Douce violence 1J'ai rencontr� sur internet un mec mari�, sympa et mignon qui avait envie de se faire sucer. On a parl� quelques fois sur MSN et un soir, il m'a propos� de le rejoindre dans son nouvel appartement. Ce dernier �tait presque vide et en pleine r�fection. On s'est donn� rendez-vous dans un square tout pr�s de chez lui et on s'est dirig�s vers son appartement. La mont�e des �tages m'a bien chauff� : je le suivais et je matais son cul, bien mis en valeur par un jean serr�. Houcine, 25ans, rebeu, mari�, 1h75, environ 75 kilos, yeux bleus, costaud, poilu, belle gueule ... On est entr�s dans l'appart et il m'a propos� d'aller dans ce qui allait �tre le salon. N'y tenant plus, j'ai d�graf� son jean et d�j� son boxer �tait d�form�. J'ai suc� sa teub � travers le tissus avant de la lib�rer : 18 par 5, droite et tr�s dure ... une tr�s belle queue ! Je l'ai suc� dans trois ou quatre positions et il m'a jut� dans la bouche. On a repris nos esprits et discut� un moment en fumant une clope. Quelques jours se sont pass�s et nous nous rencontrons � nouveau sur MSN. Nous avons chat� plus d'une heure et demi, de tout, de rien mais surtout de sexe. Il m'a avou� qu'il avait un fantasme (en fait, je le lui avais demand� !) : il aimerait bien violer un mec. A la lecture de ses message, j'ai ressenti des picotements au niveau de mes couilles et de ma rondelle ... Etant tr�s passif, c'�tait �galement un de mes fantasmes. Je lui en ai fait part et nous en avons discut� un moment. Le temps passa alors tr�s vite et il �tait d�j� deux heures du matin. On se quitte en se promettant de r�aliser ce fantasme d�s que possible ... Une heure apr�s, je me suis couch� ; inutile de vous dire que mon cerveau a �t� tr�s actif cette nuit-l�. Toute la nuit, je crois que j'ai d� r�ver de sa bite en train de me violer ... Tout a commenc� comme dans la r�alit� (cf. plus haut): le rendez-vous au square, le pas h�tif vers son appartement, la mont�e des marches � mater son cul, l'entr�e dans l'appart, l'arriv� au salon, l'ouverture du jean, la pipe etc ... Il venait de cracher tout son jus dans ma bouche ... il �tait affal� � poil sur le canap� ; moi j'�tais en boxer � genoux devant lui � contempler sa queue encore raide et macul�e de son jus ... Il me dit que �'a l'a vid�, qu'il est crev� et me propose d'aller nous allonger sur un matelas en mousse pos� par terre non loin de l� ... Il se couche sur le c�t� et me demande de me placer sur le ventre � c�t� de lui. Il pose ensuite sa main droite sur mon cul et me caresse � travers mon boxer. De temps en temps, il glisse sa main sous le tissus et en ressort assez rapidement. Sa main s'immobilise � pr�sent sur ma fesse gauche, il a le bout des doigt dans ma raie. Seul reste encore le tissus de mon boxer entre nous. Il ne bouge plus et nous savourons ce moment d'extr�me d�tente. Au bout de 10 minutes environ, il retire sa main ce qui me sort de cet �tat de pl�nitude et de somnolence. " J'arrive tout de suite, je vais vite pisser " me dit-il. J'ouvre un oeil, je le contemple dans toute sa nudit� avec sa bite � moiti� raide. Il revient apr�s quelques instants et se couche sur moi. Il me caresse tendrement et ondule son corps en se frottant � moi. Je sens les poils de son torse dans mon dos et surtout sa queue qui se frotte contre mon cul. " Ca va ? J'ai pas �t� trop long ? " me chuchote-t-il � l'oreille. " Si, j'ai trouv� �a interminable " r�pondis-je avec un petit sourire. " Je vais me rattraper alors. Je vais bien m'occuper de toi " me dit-il en me l�chant la nuque et l'oreille. Ce beau mec �tait sur moi, ondulait son corps contre le mien avec beaucoup de sensualit� et me chuchotait des mots tendres. J'�tais aux anges. " Tu veux que je continue � m'occuper de toi ? ". " Oui, vas-y ... je suis � toi ". " Oh super ... rassure-toi, je vais bien m'occuper de toi, c'est demand� si gentiment ". Il continue ses gestes tendres, ses caresses et petites " l�chouilles " un peu partout. Je m'abandonne � ses attentions. Soudain, en moins de temps qu'il n'en faut pour l'�crire, il me chope par un poignet, y place une menotte, puis chope l'autre poignet, passe l'autre menotte derri�re le radiateur et l'attache au poignet libre. Quand j'ai compris ce qui m'arrivait, c'�tait d�j� trop tard. " Qu'est ce que tu fais ? ". " Comme tu vois, je m'occupe de toi. Tu crois quand m�me pas que j'allais me contenter d'une pipe. C'est rien d'autre que des pr�liminaires. Pour �tre rassasi�, il me faut un cul. Et le tien ne demande qu'� �tre bourr� ". Il m'�crase de tout son poids et fait glisser sa queue � nouveau tr�s raide dans ma raie. " Je vais te baiser, que tu le veuille ou non. Je vais t'enculer salope, et bourrer ton petit cul de chienne. Tu voulais de la bite, tu vas en avoir ". Pendant que je le supplie d'arr�ter et de me rel�cher, il s'active sur mon boxer qui ne r�sistera pas longtemps � ses assauts. J'entends un bruit de tissus qu'on d�chire et je sens sa main qui malaxe mes fesses, ma raie et ma rondelle. Apparemment plus aucun morceau de tissus ne recouvre mon cul. Il s'en approche et crache � trois reprises sur ma rondelle. Il y introduit deux doigts. " Mmmm, t'es bien ouverte, ma salope ! " Il recrache deux fois dessus puis se place derri�re moi. Son gland chatouille mon trou deux ou trois fois puis s'enfonce d'un coup. J'en pousse un cri imm�diatement �touff� par sa main qu'il place sur ma bouche. Sa queue a enti�rement disparu en une fraction de seconde. Ses grosses couilles pleines viennent buter contre mon cul. Il reste immobile. " Ta gueule salope, vas pas rameuter les voisins ... Sinon, ils risqueraient d'avoir aussi envie de t'enfiler ... c'est s�rement ce que tu veux, grosse pute ! ". Son bassin s'est remis en mouvement. Il me donnait de longs et puissant coups de queue. Sa main est rest�e sur ma bouche pour m'emp�cher de manifester quoi que ce soit. Il me bourrait comme un fou, en ne faisant pas attention � moi. Il m'a pris pour son plaisir, rien que son plaisir. Il me traitait comme un poup�e gonflable, c'est-�-dire sans �gard ... J'�tais juste bon pour lui tirer le jus ... " Alors, �a te pla�t ? Tu la sens ma grosse queue ? Tu sens comme elle bourre ta chatte de petite pute ? Tu voulais de la queue, bein l� t'en as ... Profites-en ... ". Il s'active � me bourrer � fond, sans aucun m�nagement. Sa queue entre, sort de mon cul, s'y enfonce de mani�re violente et saccad�e. Il me lime comme un ouf. Au bout de cinq minutes, je l'entends g�mir et il d�charge son jus dans mon cul. Il s'affale sur moi, essouffl� ... sa queue profond�ment enfonc�e dans mon cul. Au bout d'une minute, il enl�ve sa main de ma bouche et commence � s'excuser. " Oh putain, qu'est ce que j'ai fait ? Je suis d�sol� mec, je sais pas ce qui m'a pris ... J'aime bien ton petit cul, on dirait un cul de meuf ... J'en avais grave envie ... Putain, qu'est ce qui m'a pris ? Excuse moi ". A ce moment, je sens une larme couler dans ma nuque. Il avait l'air sinc�re. Son comportement m'a attendri. Il est redevenu doux et tendre comme un petit gar�on qu'on vient de choper en train de faire une connerie. Il �tait couch� sur moi, se lamentait sur ce qu'il venait de me faire. Ses gestes tendres, ses larmes et sa queue qui ne d�bandait pas m'ont litt�ralement �mu. D'accord, il m'a viol� mais il est tellement mignon. " T'inqui�tes pas, c'est pas grave " lui r�pondis-je pour le rassurer. " C'�tait un peu douloureux au d�but, mais apr�s, j'ai trouv� �a bien. T'inqui�tes ". On se parle enfin. Il argumente son acte en le ponctuant d'excuses. J'essaie vraiment de d�dramatiser tout �a en le rassurant. " C'est vrai ? Tu m'en veux pas ? C'est vraiment nul ce que j'ai fait ... Et toutes ces insultes, en plus ! ". " Non, tu n'�tais pas ma�tre de toi � ce moment-l�. C'est une pulsion qui a pris le dessus. Tu pouvais pas lutter contre . Je t'en veux pas. Et comme je t'ai dit avant, je l'ai senti passer au d�but, mais par la suite, �'a m'a plut�t plu ". " Ah bon ? Ca t'a plu de te faire prendre comme un pute ? " " Bein ... euh ... oui " J'�tais toujours allong� sur le ventre, les jambes �cart�es et les poignets menott�s au radiateur. Il s'est relev� et �tait � genoux derri�re moi. Je ne voyais rien, je n'entendais rien. Apr�s quelques secondes, j'ai senti sa grosse teub entrer dans mon cul et s'y enfoncer jusqu'� la garde. Tout ceci s'est pass� tr�s rapidement, son jus faisant office de lubrifiant ... " Tu m'as bien chauff� en me disant que �a t'a plu salope ! Alors puisque t'as aim� �a, on recommence ... on aurait tort de s'en priver, tu trouves pas ? " Je ne pouvais pas lui r�pondre puisqu'il a remis sa main sur ma bouche. Et sans attendre, son bassin a repris un mouvement fort, saccad� et violent. Sa queue fouillait mon fondement avec fr�n�sie. Il �tait reparti dans le m�me d�lire qu'auparavant. Seul son plaisir comptait. Il me limait violemment en enfon�ant sa queue au fond de mon cul. A chaque fois que ses couilles venaient taper contre mon cul, il m'arrachait un cri, m�lange de douleur et de plaisir ... Ce cri �tait �touff� par sa main qu'il maintenait fermement sur ma bouche ... Quelques minutes plus tard, ses coups de butoir �taient toujours aussi puissants. " Ahhhh, elle est bonne ta chatte ... t'es une bonne salope, tu vas encore me faire jouir ... mmmm ! " Sa queue a ensuite ralenti la cadence pour s'immobiliser au fond de mon cul. Il a relev� son torse, s'est cambr� en arri�re et a cri� son plaisir. Il g�missait en ondulant un peu, d�versant tout son foutre au fond de mes entrailles. Il s'est ensuite retir�. Son jus en fit de m�me et se d�versa lentement vers mon entrejambes et mes couilles ... " Waow, c'�tait excellent ... t'as vraiment un bon cul ! " De mon c�t�, j'avais la sensation que ma rondelle �tait totalement explos�e. J'avais l'impression d'�tre tr�s ouvert, d'avoir le cul en chou fleur. Il s'est couch� sur moi, s'est excus� encore une fois pour son comportement, m'a remerci� de prendre tout �a avec philosophie. Au bout de quelques minutes, il m'embrasse dans le cou, se rel�ve et me d�tache. J'�tais en extase devant sa queue qui se dressait encore fi�rement entre ses cuisses. " Euh ... Tu veux peut-�tre aller prendre une douche ? " me dit-il avec un large sourire. " Je te propose de te laver, si tu veux ... C'est la moindre des choses ... j'ai vraiment l'impression de t'avoir souill� ... Alors, si tu me permets de te laver, j'aurai l'impression de racheter mes fautes ". On se dirige vers la salle de bain. J'enl�ve ce qui me reste de cale�on et je m'engouffre dans la douche. Il me rejoint et commence � me savonner doucement et tendrement le c�t� face. J'en fais de m�me. C'est vrai que c'�tait un moment tr�s agr�able : parcourir son corps superbe, le savonner et sentir ses mains me faire la m�me chose ... " Retourne-toi, s'il te pla�t, que je puisse te laver de l'autre c�t� " me dit-il. Je sens qu'il d�verse un peu de gel douche dans mon dos puis il commence � le savonner. Doucement, il descend vers mon cul qui a droit au m�me traitement. Mais tr�s vite, je sens quelque chose de bizarre, comme si un onzi�me doigt venait se m�ler � tout �a. Je passe une main vers mon cul et je sens sa queue de nouveau raide. Ses caresses sous la douche m'ont bien chauff�. Je prends sa queue en main et je la dirige vers mon cul. Quand je sens son gland contre ma rondelle, je donne de petites pouss�es vers l'arri�re dans sa direction. Sa tige s'enfonce � nouveau dans mon cul mais cette fois-ci lentement. C'est moi qui donne � pr�sent le rythme : j'ai sa queue dans mon cul et je me baise ... il me caresse, me tient par les hanches, caresse mon cul ... Au bout d'un moment, je le laisse prendre les rennes. L'eau chaude continue de couler entre nous. Il me p�n�tre � un rythme lent tout d'abord, puis acc�l�re la cadence apr�s quelques minutes. A pr�sent, il ne me viole plus, il me baise simplement ... et c'est tr�s tr�s tr�s agr�able ... Au bout d'une dizaine de minutes � me faire prendre de la sorte, je le pr�vient qu'il va me faire jouir. Ravi de l'entendre et sans arr�ter de me baiser, il passe sa main devant moi et me branle. Je ne tarde pas � juter. Mon foutre va s'�craser contre le mur de la douche. Il me tend ensuite sa main pour que je l�che le jus qu'elle renfermait. Une fois propre, sa main rejoint l'autre sur mes hanches. Il me tient fermement et me baise sans arr�t. Il acc�l�re la cadence pendant quelques secondes puis immobilise sa teub au fond de mon cul, comme la fois pr�c�dente. Il remonte ses mains le long de mon torse et joue avec mes t�tons. Il commence � g�mir de plus en plus fort. Sa queue reste blottie au fond de mon cul et son bassin ondule lentement. Il d�charge son jus au fond de mon cul pour la troisi�me fois. Quand il a retrouv� ses esprits, il parcours mon corps de ses mains en me caressant tendrement. Sa queue reste encore un long moment au fond de mon cul. Apr�s quelques minutes, il se retire et finit de me toiletter. J'en fais de m�me et nous sortons nous s�cher. Je m'appr�te � sortir de la salle de bains � poil quand il me donne une petite tape sur les fesses ... Cette petite fess�e amicale me fait bondir ... Je me rends compte que je suis seul, dans ce grand lit, il n'y a personne ... Oh putain, ce n'�tait qu'un r�ve ... - © Novembre 2009Suite de l'histoireR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |