Cyrillo

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Un Doudou un peu sp�cial

Salut � tous!

Petite pr�sentation rapide: Marc, 25 ans, pas tr�s grand, mais mignon comme il faut, ce qui me permet de mettre pas mal de mecs dans mon lit! P'tit mec de taille normale avec un look h�t�ro. Les gens qui ne le savent pas, ne se doutent pas que je suis homo.

Cette histoire se passe il y a une dizaine de jours, en Belgique, lors de la Ducasse annuelle, le Doudou pour ceux qui connaissent.

J'�tais en rue avec ma bande d'amis devant un bar � picoler, raconter des conneries et rire de tout et rien. C'est la f�te dans toute la ville pendant 5 jours, la musique r�sonne de partout et les gens sont tous bourr�s. L'ambiance grandit plus les heures passent et la foule ne d�semplit pas!

Malheureusement pour moi, je bosse ce weekend... Le temps pour moi de dire au revoir est venu. Je me l�ve dans quatre heures! Je termine ma vodka, embrasse mes potes et me dirige l�g�rement �m�ch� vers la foule. Je disparais en quelques secondent laissant mes potes finirent la soir�e.

En temps normal, je mets cinq bonnes minutes pour rentrer chez moi de l� ou je me trouve, mais avec ce monde il m'en faudra vingt. J'arrive devant l'immeuble, cherche mes cl�s, passe la porte du sas et essaie d'ouvrir la porte du hall d'entr�e quand d'un coup, je me retrouve plaqu� contre celle-ci. Ma t�te heurte la porte et je me retrouve sonn� quelques instants. Pas le temps de reprendre mes esprits que j'entends une voix assez grave me dire de ne pas gueuler et d'ouvrir la porte sinon il me "p�terait" la tronche.

Je ne vois pas le gars, il me tient un bras fermement dans le dos et appuie dessus pour que je me d�p�che. Je peux remarquer qu'il porte un surv�t ainsi qu'un t-shirt. Il porte aux pieds une paire de Air Max, la casquette, est viss�e sur la t�te. Ce mec a une vraie t�te de racaille et je commence � flipper! Il me coince si fort que je sens son paquet dans le creux de mon dos, je ne crois pas qu'il bande mais �a l'air bien rempli. Ayant trop mal, je ne me concentre m�me pas sur le sujet, je d�cide d'ouvrir la porte et de le laisser entrer.

A ce moment l�, je ne sais pas ce qu'il veut. Est-il l� pour moi? Pour autre chose? Peut-�tre avait-il seulement besoin d'entrer pour accomplir un m�fait... J'ouvre la bouche pour lui dire qu'il fait ce qu'il veut, mais qu'il ne me fasse pas de mal. A peine le temps de terminer ma phrase, je me ramasse une baffe et il me dit: "Ta gueule!".

Lui: "C'est toi que je veux, tu vas me suivre au sous-sol et de va me soulager la queue, ;je dois me vider les burnes!"

Moi: "Mais je suis pas p�d�, je vais rien faire du tout."

Je me ramasse alors une autre baffe et un gros mollard au milieu de la face.

Moi: "Ho! Tu te prends pour qui av..."

Une troisi�me baffe me scotche litt�ralement et il m'attrape par le cou.

Lui: "Ferme ta gueule sale p�d�, tu vas faire ce que je te dis sinon, je te d�monte ta race et tu regretteras de pas avoir sucer ma teub. Je t'ai vu remu� du cul � ton bar � tapettes alors maintenant tu assumes et tu me suis."

Il ouvre alors la porte de l'ascenseur et me pousse violemment � l'int�rieur. Il monte � son tour et je peux maintenant voir son visage qui �tait jusqu'ici rest� dans la p�nombre. Une bonne t�te de lascard qui me regarde avec d�dain et une pointe de perversit�.

Je n'ose pas broncher de peur de m'en reprendre une, je le regarde � peine. Je sens son regard et son souffle sur moi. Il appuie sur le bouton, l'ascenseur descend et il se t�te le paquet. Il me met une main au cul que je retire d'un geste brusque. Ca ne lui plait pas et �a se voit, il me fracasse la t�te dans la paroi!

L'ascenseur se stoppe, il ouvre la porte et me tire � l'ext�rieur. Encore sonn�, il me coince contre le mur, me force � m'agenouiller et me sors sa queue qu'il veut me foutre en bouche. Je le repousse et me prends un coup de genou dans le bide. Il continue � m'insulter de sale p�d�, de salope.

Lui: "Putain, sale chienne, tu vas bouffer ma queue ou je te bastonne? Ouvre la bouche ou je t'en mets une!"

Moi: "Va te faire foutre, connard, je vais rien bouffer du tout!"

Lui: "Ok! Tu veux jouer? on va jouer..."

Il s'approche de moi, plaque son gland contre mes l�vres et essaie de forcer le passage. Je r�siste, mais impatient, il me remet encore une baffe et me mollarde la tronche. Blas� et l'alcool aidant, je finis par c�der et commence � engloutir ce morceau de chair qui mine de rien, me fait quand m�me envie.

Lui: "Voil� sale chienne, tu commences � comprendre qui commande. Plie-toi aux r�gles et tu seras pas perdant! Bouffe bien ma teub � fond... Ouais, voil�... Comme �a, ouais, vas-y!"

Je le pompe maintenant avec vigueur et sa queue grossit en un rien de temps. Tr�s vite, elle atteint son maximum et je me retrouve nez-�-nez avec un engin de 19*6. Je m'active sur son manche et je prends de plus en plus de plaisir. Je me laisse compl�tement aller et je salive de plus en plus. Il a l'air de prendre son pied et d'�tre satisfait de la tournure de la situation.

Lui: "Wesh salope, tu comprends vite! Tu pompes trop bien, on voit que tu aimes �a. T'as pas �t� facile � dresser, mais une fois que t'as de la teub devant le nez, tu dis pas non longtemps."

Je bredouille un: "Elle est trop bonne ta queue!", mais vu comment ma bouche est remplie, il a pas du tout comprendre. Ca a pourtant eu effet de l'exciter encore plus car, il se met � me pilonner la gueule de plus en plus vite, de plus en plus loin et de plus en plus fort. Il s'acharne comme un fou, je salive de plus en plus au point ou la bave commence � me couler de la bouche. Il m'insulte, me mollarde sur la gueule et me colle une baffe. Ca m'excite tellement que j'ai failli jouir. Je bande comme un porc, ma bite me fait mal tellement �a chauffe au sous-sol.

Il sort sa queue et commence � me frapper le visage avec et vu le gabarit, inutile de pr�ciser que je la sens bien. Je tire la langue pour lui montrer que je veux de la sauce. Il prend un malin plaisir � me dominer et � faire de moi sa chose. Il sait que je voudrais qu'il jute sur ma gueule, mais il n'a pas l'intention d'en rester l� et �a se voit dans ses yeux.

Lui: "Alors, elle est bonne ma queue?"

Moi: "Ouais, � mort!

Lui: "Tu kiffes �a pomper de la bonne teub, hein ma salope?"

Moi: "Ouais, de la bonne grosse teub de racaille... Vas-y baise moi la gueule!"

Apr�s ces quelques minutes � me claquer la face, il me fourre sa queue d'un seul coup au fond de la gorge et reprend son limage de gueule. Puis, d'un coup, il se retire, me rel�ve, m'�te le t-shirt et commence � vouloir m'enlever mon froc.

Moi: "Qu'est-ce-que tu fais? Je croyais que tu voulais que je te vide les burnes!"

Lui: "Wesh tapette, mais j'ai pas pr�cis� comment!"

Moi: "Ouais ouais, mais �a va pas le faire, j'..."

Encore une fois, pas le temps de terminer ma phrase, qu'une paire de baffes s'abat sur moi et sans que je ne comprenne rien, je me retrouve � terre, les jambes en l'air � voir mon froc valser! Je me retrouve en boxer devant mon beau lascard qui commence � se d�saper. Il vire sa casquette pour enlever son t-shirt. Je peux donc voir maintenant qu'il a le cr�ne ras� et qu'il est tatou�. Ma queue repart de plus belle. Il remet sa casquette et me remet en place contre le mur. Il a toujours son surv�t, baiss� en dessous de couilles et je vois qu'il a �galement un tr�s beau cul.

Il se replace devant moi et me reclaque le visage avec son zob. Il me la fout en bouche et me force � le pomper. Soudain, je sens un liquide m'envahir la bouche. Le temps que je comprenne qu'il �tait en train de pisser et c'�tait d�j� trop tard. Il avait pris soin de me coincer de fa�on � ce que je ne puisse pas bouger. J'avais beau me d�battre, impossible de bouger. Je recrachais la pisse comme je pouvais, tout me d�goulinait sur le torse et le boxer. Il finit par s'enlever pour terminer de me pisser dessus et pouvoir d�cider o� il le ferait. Vu la surprise, il �tait un peu tard pour rechigner et je l'ai donc laiss� faire. J'avoue que �a m'a bien excit�!

Lui: "Mets-toi � quatre pattes!"

Moi: "Non, pourquoi?"

Lui: "Fais pas le malin, mets-toi � quatre pattes et ferme ta gueule!"

Je m'ex�cutais... Il baisse mon boxer en dessous de mes fesses et me pissa � la raie. Il se pla�a derri�re moi et commence � me dilater le trou � l'aide de sa pisse. Il mit un doigt, puis deux. Il les fit entrer bien au fond et il se mis � jouer avec ma prostate. Il me remis � genoux et termina d'uriner sur ma gueule.

Lui: "Alors grosse pute, tu kiffes �a te faire arroser? Avale ma pisse et tire bien la langue!"

Lui: "R�ponds ou je t'en mets une!"

Moi: "Mmm, Mmm, trop bonne ta pisse, vas-y l�che-toi!"

Il me remis sa queue en bouche afin de continuer � le pomper. Il en profita pour se pencher derri�re moi et d�chira mon boxer au niveau de mon trou. Je fus assez surpris, mais le laissa faire. Il for�a ma t�te � descendre jusqu'� ses Air Max qu'il m'ordonna de l�cher. Il en profita pour me mettre des fess�es et je crois qu'il a du me rendre le cul rouge. Il continua � me doigter en y allant de plus en plus loin, moi, toujours la t�te dans ses skets, je prenais mon pied!

Il arr�ta quelques minutes le temps de faire valser son jogging et enlever ses pompes qu'il rangea devant moi. Il s'est plac� derri�re moi, m'a encore affubl� le cul de quelques claques et enfila un capote en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.

Il m'ordonna de sniffer ses skets, mais n'ob�issant pas, il for�a sur ma t�te et je finis par m'abaisser. J'�tais l� devant lui, le cul en buse � sentir ses odeurs de pied qui m'enivraient. Il me claqua le cul de ta teub et remis mon boxer en place.

Lui: "Pr�t � te faire d�monter?"

Ne r�pondant pas, il m'attrapa par les cheveux et me releva la t�te, il me cracha un gros mollard en plein sur le nez.

Lui: "R�ponds quand je te parle salope! T'es pr�t � te faire d�monter?"

Moi:" Je t'emmerde p'tit con!"

Il me mis alors un coup de coude dans dos et reprit:

Lui: "Fais gaffe � ce que tu dis sale chienne, quand j'en aurai fini avec toi, c'est toi qui en redemanderas!"

Moi: "Que des paroles, apprends � te servir de ta bite avant de parler!"

Sans que je ne puisse dire quoi que ce soit, il me remis le pif dans ses skets fumantes, m'attrapa par les hanches et me p�n�tra d'un coup sec.

Moi: "Aie!! Ca va pas... Tu te prends pour qui connard?"

Lui: "Tu veux jouer au plus fort avec moi tapette, t'inqui�te, tu gagneras pas..."

Je voulu me d�gager alors il me coin�a la t�te dans les shoes et commen�a � me limer des plus en plus vite, de plus en plus loin et de plus en plus fort. Sa queue faisait des va-et-vient si brutaux que j'en avais mal au cul. Je commen�ais malgr� tout � couiner de plaisir et �a l'excitait. Il redoublait d'intensit�, � vouloir aller toujours plus loin. Il me baisait par le trou de mon boxer et j'�tais l� comme un con � subir ses assauts.

Lui: "Alors, ma salope, tu la sens bien ma teub?"

Moi: "A peine, c'est tout ce que tu es capable de faire?"

Lui: "Fais pas le malin, je fais que commencer avec toi. Quand j'aurai fini, tu pourras plus t'asseoir!"

Moi: "Mais oui, c'est �a, tu crois encore au P�re No�l?"

A ces mots, il entra dans une transe incroyable. Une pluie de claquent vinrent me rougir les fesses encore plus qu'elles ne l'�taient d�j� et acc�l�ra le rythme que je trouvais pourtant assez bien soutenu. Il passa � la vitesse sup�rieure en me mettant des coups bien profonds au fond du fion. Il finit par sortir et me la rentrer aussi vite plusieurs fois de suite.

Lui: "Alors, tu la sens bien maintenant salope? Tu la ram�nes encore ou tu as compris?"

Moi: "Ouais, c'est bon vas-y bien � fond! Han... han... han... ouais comme �a, ouais ;vas-y, donne tout ce que t'as, je suis ta salope, ton vide couilles!"

Lui: "Tu la kiffes ma queue b�tard?"

Moi: "Je la kiffe grave, parfaite pour mon cul... Han... han... han... vas-y, donne toi � fond!"

Lui: "Han... han... Ca se voit que tu kiffes �a salope, t'as vraiment un trou � bites! Han... han... han... Tout ce que tu veux, c'est te faire engrosser, qu'on te remplisse le fion de foutre. Han. han... T'es un vrai garage � bite sale chienne!"

Moi: "Vas-y, fais toi plaisir, d�monte-moi ma race, explose-moi le cul..."

Lui: "Parfait, je vois que tu comprends vite et que tu m'appartiens. Je fais de toi ce que je veux, tu es ma chose, mon sac � foutre!"

La baise dura une bonne vingtaine de minutes, puis il se retira, me mis une grosse claque sur le cul et vint se placer devant moi. Il me releva de sorte que je sois � genoux devant lui. Il se branla de toute ses forces et me demanda de tirer la langue. En quelques secondes, il s'est mis � grogner. Il �tait au bord de l'explosion et j'allais enfin me ramasser une bonne dose de foutre sur la gueule.

Lui: "Wesh salope, vas-y, tire bien la langue... Ouais comme �a, ouais vas-y prends �a, je vais jouir... Han... han... han"

Moi: "C'est �a mon grand, balance la sauce!"

Il m'�claboussa alors gueule de quatre bonnes gicl�es, puis me for�a � pomper pour me prendre le reste de son foutre. Il me balan�a deux nouvelles razzia de jus au fond de ma gorge et me coin�a la t�te.

Lui: "Vas-y sale pute, avale maintenant!"

Il se retira et m'observa. Je me branlais comme un fou et j'�tais sur le point de jouir quand il se rendit compte que je n'avais pas avaler. Il me mis alors une baffe et m'affubla d'un: "Bouffe sale chienne!". Ca a eu pour effet de me faire juter, mais je me suis rendu compte trop tard que ses pompes avaient fait barrage entre ma queue et le sol. Elles �taient macul�es de ma semence...

Ca bite d�bandait, mais il la tenait toujours en main. Il eut un sourire que je ne comprenais pas, mais alors que j'�tais en train de me l�cher les l�vres pour r�cup�rer ce que je pouvais de foutre, je sentis un jet chaud m'inonder � nouveau. Le salaud se faisait plaisir et soulageait sa vessie de toute la bi�re ingurgit�e.

Moi: "Non, mais c'est bon, t'en as pas eu assez?"

Lui: "Ferme-la p�dale, je croyais que t'avais compris que tu avais rien � dire. Et vu ce que tu viens de te prendre, t'es pas en mesure de discuter!"

Je baissa alors la t�te en signe de d�faite et ne r�pondit pas. Il commen�a � se rhabiller, mais il se rendit compte tr�s vite que ma jouissance avait laiss� des traces. Il m'attrapa la gueule, me mis une baffe et me for�a � l�cher. Il se pencha et joua encore des doigts dans mon cul pendant le d�crassage de ses shoes. Il me claqua une derni�re fois le cul et enfila ses skets en me repoussant comme une merde, me lan�a un mollard.

Lui: "Wesh tapette, t'as vu c'est quoi de se faire d�monter le fion, la prochaine fois que je te recroise tu me suis et tu discutes pas. Oublie pas que je sais o� tu habites! Allez, ciao..."

Un sourire en coin, fier de lui, il disparut dans l'escalier, me laissant l�, souill� de pisse et de foutre, � poil, un trou dans le boxer...

Moi: "Ciao!"

Je regardais l'heure, quatre heures! Cet encul� m'avait abus� pendant deux heures et je ne m'en �tais pas rendu compte. Je me rhabilla tant bien que mal, monta � mon appartement, ferma derri�re moi et alla prendre une douche bien m�rit�e. Je m'�croulais de fatigue sur mon lit en repensent � cette sacr�e racaille qui venait de faire de moi ce qu'il voulait.

Le r�veil fut brutal, la journ�e au boulot s'annon�ait p�nible. Je ne pu m'emp�cher de repenser sans cesse � cette nuit d'humiliation et en y r�fl�chissant bien, je crois que la seule chose qu'il voulait vraiment �tait de faire de moi sa lope et de me prouver que face � lui, je n'�tais rien. Et il avait r�ussi! Ce mec avait r�ussi � faire de moi sa chienne comme jamais je ne l'avais �t�. Comment avait-il pu conna�tre tous mes trips pour la plupart encore non r�alis�? Tout �a me perturbait et en rentrant chez moi, j'en �tais encore � me poser des questions.

J'alluma l'ordinateur et me connecta � MSN. Un gars sans photo vint directement me parler:

Lui: "Alors, on s'est bien fait explos� le fion hier?"

Interloqu�, je me demandais qui ce gars �tait et comment il pouvait savoir qu'une petite merde de racaille m'avait culbut�.

Je commen�ais alors � comprendre...

Moi: "Enfoir�!"

Il m'expliqua ensuite qu'on avait chatt� quelques temps auparavant. On s'�tait rencontr� sur un site de cul, mais je n'avais jamais vu sa photo. Il m'expliqua aussi qu'il ne m'aurait jamais fait de mal, qu'il savait que je kiffais les plans style viol et que si on avait fix� RDV, �a n'aurait pas �t� pareil. Je l'insulta de tous les noms et lui fit comprendre que c'�tait quand m�me tr�s risqu� de jouer � �a et que les choses auraient pu prendre une autre tournure.

Il s'excusa mille fois et m'assura que si �a avait �t� le cas, il aurait mis carte sur table et m'aurait d�ball� la v�rit�. M�me si je lui en voulais, je ne pouvais nier que le plan m'avait fait tripper. Je me sentais soulag� de le savoir gay, je n'avais pas � craindre de me faire agresser en rue. Je discutais de choses et d'autres avec lui et je me suis rendu compte qu'il n'avait de racaille que l'attitude et le look.

Il s'excusa � nouveau plusieurs fois, il m'expliqua aussi que son but n'�tait pas de me violer au sens propre du terme et que jamais il ne m'aurait d�mont� la gueule. Ce gars �tait tout ce qu'il y a de plus sympa en fait. Je fini par le remercier pour la veille, que sans son initiative, je n'aurais os� franchir le pas. Ce gars avait r�ussi � me faire passer le plan le plus id�al pour moi... Que demander de plus?

On se promit de rester en contact et de remettre �a prochainement. Il insista sur le fait de ne jamais rien pr�voir et de laisser les choses se faire et de toujours surveiller mes arri�res. Je le quitta enfin pour aller me pr�parer en vue d'une nouvelle soir�e en ville.

La soir�e bat son plein et je ne peux m'emp�cher de repenser � ma racaille, rien que de l'imaginer devant moi me fait bander. Le temps passe, je discute, je danse, je bois... Mais jamais il ne quitte mon esprit. Quand soudain, quelqu'un me coince le bras de fa�on discr�te.

Lui: "Ne te retourne pas ou je te p�te le bras sale pute! Suis moi et d�p�che-toi!"

Je reconnais sa voix, c'est lui! Mon lascard me surprend une nouvelle fois, mais cette fois-ci, je ne le crains plus. J'esquisse un sourire, me retourne et le suis jusque dans une ruelle de la ville. Il m'attend adoss� contre un mur. Il s'approche de moi, me d�colle une droite, me force � m'agenouiller et sors le matos.

Lui: "Suce ma teub salope!

J'ouvre la bouche et me laisse emporter au rythme de la musique...

PtitMec


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