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Douce violence 2

La nuit qui a suivi celle o� j'ai r�v� que je me faisais violer a �t� des plus calmes. Par contre, la nuit suivante, c'�tait reparti pour un tour. Il est vrai que depuis que ce beau rebeu m'avait annonc� que son fantasme �tait de violer un mec, je ne pensais plus qu'� �a. Pendant la journ�e, quoi que je fasse, j'y repensais toujours, � un moment ou � un autre. Cette d�claration m'a litt�ralement obs�d� pendant plusieurs jours et s�rement plusieurs nuits. Il para�t qu'on r�ve toutes les nuits mais on ne s'en souvient pas toujours. Deux jours apr�s le premier r�ve (cf. " Douce violence 1 "), mon inconscient s'est de nouveau mis en branle en me faisant vivre de nouvelles aventures ...

Tout a d�but� comme la fois pr�c�dente : on s'est donn� rendez-vous dans un square tout pr�s de chez lui et on s'est dirig�s vers son appartement, alors en travaux. La mont�e des �tages m'a bien chauff� : je le suivais et je matais son cul, bien mis en valeur par un jean serr�. Houcine, 25ans, rebeu, mari�, 1h75, environ 75 kilos, yeux bleus, costaud, poilu, belle gueule ... On est entr�s dans l'appart et il m'a propos� d'aller dans ce qui allait �tre le salon. N'y tenant plus, j'ai d�graf� son jean et d�j� son boxer �tait d�form�. J'ai suc� sa teub � travers le tissus avant de la lib�rer : 18 par 5, droite et tr�s dure ... une tr�s belle queue ! Je l'ai suc� dans trois ou quatre positions et il m'a jut� dans la bouche. On a repris nos esprits et discut� un moment en fumant une clope.
Il venait de cracher tout son jus dans ma bouche ... il �tait affal� � poil sur le canap� ; moi j'�tais en boxer � genoux devant lui � contempler sa queue encore raide et macul�e de son jus ... Il me dit que �'a l'a vid�, qu'il est crev� et me propose d'aller nous allonger sur un matelas pos� par terre non loin de l� ... Il se couche sur le c�t� et me demande de me placer sur le ventre � c�t� de lui. Il pose ensuite sa main droite sur mon cul et me caresse � travers mon boxer. De temps en temps, il glisse sa main sous le tissus et en ressort assez rapidement. Sa main s'immobilise � pr�sent sur ma fesse gauche, il a le bout des doigt dans ma raie. Seul reste encore le tissus de mon boxer entre nous. Il ne bouge plus et nous savourons ce moment d'extr�me d�tente. Au bout de 10 minutes environ, il retire sa main ce qui me sort de cet �tat de pl�nitude et de somnolence.

" J'arrive tout de suite, je vais vite pisser " me dit-il.

J'ouvre un oeil, je le contemple dans toute sa nudit� avec sa bite � moiti� raide.

Il revient apr�s quelques instants et se couche sur moi. Il me caresse tendrement et ondule son corps en se frottant � moi. Je sens les poils de son torse dans mon dos et surtout sa queue qui se frotte contre mon cul.

" Ca va ? J'ai pas �t� trop long ? " me chuchote-t-il � l'oreille.

" Si, j'ai trouv� �a interminable " r�pondis-je avec un petit sourire.

" Je vais me rattraper alors. Je vais bien m'occuper de toi " me dit-il en me l�chant la nuque et l'oreille.

Ce beau mec �tait sur moi, ondulait son corps contre le mien avec beaucoup de sensualit� et me chuchotait des mots tendres. J'�tais aux anges.

" Tu veux que je continue � m'occuper de toi ? ".

" Oui, vas-y ... je suis � toi ".

" Oh super ... rassure-toi, je vais bien m'occuper de toi ... C'est demand� si gentiment ".

Il continue ses gestes tendres, ses caresses et petites " l�chouilles " un peu partout. Je m'abandonne � ses attentions. Soudain, en moins de temps qu'il n'en faut pour l'�crire, il me chope par un poignet, y place une menotte, puis chope l'autre poignet, passe l'autre menotte derri�re le radiateur et l'attache au poignet libre. Quand j'ai compris ce qui m'arrivait, c'�tait d�j� trop tard.

" Qu'est ce que tu fais ? ".

" Comme tu vois, je m'occupe de toi. Tu crois quand m�me pas que j'allais me contenter d'une pipe. C'est rien d'autre que des pr�liminaires. Pour �tre rassasi�, il me faut un cul. Et le tien ne demande qu'� �tre bourr� ".

Il m'�crase de tout son poids et fait glisser sa queue � nouveau tr�s raide dans ma raie.

" Je vais te baiser, que tu le veuille ou non. Je vais t'enculer salope, et bourrer ton petit cul de chienne. Tu voulais de la bite, tu vas en avoir ".

Pendant que je le supplie d'arr�ter et de me rel�cher, il s'active sur mon boxer qui ne r�sistera pas longtemps � ses assauts. J'entends un bruit de tissus qu'on d�chire et je sens sa main qui malaxe mes fesses, ma raie et ma rondelle. Apparemment plus aucun morceau de tissus ne recouvre mon cul. Il s'en approche et crache � trois reprises sur ma rondelle. Il y introduit deux doigts.

" Mmmm, t'es bien ouverte, ma salope ! "

Il recrache deux fois dessus puis se place derri�re moi. Son gland chatouille mon trou deux ou trois fois puis s'enfonce d'un coup. J'en pousse un cri imm�diatement �touff� par sa main qu'il place sur ma bouche. Sa queue a enti�rement disparu en une fraction de seconde. Ses grosses couilles pleines viennent buter contre mon cul. Il reste immobile.

" Ta gueule salope, vas pas rameuter les voisins ... Sinon, ils risqueraient d'avoir aussi envie de t'enfiler ... c'est s�rement ce que tu veux, grosse pute ! ".

Son bassin s'est remis en mouvement. Il me donnait de longs et puissant coups de queue. Sa main est rest�e sur ma bouche pour m'emp�cher de manifester quoi que ce soit. Il me bourrait comme un fou, en ne faisant pas attention � moi. Il m'a pris pour son plaisir, rien que son plaisir. Il me traitait comme un poup�e gonflable, c'est-�-dire sans �gard ... J'�tais juste bon pour lui tirer le jus ...

" Alors, �a te pla�t ? Tu la sens ma grosse queue ? Tu sens comme elle bourre ta chatte de petite pute ? Tu voulais de la queue, bein l� t'en as ... Profites-en ... ".

Il s'active � me bourrer � fond, sans aucun m�nagement. Sa queue entre, sort de mon cul, s'y enfonce de mani�re violente et saccad�e. Il me lime comme un ouf. Au bout de cinq minutes, je l'entends g�mir et il d�charge son jus dans mon cul. Il s'affale sur moi, essouffl� ... sa queue profond�ment enfonc�e dans mon cul.

Au bout d'une minute, il reprend ses esprits. Sa queue fait une dizaine de lents va-et-vient puis ressort de mon cul. Il retire sa main de ma bouche et me dit :

" Je te demande pas si �a t'a plu ... A t'entendre gueuler comme une lope, t'as aim� ... Putain, c'est dingue d'�tre chienne � ce point-l� ! ".

Il s'aper�oit ensuite qu'il a eu un SMS. Il le consulte et ne me calcule plus du tout. Il sourit puis compose un num�ro.

" Salut, c'est moi ... ouais, euh, je viens de lire ton SMS ... c'est OK ".
" .......... ".

" Ouais ".

" ........... ".

" Ouais ".

" ........... ".

" OK, bye ".

Il revient vers moi et mate mon cul.

" J'adore voir ta petite chatte de salope ... elle est bien ouverte et pleine de mon jus. Je t'en mettrai bien encore un petit coup. Je suis s�r que tu serais pas contre ".

" Euh, tu veux bien me d�tacher, s'il te pla�t ? " lui r�pondis-je.

Il me sourit.

" D�tache-moi, s'il te pla�t ".

Dans la seconde qui suit, la sonnette retentit. Il fonce � la porte, nu comme un ver ...

" Salut ! Entrez ! C'est au salon que �a se passe ... ".

Il me rejoint, suivi de deux autres rebeus. L'un d'eux s'exclame :

" Ah ouais, elle est pr�te � se faire enfiler ta lope. Putain, tu lui en as d�j� mis un sacr� coup. Mate la rondelle et tout ce jus. Je te reconnais bien l�, fr�ro ! "

Pendant ce temps, Houcine s'allonge sur moi et passe sa teub dans ma rondelle.

" Tu voulais de la bite, tu vas en avoir. Je vais pas laisser passer une occase pareille. Une chatte de salope aussi gourmande et aussi chaude que �a, faut la faire profiter aux potes. Alors voil� le programme, salope : je te pr�te � mes deux frangins ... Foutez-vous � poil, les gars et occupez-vous de cette chienne ... elle est � vous ".

Il leur a fallu tr�s peu de temps, aux deux frangins, pour se d�froquer. Ils s'approchent de moi, � poil, la queue bien raide, et commencent � me t�ter le cul, � me fesser ... Le propri�taire des lieux est � poil sur le canap� et mate la sc�ne ...

" Honneur au plus jeune ! Mouss, vas-y ... amuse-toi ... ".

Il prend la queue de son jeune fr�re en main et la dirige vers mon cul.

" Allez, vas-y enfonce toi et baise sa chatte de petite pute ".

Le cadet s'ex�cute et profitant du jus encore pr�sent, enfonce son pieu jusqu'� la garde. Puis l'a�n� s'approche de mon oreille et me dit :

" Alors salope, �a fait quoi d'avoir la grosse teub d'un rebeu de 18 ans dans le cul ? ".

N'attendant pas ma r�ponse, il se place devant moi et enfonce sa queue dans ma bouche.

" Regarde cette lope ... elle se fait piner par tous les trous ".

J'avais du mal � respirer. Putain, dans la famille, ils sont bien teub�s. Tous les deux s'activaient � remplir bouche et cul avec fr�n�sie. Sur ma rondelle s'acharnait Mouss, 18 ans, brun, yeux marrons, peau mate, 1m75 environ, mince, imberbe, 18*5 ... Ma bouche �tait remplie par Karim, le fr�re a�n�, 1m85, 80 kilos, brun, yeux marrons, costaud, poilu, 20*6,5 ... Je subissais les assauts de ces deux bites qui s'enfon�aient avec acharnement dans mes orifices. Chacun �tait d�cid� � me faire sentir sa teub au plus haut point. Mais apr�s trois ou quatre minutes de pinage intensif, Mouss a d�charg� son jus dans mon cul en poussant un petit r�le de contentement ...

Apr�s avoir f�licit� son jeune fr�re d'avoir bien bourr� la pute � sa disposition, Karim n'attend pas de se faire prier pour prendre sa place. Il se place derri�re moi, caresse ma rondelle avec son gland puis d'un seul coup de reins s'enfonce en moi. J'en ai presque la respiration coup�e. C'est tellement violent que je n'arrive plus � bouger, ni a crier. Ses grosses couilles pleines viennent buter contre mon cul.

" Alors salope, tu la sens bien ma grosse queue de rebeu ? Elle est � fond dans ta chatte de pute. T'as encore rien vu, je vais te faire couiner salope ! ".

Je ne r�ponds rien ; m�me si je l'avais voulu, aucun son ne sortait de ma bouche. Karim se retire de mon cul puis s'y engouffre aussit�t avec plus de force que la premi�re fois. Apr�s quelques secondes, il commence � me limer lentement mais bien � fond ; sa queue me p�n�tre toujours enti�re. Puis il commence � acc�l�rer le rythme. Ses p�n�trations sont toutes tr�s profondes et tr�s rapides. Il s'active � enfoncer sa teub jusqu'� la garde. Au bout de quelques minutes, il se retire et me caresse le cul, le malaxe. Il s'active � pr�sent sur mon boxer ou du moins ce qu'il en reste ; il tire de toutes ses forces sur les morceaux de tissus qui ne r�sistent pas longtemps.

" T'es mieux � poil, salope. Comme �a, tu vas bien pouvoir �carter les jambes, sale pute ! ".

Il s'engouffre � nouveau en moi. J'ai retrouv� mon souffle et � chaque fois que son zob va buter le fond de mon cul, il m'arrache un petit cri. C'est �trange ce que je ressens : il me fait un peu mal mais me donne aussi beaucoup de plaisir ... Mais il s'en fout : son seul but est de plonger sa grosse queue dans ma chatte, de limer comme un ouf et au final, de juter ... Apr�s plusieurs insultes, il acc�l�re encore le rythme et la force de ses p�n�trations ; � chaque coup de butoir, mon corps est propuls� quelques centim�tres en avant. Il me d�fonce sans m�nagement devant ses deux frangins qui nous matent silencieusement. Sa respiration est haletante et s'acc�l�re. Il fatigue mais ne rel�che rien pour autant : sa queue persiste malgr� tout � fouiller mes entrailles avec autant de force et de vitesse.

Houcine s'est relev� et s'approche de nous. Il s'agenouille devant moi, la queue bien dress�e et me l'enfonce dans la bouche. Son fr�re est ravi qu'il nous ait rejoint et continue � me limer de plus belle.

" Alors chienne ... tu la sens bien ma grosse queue ? T'as un beau petit cul, salope ... Tu vas me faire juter ...Oh, putain, �a y est, je vais cracher dans ta chatte de pute ... Oh ! ... Oh ! ... Oh ! Putain, c'est bon, tiens prends �a ... Je te remplis, b�tard ... "

Une fois qu'il a jouit, il s'affale contre mon dos, sa queue enti�rement enfouie dans mon cul. Pendant ce temps, je continue de pomper la teub de Houcine. Au bout d'une minute, Karim reprend ses esprits et se retire en invitant Houcine � prendre sa place. Sans attendre, il s'ex�cute : Houcine bondit vers mon cul et s'y engouffre d'un coup. Il me lime sans arr�t, sans m�nagement ... Mouss en profite pour nous rejoindre et me tend sa queue pour que je la suce. Je la gobe au maximum en subissant les assauts de Houcine. Ses coups de butoir me font tellement bouger que je n'�prouve aucun mal � faire aller et venir la teub de Mouss dans ma bouche. Au bout de quelques minutes, Mouss crache plusieurs salves de foutre dans ma bouche. Les trois premi�res sont expuls�es avec une telle force, qu'elles atterrissent directement au fond de ma gorge ; les trois suivantes viennent finir leur course sur ma langue. Voyant que son frangin se vide dans ma bouche, Houcine acc�l�re encore le rythme et me pilonne avec une violence inou�e ; sa queue fouilles mes entrailles avec violence et fr�n�sie. Au bout d'une minute, il d�clare :

" Putain les gars, �a y est ... je vais la remplir ... Oh , putain, �a vient ... Oh, oui ... Ooooooh ! ... Ooooooh ! ... Oooooooh ! "

Il d�charge tout son foutre au fond de mon cul et se retire aussit�t avant de s'engouffrer � nouveau dans mes entrailles. Il y reste un moment, immobile, puis s'en d�gage ...

Il se rel�ve et ses deux fr�res le rejoignent. Ils sont debout tous les trois � c�t� de moi. En me scrutant de haut, ils se f�licitent mutuellement d'avoir tous pris du bon temps avec cette petite pute � leur pieds, attach�e, � poil jambes �cart�es, le cul bien ouvert et d�goulinant de leur foutre ...

Tout d'un coup, j'entends retentir une sonnette. L'air effray�, je me dis :

" Oh, putain, j'ai mal au cul ... Me dis pas qu'il y en a d'autres qui vont encore d�barquer ! ".

J'ouvre les yeux et je me retrouve dans mon lit. Ce n'�tait pas cette fois-ci la sonnette de la porte d'entr�e qui retentissait mais simplement mon r�veil ...

Voil� encore un r�ve que j'aurais aim� r�aliser ... Si vous avez les m�mes envies, n'h�sitez pas � me contacter ...On pourra en discuter, voire plus ... Et toi Houcine, si �a t'a plu, je reste � ton enti�re disposition ... ;o)

- © Novembre 2009

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