Embarquement Imm�diat !Roissy - Charles de Gaule, vendredi soir, 23 heures 50. Je viens de faire enregistrer mes bagages et il me reste un peu plus d'une heure � patienter avant de pouvoir embarquer. J'ai h�te de me retrouver dans l'avion et de d�coller. � vrai dire, j'ai plut�t h�te d'atterrir. Ces dix jours en Espagne vont �tre " mul caliente ". J'ai, par le biais d'internet, fait quelques rencontres virtuelles que je compte bien concr�tiser pendant cette semaine . Je me mets � fantasmer sur tous les latinos en rut que je vais rencontrer, toutes ces beaut�s ib�riques qui vont me bourrer sans retenue. � cette pens�e, je sens ma queue qui commence � prendre vie dans mon boxer. Elle grossit et durcit et me voil� dans une salle d'attente d'a�roport avec une bonne trique. Je me raisonne et me calme, en me disant que ce n'est pas le bon moment, ni l'endroit. Pour faire passer le temps, je me rends dans un kiosque � journaux pour m'acheter deux ou trois magazines. Il y a tr�s peu de monde, deux ou trois types qui comme moi, viennent se chercher un peu de lecture. Je mate discr�tement, du coin de l'oeil, certains d'entre eux qui sont franchement � mon go�t . Ils paient et s'en vont. Je continue ma qu�te de magazines et regarde dans tous les rayons ce qui se pr�sente devant moi. Au rayon " presse masculine ", en haut du pr�sentoir, je peux voir quelques magazines gays, arborant en couverture de superbes m�les torse nu . Je suis litt�ralement attir� par l'un deux, comme s'il me suppliait de m'attarder sur lui, comme si je l'entendais me dire un truc du genre : " Ach�te-moi ! Ach�te-moi ! ". ;o) On a tous v�cu �a, je pense. Je m'attarde sur celui-ci, puis sur les autres, mais ne peux en voir beaucoup parce qu'ils sont sous cellophane . Au bout de cinq bonnes minutes, et apr�s avoir reluqu� toutes ces chaudes couvertures, je me rends compte qu'il y a de nouveau du monde dans le kiosque : un papy et trois autres mecs sont entr�s sans que je ne m'en aper�oive : un peu g�n�, je m'�loigne de ce pr�sentoir pour continuer ma qu�te . Je me choisis deux ou trois conneries, passe � la caisse et retourne en salle d'attente. " Alors, comme �a, on regarde les revues de p�d�s ? T'aimes la bite, c'est �a ? Mais si y'a que �a, on va t'en donner ! ". Pendant qu'il me disait �a, il a chop� mes bras et me les a pass�s dans le dos. De suite, il m'arrache de ce lavabo et me guide vers le fond de la salle. Il pousse la porte de la cabine pour handicap�s et me pousse violemment � l'int�rieur. Sur le c�t�, j'aper�ois son pote, debout contre une paroi, le f�te aux chevilles en train de se branler. Quel spectacle magnifique ! Ce mec est vraiment tr�s beau :1,83 m�tre, 83 kilos, beur, muscl�, tr�s belle gueule, torse bien dessin� recouvert d'une formidable toison de poils, une bonne teub de 20x6 archi raide, de grosses cuisses muscl�es et poilues . Il me mate droit dans les yeux et continue d'astiquer son gros chibre. Son pote entre a son tour, ferme la porte � double tours, me chope par la nuque et me dit : " T'en voulais, t'en auras ! Pompes-le ! Tailles-lui une bonne pipe ! T'as vu cette belle queue ? Allez ! " " Pompes le ! " m'ordonne t-il. Je m'ex�cute. Il est vrai que j'adore �a. J'ai toujours aim� pomper un mec. Je prends un pied d'enfer quand j'ai le plaisir de sentir une queue raide et chaude dans ma bouche, d'entendre son propri�taire g�mir sous mes coups de langue . J'ADORE CA !!! Je le pompe du mieux que je peux, gobe sa queue au maximum de mes possibilit�s, lui caresse le cul, les cuisses . Le beur continue de se branler pendant ce temps et je suppose qu'il ne rate rien du spectacle. Voyant cela, je d�cide qu'il serait plus cool que je le fasse moi-m�me. Je pompe sa queue au maximum en le caressant de la main gauche, et de la main droite, je branle cet �talon arabe. Par la suite, je passe d'une queue � l'autre en essayant de satisfaire autant l'un que l'autre. Quand soudain, le mec blanc nous dit : " Bon allez, �a suffit l� ! Rel�ves-toi ! D�froques-toi ! Allez, on n'a pas que �a � foutre ! Fous-toi � oilp ! " En disant �a, il commence � me d�froquer. Il jette ma veste dans un coin de la cabine et s'attaque � mon f�te qui tr�s vite s'�crase sur mes chevilles, rejoint dans la foul�e par mon boxer dans la seconde qui suit. Il rel�ve mon pull et vient le coincer derri�re ma nuque. Pendant tout ce temps, je n'ai pas boug�, comme bloqu�, admiratif devant le corps parfait du beur : il �tait toujours contre la cloison, torse nu � pr�sent, toujours parfaitement foutu et avec son gros chibre qui pointait vers le haut. Il rajoute : On s'ex�cute. Karim prend place sur le r�servoir contre le mur et quand je me penche pour le t�ter, il me chope par la nuque et me dirige droit sur sa queue. Pendant ce temps, son pote me mets un peu de lubrifiant, enfile une capote et se place derri�re moi. Il fait glisser sa queue dans ma raie quatre ou cinq fois, puis son gland vient chatouiller ma rondelle. Il me p�n�tre d'un coup. Il enfonce sa queue violemment dans mon cul jusqu'� la garde . Ses couilles poilues viennent buter contre mon cul. Au bout de quelques secondes, il s'active de nouveau : il me baise lentement, mais tr�s vite ses va-et-vient se font plus violents et plus rapides. Je m'efforce de continuer � pomper la divine queue de Karim mais �a reste difficile avec les coups de butoir que j'endure . Il g�mit doucement, remplit sa capote de foutre, me fesse et dit : " Putain, on est bien la-dedans ! Il est tout chaud ton cul ! T'es une vraie salope ! T'aime te faire tirer, toi ! ". Il se retire d�licatement et quand sa grosse queue est � m�me de sortir, il inverse la vapeur et l'enfonce jusqu'� la garde. Puis recommence, encore et encore . Je suis sensible � la douceur des mouvements provoqu�s par ce braquemard �norme. Karim me baise lentement, tendrement et me caresse partout. De mon c�t�, je profite pleinement de sa mani�re de me baiser et savoure chaque instant. Ma rondelle est en train d'�tre pleinement satisfaite. Le pote de Karim (dont je ne sais toujours pas le pr�nom, d'ailleurs !) voyant que je prenais mon pied, s'est approch� et a mat� ma queue qui gonflait. Apr�s l'avoir reluqu�e un moment, il a un peu jou� avec puis s'est d�cid� � la branler purement et simplement. Je caresse les grosses cuisses et les couilles de Karim . Puis je me retourne un peu pour profiter de son magnifique torse : le fait de le voir et de pouvoir le toucher, cumul� aux divines sensations que sa queue me procure, me chauffe terriblement. Je suis toujours pench� au dessus des chiottes : de la main gauche, je me tiens au mur et ma main droite parcours l'anatomie de Karim. Cuisses, couilles, torse . rien ne m'�chappe. J'ai m�me entr� deux de mes doigts dans sa bouche, et � ma grande surprise, il les a suc�s . Tout ceci avait lieu pendant qu'il m'enculait avec la plus grande douceur . J'explore � nouveau son anatomie en prenant soin de m'attarder sur son torse muscl� et poilu (puisque c'est l'objet des tous mes fantasmes .). Mais, je n'en peux plus : tous mes sens sont chauff�s � l'extr�me. Je ne vais pas tarder � jouir. Mes g�missements sont un peu plus forts et le mec qui me branle sent � la raideur de ma queue que je vais juter. Il acc�l�re alors sa branlette et astique ma queue avec une vitesse folle. Mon foutre se r�pand partout : dans la cuvette, sur la lunette et une bonne partie sur mon f�te et mon boxer . Karim a lui aussi acc�l�r� la cadence pendant que je jutais puis fait mine de se retirer . " T'arr�tes pas, s'il te pla�t ! Continues de me baiser, c'est trop bon ! " En m'entendant dire �a, il me sourit et enfonce � nouveau son gros membre au fond de mon cul. Il continue ses va-et-vient tendres et langoureux puis, au bout de deux minutes, acc�l�re le rythme. Sa queue s'active de plus en plus dans mon cul. La cadence devient de plus en plus effr�n�e. Il me pilonne de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Ceux qui �taient de petits g�missements au d�but sont devenus de vrais r�les de plaisir. Je miaule comme une petite chatte qui se fait tirer par un gros matou ! Il ne rel�che pas pour autant, bien au contraire. Je sens que ses mains deviennent moites, la sueur coule de son front et vient s'�craser sur mon dos. Il continue � me limer avec force, violence et fr�n�sie. Tout d'un coup, il se retire, d�livre sa queue de son emballage de latex et d�charge une quantit� impressionnante de foutre sur mon cul et dans mon dos. Je sens sa semence toute chaude venir s'�craser sur tout mon corps. Il tapote sa queue contre ma raie et au bout d'un moment s'en �carte. " Putain, c'�tait bon ! T'es une bonne salope, toi ! " Ils se rhabillent et disparaissent. De mon c�t�, comme je suis couvert de foutre, j'attrape le PQ et commence � m'essuyer. �a m'a pris un bon moment : j'en avais sur le cul et dans le dos (celui de Karim), �galement sur les cuisses et sur mes v�tements (le mien) . J'ai �galement essuy� mon jus qui �tait tomb� sur la lunette des chiottes et par terre. Enfin, tout est en ordre. Je sors de la cabine, vais me laver les mains et sors des toilettes . Quand je me retrouve dans le hall, je vois une horloge et l�, c'est le drame ! Mon avion d�colle dans 4 minutes. Je cours jusqu'au guichet d'embarquement, pr�sente mon billet, continue ma course sur la passerelle et entre in extremis dans l'avion. � l'entr�e, l'h�tesse me salut. � bout de souffle, je ne peux pas lui r�pondre. Je lui souris et hoche de la t�te. Je rejoins mon si�ge. L'avion quitte la piste deux ou trois minutes plus tard. Au fait, les rencontres en Espagne ont �t� sympas, sans plus . :o( HankySpankyR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |