer mais � part un doigt, rien n'�tait jamais rentr� et mon anus lui refusa le passage.
- il faut lubrifier je crois, dis-je
- avec quoi ? Je vais voir ce qu'il y a dans la pharmacie

Il partit et revint 1 minute plus tard avec un tube de cr�me pour fesses de b�b�. Il me tartina la rondelle avec cette cr�me et m'introduit sans probl�me un doigt.

Il essaya de nouveau. Cela me fit un peu mal. Il fit un va-et-vient et � force il commen�a � me p�n�trer. La douleur n'�tait pas intense. Il resta sans bouger. Je commen�ais � m'y faire. Il poussa un peu et entra plus profond�ment. Apr�s quelques aller et retour, il �tait compl�tement en moi. Il me lima doucement et la douleur fit place au plaisir. Aux bruits qu'il faisait, cela lui plaisait aussi. Il alla de plus en plus vite et je sentis monter notre jouissance. Arriv� � un sommet, nous cri�mes tous les deux, je sentis son sperme dans mes entrailles et j'inondais ses draps.

Nous nous �croul�mes. Nous restons un moment comme cela, je sentais sa bite qui devenait flasque. Il finit par se retirer. Je me retournais sur le dos et je l'embrassais � pleine bouche. Je lui dis :
- Merci
- Merci pour quoi ?
- Ca t'a plu ?
- C'est la premi�re fois que je baisais et c'est bon d'�tre dans un cul.
- Je suis d�sol� pour tes draps
- Ma m�re croira que c'est � moi

Je voulus l'embrasser � nouveau mais il d�tourna la t�te et me dit " il va falloir que tu partes, ma m�re va rentrer ".

Nous nous rhabill�mes en silence. Il �pongea mon sperme avec le Sopalin.

Il me raccompagna � la porte et me fit un signe d'au revoir.

Je retournai chez moi sur un petit nuage. Ca y �tait je l'avais fait, et bien en plus.

Les jours suivants, il me demandait juste de le sucer dans les toilettes du lyc�e, il pr�textait que sa m�re �tait l� ou son p�re. Nous n'avons jamais recommenc� � faire l'amour. Comme j'en avais marre de le sucer, nous avons arr�t� et quelques temps plus tard, il sortait avec une fille qui allait au lyc�e. Sans doute que l'exp�rience ne lui avait pas plus, ou alors le remettait trop en question son h�t�rosexualit�. En tout cas, il nous l�cha avec ses histoires de cul et son classeur. Il se comportait avec moi comme si de rien n'�tait mais je voyais dans ses yeux qu'il me traitait de p�d�. Il alla dans un autre lyc�e que le mien et nous nous sommes perdus de vus.

Farfalino

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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