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Une douche arros�e

Je bande avant m�me d'�crire ce r�cit. Les images de cette fusion sexuelle et amoureuse ressurgissent, volent dans mon esprit et engourdissent mon membre. Le tissu qui le recouvre est �pais, rien ne transpara�tra.

Allong�s lascivement et amoureusement dans le canap�, je baise ses l�vres, lui mord le cou et enfonce ma langue dans sa bouche, profond�ment et avec force. Mon sexe durcit fortement, mon slip est modeste, ma queue est turgescente, je sens le d�sir monter en moi. Je ne le baiserai pas sur le canap�. C'est sous l'eau que nous nous unirons. Nous nous d�shabillons, le glaive rouge, bomb� et pr�t � l'attaque d�passe de son fourreau. Il d�verse
d�j� un liquide d'excitation.

Le spectacle peut commencer. L'eau coule. Je me mets � genoux et avale ce sexe long et fin. Je pompe, je pompe. Je le branle en m�me temps, j'entends sa satisfaction. Capitaliste dans l'�me, je travaille sa bourse avec beaucoup d'attention. Je l�che, je happe. Je suis un chien dans sa gamelle, j'ai faim, j'avale tout. Je veux la sentir au fond de ma gorge, je bois avec d�lectation ce petit sirop d�vers� par le gland. Sa pointe est rouge d'excitation. Vas-y, crie un peu de joie et de plaisir. Je m'abandonne, tellement c'est bon. Je me rel�ve pour l'embrasser et lui offrir le go�t de sa queue. Nos langues se battent. Je le mordille, le mords, le d�chire, le serre, l'�trangle. Ma queue se frotte contre son bas ventre dur, poilu, excitant. Retourne-toi.

Je veux que tu sentes l'objet de tous tes plaisirs dans ton dos. Je prends ma queue en main, je la frotte dans le creux des reins, l'approche un peu du trou magique. Je mets � genoux, je lui demande de s'incliner. Je l�che sa rondelle. Il adore �a. J'enfourne ma langue le plus loin possible, il la sent en lui. Le trou va s'agrandir.

J'enfonce un doigt. J'entre d�licatement dans la chambre, j'en ressors. La man�ge continue, je tourne et retourne. Deux doigts frappent � la porte. Entrez mes anges. Je sens son int�rieur, il y fait chaud, je sens ses parois fragiles. Il est pr�t. Mon sexe n'en peut plus. Il est large, les veines sont gorg�es de d�sir .

Je l'encule, un vrai bonheur. J'active la m�canique. Un
va-et-vient divin. Il crie de plaisir. Je vais l'enfoncer le plus loin
possible. Est-ce que tu me sens ? Je le d�fonce et il aime �a. Mon sexe
puissant le porte, ses muscles se raidissent. Je sors et le suce � nouveau.
Je le doigte en m�me temps. Je suis le ma�tre, je dirige tout. Il se laisse
faire. Il ne jouira pas tout de suite. Je me rel�ve, l'incline. J'enfonce cette bite gonfl�e � bloc dans cet orifice b�ant. Je fonce, enfonce, d�fonce. Je lui serre les fesses. Elles sont belles. Je lui suce le bas du cou, lui serre fort la gorge, lui tire la t�te en arri�re.

Je m'arr�te un peu sinon je vais d�verser mon foutre dans son corps. Je bois son sexe, cette tige merveilleuse, harmonieuse d'o� coule ce liquide �pais dont je raffole. Je le prends � nouveau, vas-y, g�mis. Est-ce que tu sens cette barre qui te transperce ? Je le branle en m�me temps. Il me dit qu'il veut sentir mon sperme. Je crois qu'il veut une jouissance frontale. Suce-moi alors. Lui qui n'aime pas le foutre, me pompe jusqu'� ce que je d�verse des jets de foutre dans sa bouche. Dieu, que c'est bon. Mon corps est l�ger.

Je prends sa queue, droite et fi�re. Je le masturbe, le suce. Ca va venir. Il
se branle devant moi, comme s'il s'exhibait. J'aime quand il prend sa queue et l'astique avec une telle fougue. Je sens qu'il va jouir. Mon visage est � hauteur de son sexe. Va-t-il m'arroser ? Son jet m'atteint, je bois quelques gouttes de son fameux liquide. Je lui nettoie la queue. Il ne d�bande pas. Je l'embrasse. Nous �changeons des baisers mouill�s, salop�s,fruit�s.

En esp�rant que ce moment vrai et v�cu vous aura fait autant d'effet qu'il m'en a fait en l'�crivant.

Ladis

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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